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Société - Page 57

  • Polygamie et nationalité à points

    L'histoire de l'islamiste radical polygame et fraudeur de Nantes a fait le tour de la Toile ; en fait, le plus intéressant, ce n'est pas tant cette histoire sordide, sur le fond, que les conditions dans lesquelles on octroie la nationalité dans notre pays. Je suis ennuyé parce que j'ai écrit un billet le 22 août dernier sur ce sujet, et que je ne vois pas grand chose à y ajouter.

    Je le redis, ni le droit du sol ni le droit du sang ne sont satisfaisants. On s'épargnerait bien des soucis et des controverses, en France, si on adoptait un système dans lequel la naturalisation ne serait pas d'emblée définitive. A Rome, quand on était étranger ou affranchi, on ne devenait pas directement citoyen, mais le fils de l'affranchi, lui, pouvait le devenir à condition de remplir les pré-requis. Avec un système à points, les choses seraient bien plus simples à gérer : la polygamie, ce serait comme le feu rouge de ville grillé sous le nez d'un car de CRS à 180 km/h. Retrait de permis immédiat et immobilisation du véhicule. On ne devrait plus non plus accorder automatiquement la nationalité à un individu simplement parce qu'il est né sur le sol français. Il pourrait se voir crédité d'un montant de points sur une durée déterminée ; à charge serait pour lui de ne pas les perdre. Les individus tranquilles n'auraient pas grand chose à craindre d'une telle mesure. Les autres, en revanche, raouste en cas d'excès. Il va de soi, dans ces conditions, que la nationalité de base serait celle du père ou de la mère. Passer des conventions avec les autres États sur une loi d'un tel bon sens irait de soi, je pense. Il en irait de même bien sûr pour les mariages.

    Tiens, il est encore temps, je le crois, de déposer une contribution sur le site de l'Assemblée Nationale, le sujet n'est pas encore fermé. Didier Goux s'imagine que les blogueurs MoDem se demandent ce que François Bayrou en pense. Aucune idée. Mais voilà au moins l'opinion d'un blogueur centriste...

  • Les Arabes, ils sont sympas et ils bossent tard le soir...

    C'est à la mode, en ce moment, les statistiques ethniques : très tendance. On les présente comme un mystère honteux dont seuls les esprits courageux osent parler. Zemmour avait fait réagir la presse et la Toile il y a un peu plus d'un mois. J'en avais parlé. En réalité, les statistiques, on peut leur faire dire plein de choses différentes, c'est une affaire de point de vue et d'objet observé. Par exemple, Zemmour avait affirmé qu'il y avait plus d'Arabes et de Noirs parmi les délinquants. C'est bien possible, mais j'avais alors montré que le niveau social était peut-être plus pertinent que l'origine ethnique pour juger de la propension à la délinquance.

    Cela dit, je me suis livré à ma petite statistique ethnique, moi aussi : avez-vous remarqué que 90% des supérettes et épiceries ouvertes tard le soir, les jours fériés et les dimanches sont tenues généralement par des Arabes, parfois des Asiatiques ? Où que j'aille (pas seulement dans Paris) j'ai observé ce phénomène. J'ai aussi remarqué qu'on y est toujours bien accueilli, que ces épiceries sont bien dotées, et que les épiciers qui y travaillent sont aimables, cordiaux et prévenants. C'est loin d'être le cas partout. Donc, moi aussi je fais mon Zemmour, et je déduis de l'objet que j'ai ciblé que les Arabes sont cordiaux, sympathiques, aimables et travailleurs.

    CQFD...

  • Gardes à vue, cela devient terrifiant !

    Plus le temps passe, dans la France de Nicolas Sarkozy, et plus j'ai le sentiment de vivre dans un état toujours plus policier, avec tous ses travers sans un seul de ses avantages. En somme, tandis que les racailles de toute sorte se pavanent et font la loi dans les cités, désormais, le citoyen ordinaire peut se retrouver 12 heures d'affilée en prison sur la foi d'une déclaration farfelue ou d'une calomnie. A preuve, ce retraité qui avait eu le malheur de se promener chez lui tout nu (à l'intérieur de sa maison !). Comme une adolescente affirme l'avoir vu à travers une fenêtre, paf, au poste ! et le comble, c'est qu'elle n'a finalement pas reconnu. Ça veut dire quoi ? Par exemple, on ne peut plus risquer de prendre une douche et se presser de répondre en catastrophe au téléphone sans risquer de faire de la prison ? La France est de plus en plus souvent condamnée. Les bornes sont régulièrement passées, dans ce pays. Et il n'y a aucune réaction au plus haut niveau de l'État. C'est une véritable psychose : les flics ont la trouille qu'on leur reproche de n'avoir rien fait, alors du coup, par précaution, ils coffrent n'importe qui.

