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  • La Françafrique à Nicolas

    Vous vous rappelez de l'homme qui dénonçait la Françafrique à papa ? et de celui qui suggérait à l'homme africain de tourner ses regards vers l'avenir ?

    Alors moi j'aimerais bien que l'on m'explique pourquoi la France soutient sans conditions un type qui occupe frauduleusement le pouvoir depuis 1990, rêve de modifier la constitution pour se faire nommer président à vie, et profite du désordre ambiant dans son pays pour faire enfermer les leaders de l'opposition. Leaders qui ont été torturés à de multiples reprises.

    Je peux comprendre que la France ne souhaite pas que le chaos s'installe au Tchad, et d'ailleurs, personne ne le souhaite. Je peux d'autant plus le comprendre que les rebelles sont manipulés peut-être par le Soudan.  Mais tolérer qu'Idriss Deby en profite pour faire disparaître ses opposants, c'est intolérable.

    Le moment est au contraire propice pour faire pression sur Déby afin qu'il admette de vraies pratiques démocratiques et lièbre définitivement ses opposants. On a au contraire tout l'inverse. Alors entre la visite de Khadafi, les mamours à Omar Bongo, et maintenant le soutien inconditionnel à un quasi-dictateur, je trouve que cela commence à bien faire.

    Et au fait, et Koucher et sa diplomatie éthique, elle en est où ? Que valent la prole de Nicolas Sarkozy et ses grandes déclarations ? Manifestement, pas grand chose...

  • Je viens de lire le Journal d'un pédophile

    Le titre flanque la trouille, non ? Il s'agit en fait d'un blog d'un pauvre gars, qui est assurément victime de fantasmes pédophiles, et qui en est malade, d'ailleurs, mais qui n'est probabablement pas pédophile en tant que tel. Un pédophile est un être pervers dénué de conscience morale et de sentiments. Or, ce type-là, manifestement, ne dort plus en raison des pulsions fantasmatiques qui traversent ses jours et ses nuits. Il faudrait qu'il consulte un psychiatre, et en même temps qu'il se rassure : il n'est pas un pédophile. Ce n'est pas ça un pédophile.

    Je trouve la lecture de ce blog intéressante, parce que cela permet de dépasser les idées reçues, et parce que l'auteur y dévoile la vérité nue et sans fard, et que cette vérité-là fait réfléchir. Cela prouve aussi que les choses ne sont pas simples comme ce à quoi beaucoup voudraient les résumer.

    J'assume évidemment que mon discours risque de ne pas être populaire, car il n'est pas dans l'air du temps, mais le sujet est trop grave pour céder à la facilité, aux idées reçues et aux discours tout faits. 

    Moi, évidemment, je n'ai pas de compétences pour donner un avis de nature médicale sur la question, mais je trouve que cette lecture remet en perspective l'idée de réduire les pédophiles à des monstres uniquement. Assurément, certains le sont, et ceux-là, il faut les empêcher de nuire. Mais, pour ceux qui ont conscience de leurs déviances, et qui sincèrement désirent être aidés, il y a urgence à apporter des réponses, sans tabou et avec honnêteté. 

  • Fouad Al farhan, blogueur saoudien en danger

    La France de toutes nos forces ne m'en voudra pas si je relaie partiellement  la dernière information figurant sur son blog: c'est qu'il y va de la survie d'un blogueur d'Arabie Saoudite qui a eu le «tort» d'être un tantinet impertinent...

    Fouad Al-Farhan, 32 ans,est détenu à la prison de Jeddah depuis le 10 décembre 2007.Ila été arrêté par les services du ministère de l'intérieur pour certains articles postés sur son blog. 

     

    Le 10 janvier 2008, Reporters sans frontières et le réseau arabe de défense des droits de l'homme, HRInfo, ont écrit au roi Abdallah Bin Abdilaziz Al-Saoud, afin d'obtenir plus d'explications sur les raisons de son arrestation. Cette lettre est restée sans réponse.

    Seul le le quotidien saoudien en anglais Arab News a rompu le silence sur cette affaire.

    Sur son blog, Farhan (en arabe, jovial), le sourire narquois et le verbe acerbe, se dit «à la recherche de la liberté, de la dignité, de la justice, de l'égalité, de la "Choura" (participation publique) et de toutes les valeurs de l'islam qui nous font défaut».

    «Lorsque vous naissez et êtes formés (dans une société) marquée par le discours de l'exclusion de l'autre (...) votre esprit sera un terrain fertile pour l'idéologie de la violence. Lorsqu'un jeune est élevé dans le rejet de l'autre, il sera une proie facile et un instrument entre les mains des propagandistes de la violence», écrivait Farhan, qui a fait de l'extrémisme religieux l'une de ses cibles de prédilection.

     

  • Delanoë versus Royal, une popularité un peu trop facile

    On me dira, je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais, c'est plus fort que moi, cela m'agace : on le sait, Bertrand Delanoë est devenu l'homme le plus populaire de France, et, à gauche, Ségolène Royal ne le devance que d'une courte tête.

