Voilà une affaire qui va défrayer la chronique : des juges ont condamné de jeunes Israéliens à de lourdes peines, en Israël, pour appartenance à un groupe néo-nazi. La presse s'est empressée de titrer sur ce phénomène, France-Info parlant même de 200 à 300 cas par an. Mais, pour moi qui aime bien lire entre les lignes, j'ai constaté que les cas dont on parle correspondent à des "juifs" issus de l'ex-URSS. Or, je me rappelle très bien de cette période ooù quasiment un million de juifs ont rejoint l'État d'Israël, je lisais déjà les journaux à cette époque. Et j'avais notamment lu dans Le Monde de l'époque, que, profitant du désordre ambiant, de nombreux soviétiques non-juifs en avaient profité pour rejoindre l'Éetat d'Israël en raison de son développement économique supérieur. Je suis très suspicieux, dans cette histoire : s'agit-il vraiment de juifs ? d'autant que le phénomène néo-nazi, c'est surtout en Russie, en effet, qu'il s'est développé ces vingt dernières années.
Le Ministère de l'Intégration en Israël observe que sur 1 200 000 individus venus de Russie, en réalité, seuls 900 000 étaient juifs réellement. Ceci pourrait expliquer cela. Perso, j'estime que l'État d'Israël devrait leur retirer leur citoyenneté, si elle est bâtie sur un mensonge, évidemment. Introduits à la faveur d'un mensonge dans un pays qui les a accueillis généreusement, ils y célèbrent en plus le nazisme. Cela dit, il y a des tarés partout. En Pologne, il y avait des policiers juifs qui livraient aux Nazis leurs contingents de victimes. Ils n'étaient pas nombreux, mais ils existaient. Ils ignoraient toutefois le destin de ceux qu'ils livraient à leurs bourreaux. Là, c'est plus grave, car ils savent ce qu'il en est. Je pense qu'il faudrait aller flairer aussi du côté des parents, s'il s'agit de couples mixtes. On ne devient pas néo-nazi par hasard, il doit y avoir un terreau pour cela.
Bon, on va me dire, évidemment, que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais, le nazisme, cela concerne tout le monde, d'autant que tristes individus s'en prenaient aussi aux homosexuels, à ce que j'ai cru comprendre. Quand on considère les scènes de fraternisation entre SA, on comprend bien la nature refoulée de la dimension homosexuelle que comporte le nazisme, avec son exaltation de la virilité et des corps. Je suis absolument convaincu que les agresseurs les plus violents et les plus sadiques des homosexuels s'acharnent d'abord sur ce qu'ils sont au fond, et frappent avec d'autant plus de violence qu'ils jugent leurs propres désirs inavouables et similaires à ceux de leurs victimes.