  • Péripatéticienne ou prostituée...

    Je suis effaré de lire ou d'entendre les individus çà et là parler des femmes se livrant à la prostitution en parlant de "putes". J'abhorre ce mot détestable. Je trouve que cela marque une absence de respect, un mépris, pour ces femmes, qui a le don de me hérisser. Comme si cela n'était pas déjà suffisant de se retrouver dans une grande misère affective, sociale, souvent matérielle, voilà qu'il faut encore qu'elles soient objets d'opprobre des bien-pensants de tout acabit, à droite comme à gauche. Oh, on le dit sans y penser, mais cela traduit bien la pensée profonde de ceux qui usent du terme...

  • Tu fais quoi, Sarkozy, pour le bébé apeuré ?

    Ces derniers jours, on a encore entendu Nicolas Sarkozy rouler des mécaniques sur la sécurité. Le problème, c'est que rouler des mécaniques, Sarkozy, il ne fait que ça depuis qu'il est devenu Ministre de l'Intérieur puis Président. Dans la pratique, rien de se passe, ou plus exactement, tout se dégrade. Encore un fait divers qui en dit long sur le sentiment total d'impunité de la racaille : cela se passe à Perpignan. Un jeune père entend des scooters procéder à leur habituelle bronca sous ses fenêtres. Ce soir-là, il est excédé, et sa petite fille ne peut pas dormir ; à vrai dire, la poussette a été renversée par un scooter, l'un de ces scooters, que la racaille conduit en toute quiétude, un mois auparavant ; bilan, une sacrée écorchure au front pour la petite, un ricanement pour le coupable. Il leur demande donc poliment de partir, puis, excédé par son insuccès, leur jette de l'eau. La racaille appelle la racaille, c'est un fait connu.

    Ils se sont retrouvés à une quinzaine pour tenter de défoncer sa porte, menacer de mort l'homme, la bébé et de viol sa compagne.

    J'adore le coup de matraque dans la gueule. Non, pardon, le tir de flash-ball à bout portant dans la gueule de la racaille. Mieux, la décharge de taser au contact distribuée généreusement à la racaille.

    Putain, mais tu fous quoi Sarko ? TU FOUS QUOI ?! Il a fallu sortir par une fenêtre la petite et la mère, tellement la porte était défoncée. Le bébé a huit mois. Une racaille de 15 ans a été interpelée, mais relâchée parce qu'il était mineur. Merde, fallait pas le relâcher, mais le cuisiner jusqu'à ce que le râclure lâche le nom de ses complices. En fait, c'est parce que la BAC est arrivée in extremis que le couple a été sauvée. Putain, pourquoi ils n'ont pas tiré du plomb à bout portant dans la racaille ; oui, c'est du plomb qu'il faut pour les raclures et rien d'autre.

    A Perpignan, on  a supprimé une école de police, et, plus récemment, des postes de policier. Cela devrait être une question de principe et d'honneur, pour un État qui se respecte, de retrouver les auteurs des faits, de les coffrer tous, et tous ceux qui sont leurs complices, et enfin, de les punir comme ils le méritent, avec de la prison ferme. Seulement voilà, Sarkozy brasse du vent comme il respire : ses discours sur la sécurité, c'est du flan, tout le monde le voit, à commencer par les victimes. Pire, il utilises aussi les forces de police comme variables d'ajustement pour financer ses lubies fiscales.

    Aujourd'hui, c'est eux, ils sont loin, demain, c'est toi, c'est moi. Aucune sollicitude pour la racaille, mais de la matraque, du plomb, du taser, et de la tôle !

  • Une retraite par points ?

    Un système de retraite à points est la solution privilégiée par Bayrou puis le MoDem dans son programme.

    «Pour nous, la pérennité de notre système passe par la constitution d’un système par points. Chaque citoyen aura acquis au cours de sa vie un certain nombre de droits, différents selon les cas, selon la durée, la pénibilité du travail... A partir de ces droits, chacun décidera lui-même de l’âge de départ à la retraite et donc du montant de cette retraite. La gestion des emplois pénibles mérite une attention particulière. Nous ne pouvons, en tant que démocrates, nous satisfaire de départs prématurés à la retraite pour ceux qui exercent des métiers aboutissant à la réduction de leur espérance de vie. C’est en amont que l’on doit réformer les choses. Bien sûr, la priorité absolue est de réduire la pénibilité professionnelle. »