    Betrand Delanoë a la partie quelque peu facile : est-ce quelqu'un peut me dire quand il l'a vu s'exposer politiquement pour la dernière fois ? Tout comme Dominique Strauss-Kahn, d'ailleurs.

    Ni l'un, ni l'autre ne prennent le dixième des risques que prennent Ségolène Royal (ou François Bayrou d'ailleurs). Ils sont populaires, certes, mais ils ne sont en aucun cas des leaders d'opposition, se gardant bien de critiques de fond pour préserver leurs popularités respectives.

    A mes yeux, c'est une des raisons qui font qu'ils ne sont pas des leaders politiques crédibles, et d'ailleurs, il faut bien se dire que s'ils commençaient à prendre des risques, ils n'auraient pas la même popularité.

    J'ajoute qu'à droite, si Borloo est populaire, c'est qu'il dirige un ministère sans enjeux à confrontation sociale avec l'opinion, qui a le vent en poupe, et qu'il ne prend pas davantage de positions politiques. D'ailleurs, la seule fois où il s'est retrouvé dans un ministère à enjeux forts, et qu'il a pris une position, la majorité présidentielle l'a payée cash aux élections législatives...

    Alors, il faut rendre à César ce qui appartient à César et aux vrais leaders ce qui appartient auux vrais leaders.

    Les Français ne s'y sont pas trompés en voyant en Ségolène Royal et François Bayrou les deux principaux opposants à Nicolas Sarkozy. 

  • Paris 16ème : le double constat de Jean Peyrelevade

    fc17c102bda959cda3cd7289759f0744.jpgLors d'un récent café politique, Jean Peyrelevade a eu l'occasion d'expliquer comment il concevait son action dans le 16ème arrondissement de Paris. J'ai bien aimé sa vision, à la fois perspicace, modérée et constructive. J'avoue que je trouve dans ce qu'il dit de très bonnes raisons de voter pour lui.

    Je le cite :

    « Ma candidature dans le 16e arrondissement résulte d’un double constat : le 16e arrondissement souffre d’un manque d’intérêt de la part de la mairie de Paris, quelle que soit la majorité, alors que de nombreux besoins se font sentir sur le plan économique, social et culturel. Nous devons changer cela : c’est le sens de mon engagement !

    Pour favoriser ce changement, je propose d’agir sur la méthode et sur le projet.

    Sur la méthode, il me semble que l’opposition systématique et stérile vis-à-vis de la maire de Paris est contre-productive. Le discours tenu par Claude Goasguen puisque vous le citez revient à dire : « si Françoise de Panafieu est élue, nous sommes sauvés ; si Bertrand Delanoë est élu, nous sommes ligotés ». Ce discours est dangereux et inopérant car au cours du prochain mandat, il faudra bien, quel que soit le maire, construire des crèches, dynamiser l’activité et le commerce, améliorer les voiries et construire des parkings, assurer la sécurité à la sortie des écoles, développer les services publics de proximité - les conservatoires de musique, les salles d’exposition de proximité - et garantir à nos concitoyens une amélioration des conditions de vie.

    Ma candidature répond donc à une nécessité : être un interlocuteur crédible et exigeant du maire de Paris, quel qu’il soit, pour défendre les intérêts des habitants du 16e. Homme d’expériences et de dialogue, je pense pouvoir être cet interlocuteur comme a pu l’être jusqu’à aujourd’hui Pierre-Christian Taittinger.

    Sur le projet, les nombreuses fonctions que j’ai exercées ou exerce encore notamment auprès de François Bayrou, en qualité de conseiller économique, me permettent d’établir un diagnostic précis de la situation du 16e arrondissement et de proposer des axes de réflexion et des moyens d’actions pour l’améliorer.
    Fondamentalement, je me classe parmi les progressistes qui ne disent jamais non mais préfèrent dire « oui si… ». Il n’est donc pas question de s’opposer idéologiquement aux projets mais d’en comprendre les enjeux et d’en tirer un bénéfice pour les habitants. En ce qui concerne la reconstruction du stade de Jean-Bouin, l’extension de Roland-Garros ou le projet de la porte d’Auteuil, j’ai demandé une mise en cohérence de ces projets. Il n’est pas acceptable de multiplier les infrastructures sportives sans qu’une réflexion globale soit posée à l’échelle de l’arrondissement et à l’échelle de la ville. Je rencontre actuellement les promoteurs des différents projets afin d’étudier avec eux cette mise en cohérence. »

     

     

  • Islam et Occident

    Je réfléchis à l'affaire Ayaan Hirsi Ali , et je me dis que l'Occident et l'Europe s'y prennent particulièrement mal vis-à-vis del'Islam. L'Islam ne pourra pas évoluer à partir de l'Europe, grâce à quelques lettrés isolés qui ne devraient leur notoriété qu'aux rotomontades des intellectuels des salons de Paris ou d'ailleurs en Europe.