    Je me suis penché sur la question et j'ai tâché d'interroger les avantages et inconvénients de ce choix. Dans un système à points, les salariés achètent des points tout au long de leur carrière par leurs cotisations. La pension, à la retraite, correspond au nombre total de points accumulés multiplié par la valeur du point au jour de la retraite. A l'heure actuelle, la système de retraites est opaque et peu lisible, et les citoyens ne savent pas facilement où ils en sont ; avec un système par points, les choses auraient l'avantage d'être claires, et chaque citoyen pourrait à tout moment facilement savoir où il en est. C'est ce que fait valoir régulièrement François Bayrou, et je suppose qu'il va le redire à Éric Woerth, puisqu'il est le premier consulté sur la question. Il est également clair qu'un passage à la retraite par points entraînerait nécessairement une refonte complète du système et donc la fin de tous les régimes spéciaux. Là où le bât blesse, c'est que cela suppose fatalement d'aligner retraites du privé et du public et de mettre fin aux régimes spéciaux. Pour que les salariés du public s'y retrouvent, l'État sera contraint d'augmenter significativement le montant des cotisations, au moins pour le financement des retraites qui correspondent à ceux qui se sont engagés dans la fonction publique avec le mode de retraite qui est actuellement en vigueur. Dans le cas contraire, la baisse des pensions sera automatique. Dans tous les cas de figure, ce sera évidemment plus équitable pour les salariés du privé dont la pension est calculée sur les 25 meilleures années et non les six derniers mois.

    J'imagine que le coût du point variera selon les aléas de la conjoncture économique. Il me semble que pour que valeur de la pension ne dépende pas uniquement des cotisations, il faut que certains points soient attribués gratuitement en fonction de situations spécifiques personnelles : congés maternité, chômage de longue durée, longue maladie, réversion, épouses d'agriculteurs ou de commerçants, et cetera... Il resterait, bien sûr, à en fixer les pro rata, sachant que pour les congés maternités, il me semblerait logique que les femmes récupèrent 100% de leur points. Le reste doit être examiné au cas par cas.

    L'incertitude qui demeure, in fine, c'est la valeur finale du point : si elle sert à ajuster d'éventuels déséquilibres, elle pourrait avoir un fort impact sur le montant des pensions.

    Bayrou a ouvert la voie à une réforme des retraites, mais le MoDem demeure trop imprécis : il ne s'agit pas de se contenter de relayer l'adhésion du parti à ces propositions, mais de dire clairement quelle serait la politique suivie sur les retraites en cas d'accès au pouvoir. Or, pour l'instant, la manière dont ces points seraient attribués et dont la jonction se ferait avec ce qui est en vigueur actuellement n'est pas précisée par le programme du MoDem. Je rassure mes amis démocrates : chez les autres, c'est pire, on ne dit rien, on ment, ou l'on rase gratis...

  • Le Bayern essaie de pousser Lloris au meilleur match ou quoi ?

    Il faudrait que je crée une catégorie sport, un de ces jours, sur ce blogue. Il paraît que le Bayern fait des appels du pied à peine voilés au gardien de l'Olympique Lyonnais. C'est certes bien plus élégant que les habituelles déclarations de guerre auxquelles on a droit habituellement ; en revanche, est-ce que c'est astucieux pour déstabiliser ce jeune gardien, je n'en suis pas convaincu. Admettons que Lloris soit dupe, mais je ne crois pas que cela soit le cas, qu'aurait-il alors intérêt à faire ? Eh bien à se montrer le plus brillant possible devant un potentiel futur club et à briller. Donc, l'objectif est raté, sauf à espérer un surcroît de pression sur ce jeune homme. En revanche, comme le note avec psychologie l'entraîneur de l'OL, pas sûr que l'actuel gardien du Bayern apprécie des masses l'avalanche de compliments et l'intérêt subit du Bayern pour la goal des Gones. In fine, ce que risque d'obtenir le Bayern, c'est surtout de démotiver son propre goal...

    NDLR, message privé au Crapaud baveux : et à ton avis, celui-là, combien de clics ?

     

  • Les deux poids et deux mesures du scandale

    Deux sportifs français viennent d'être auditionnés dans une affaire de prostitution, impliquant notamment une mineure. Ce qui me frappe, c'est la très grande prudence (c'est un doux euphémisme) avec laquelle la presse traite la chose. Et pas que la presse, la justice aussi ! Se fût-il agi d'un citoyen ordinaire, il était déjà au trou en garde à vue, et on l'aurait conchié sur tous les tons. Mais là, c'est du people, Mesdames et Messieurs, du sportif et du bon, alors respect. D'après Le Point, généralement bien informé, Ribéry aurait entretenu une relation suivie avec une prostituée mineure : il l'ignorait, paraît-il. C'est bien possible. Il n'en reste pas moins que selon qu'on soit riche, puissant, adulé et célèbre, on est traité ou non avec égard, y compris dans la presse.

  • Les petits branleurs, les jeunes nanas et la pilule

    Olympe me demande ce que je pense des vidéos du Ministère de la Santé pour sensibiliser les garçons aux risques d'une grossesse non désirée. Eh bien elles m'ont bien fait rigoler. A vrai dire, j'ai une vision assez peu optimiste du sens de la responsabilité des jeunes mecs. Ce sont pour la plupart des branleurs incapables une fois sur deux d'enfiler une capote. Non seulement ce sont des branleurs parce qu'ils ne se prennent pas en main et comptent sur les jeunes nanas, mais en plus, quand la grossesse se produit, ce sont des faux-jetons qui se barrent en laissant les minettes se dépatouiller toutes seules. En fait, la meilleure chance que puisse avoir un garçon, dans ce cas-là, c'est d'avoir un père qui lui colle une tarte dans la gueule, non pour le punir des effets de son imprudence, mais pour l'inciter à ne pas être lâche en abandonnant mère et enfant et à se conduire ainsi en homme. Et un vrai. Parce que pour moi, l'homme véritable, ce n'est pas celui qui pisse le plus loin, mais c'est celui qui assume, et notamment son enfant quand il en a un. Malheureusement, de tout ce que je vois et j'entends, je constate que les petits cons (et aussi les grands, d'ailleurs) se cassent lâchement dans 95% des cas.

    Olympe écrit : Je trouve ces nouvelles vidéos plutôt dures pour les garçons (ceux de la vraie vie qui ne tombent pas enceints). L'image renvoyée est celle de jeunes peu responsables qui partent en courant à l'annonce de la grossesse ou reportent toute la responsabillité sur la fille qui a oublié de prendre la pilule ou " qui ne pensent qu à ça , au cul.

    Ben oui, Olympe : c'est exactement ça, et je trouve que les concepteurs de la vidéo ont tapé dans le mille en inversant les rôles. Tiens, je me rappelle de Maria Montessori entamant son oeuvre magistrale sur le pouvoir absorbant dans son livre l'Enfant : elle y considère que les bébés sont des êtres extraordinaires et qu'il est un honneur pour les adultes de pouvoir s'en occuper. C'est aussi mon avis, mais ces petits cons n'ont pas l'air de s'en rendre compte. Rien de tel qu'une bonne branlée pour élargir le champ de leur conscience. J'ai confiance en mes fistons, mais je peux assurer que si jamais, plus grands, cela devait leur arriver, je ferai en sorte qu'ils assument leur statut de père, quel que soit leur âge.

    Ceci dit, j'ai cru comprendre que c'était une chaîne. Je vais donc demander l'avis de quelques potes blogueurs, et comme je sais que dans le tas, il y des jeunots, ils vont s'y coller, n'est-ce pas, David et Vincent ? Je ne veux pas rater l'avis de Didier Goux s'il accepte de s'y coller, de même que celui de Vlad et de Chriz, avec ses bondieuseries (rien de tel qu'un bon ramassis de blogueurs aussi droitiers que moi pour répondre à une question de ce genre).

  • Matraque et gnouf pour les violeurs et leurs complices !

    Même réaction que l'un des bills, ce matin. J'ai entendu le reportage sur France Info dans lequel des petits cons et des pétasses expliquent que se faire violer dans les cités, c'est normal, ce sont les filles qui excitent ou allument. A vrai dire, l'un de mes amis profs qui exerce dans une cité m'a dit qu'il entendait exactement le même genre de propos là où il enseigne. Une famille est menacée parce que leur fille a porté plainte après avoir été abusée à plusieurs reprises ? Il faut amener les complices des violeurs à coup de matraque dans les geôles et les y laisser très longtemps. Ce qu'il faut, c'est un grand coup de torchon dans le tas, histoire de moucher le plus de racailles possible d'un coup. Y aller au kärcher, tiens ! Pareil à Grenoble : un jeune se fait agresser gratuitement par une bande ? Tous coupables, et c'est tout. 15 ans minimum pour la racaille, qu'elle croupisse au gnouf ! Même réflexe, d'après un agent de police, les merdeux refusent de reconnaître leurs actes et la gravité de leurs actes. Ce qu'il faut, c'est des exemples. La racaille doit comprendre qu'elle peut se retrouver en bande au fond du trou. Tant qu'il n'y aura pas eu d'exemples retentissants, elle continuera à croire pouvoir agir en toute impunité.

    Cela ne sert plus à rien de s'indigner, aujourd'hui, ça, c'est bon pour le bobo parisien. Ce qu'il faut, c'est taper, très fort et autant de fois qu'il le faudra.

    Cela dit Manuel soulève un problème de fond : les opinions exprimées ce matin sur France Info ne sauraient être le seul fait d'une émulation entre adolescents et adolescentes dégénérés. Il y a forcément le poids d'une éducation, derrière, qui conditionne ces réflexes quasi-pavloviens. La négation de crime doit aussi être punie par la loi, et les familles mises une bonne fois pour toutes devant leur responsabilité, non seulement en termes d'actions, mais aussi de valeurs.