    En réalité, l'espoir, c'est au sein de l'Islam lui-même qu'il doit germer, et ce peut être long. L'intelligence, ce serait de favoriser discrètement cet Islam là où il existe. Mohamed VI au Maroc aura certainement fait infiniment plus pour la femme dans le monde arabe que Ayaan Hirsi Ali , dont les écrits ne recontrent un  écho que dans les salons de la bien-pensance européenne. 

    Bien sûr, il faut, au nom de nos valeurs protéger Ayaan Hirsi Ali , mais ce n'est pas non plus la peine d'en faire une affaire nationale, et ce n'est certainement pas cet épisode qui contribuera à faire émerger un Islam progressiste et modéré.

    Pour ma part, je suis profondément convaincu que c'est ailleurs qu'en Europe qu'un vent nouveau se lèvera, au sein de l'Islam lui-même. Et je suis, à cet effet,  convaincu qu'une bonne suprise viendra de l'Iran. La nature du shiisme perse est d'être intrinsèquement révolutionnaire et de ne pas se satisfaire de l'ordre et de la stabilité qui caractérisent les sociétés sunnites. Cet islam-là ne se satisfera pas d'un islam gestionnaire et conservateur, et il nourrira tôt ou tard des revendications populaires. De plus, la jeunesse pourrait bien, tôt ou tard, manifester de manière bien plus massive son ras-le-bol de la chape de plomb qui s'est abattu sur elle, et nous faire un mai 68 à l'iranienne...

    Peu s'en souviennent encore, mais le successeur que Khomneiny avait initialement désigné était l'ayatollah Motazeri, un religieux réputé pour ses positions sociales. Les Iraniens ont été capables de porter au pouvoir Khatami, il n'y a pas si longtemps, et, aujourd'hui, en Iran, les 3/4 de la population considèrent Ahmadinejad comme un bouffon inconsistant. 

    En Turquie, Erdogan manifeste l'intention évidente de construire une démocratie islamique. A condition qu'il ait l'intelligence de ne pas se couper des laïcs, on peut espérer là-bas une évolution, en dépit des récentes prises de position  sur le voile à l'Université. Et puis il y a le Maroc, où la personne du roi joue un rôle considérable dans un sens positif.

    Nous autres Européens, aidons discrètement les bonnes volontés, mais évitons les leçons de morale incessantes et le tintamare. Essayons d'avoir une diplomatie habile, discrète et fructueuse. 

  • Martinon, non, non, non...et Néron !

    Ce n'est pas de moi, ce slogan, c'est de l'UMP local à Neuilly :-) Il faut dire que ce pauvre Martinon rime étrangement avec paillasson depuis un moment. Après avoir été traité en public devant des dizaines de millions de téléspectateurs d'imbécile par son "maître" en octobre dernier, le voilà non moins publiquement désavoué pour cause de mauvais sondage à un peu plus d'un mois du premier tour de scrutin.

    Dommage, pour une fois, il y aurait eu deux tours de scrutin, et, qui sait ? Martinon aurait pu demander au facteur de la LCR de le soutenir au nom de Guy Môcquet...

    Il aurait présenté sa démission à Nicolas Sarkozy, mais elle aurait été refusée. Le problème, voyez-vous, c'est qu'il y a des précédents de ce type assez funestes : Sénèque le philosophe, sentant son impérial disciple tourner de plus en plus mal, voulut quitter sa cour, mais Néron lui interdit de s'exiler et l'engagea à rester à ses côtés. Quelques termps plus tard, Sénèque dut choisir entre les jeux du cirque avec les lions ou le suicide...

    J'espère qu'à la lueur de cet exmeple, "l'imbécile de Neuilly" a bien compris ce qui l'attend...Je ne vous parle évidemment pas des affaires de famille de l'empereur, car je ne doute pas que l'on trouve des Agripine et des Poppée qui conviendraient pour jouer le rôle... 

    Eh, au fait, il y a un candidat MoDem, à Neuilly : Alexandre Harmand

  • La lettre de Jean Peyrelevade aux habitants du 16ème arrondissement de Paris

    Et hop...Je me la suis procuré en avant-première, hé hé...
    Paris, le 12 février 2008
    Madame, Mademoiselle, Monsieur,

    Je suis candidat aux élections municipales des 9 et 16 mars prochain dans le 16e arrondissement de Paris. Il m’a donc semblé important de vous expliquer les raisons de mon engagement et vous faire part de mes priorités d’action.
    Le 16e arrondissement souffre depuis longtemps d’un manque d’intérêt de la part de la mairie de Paris, quelle que soit la majorité, alors que de nombreux besoins se font sentir sur les plans économique, social et culturel. Nous devons changer cela : c’est le sens de mon engagement !


    Depuis plus de vingt ans, je dirige des entreprises du secteur financier et bancaire : de grandes sociétés (Indosuez, UAP, Crédit Lyonnais que j’ai redressé) comme des PME. J’ai acquis une expérience de la gestion d’entreprise et des contraintes de l’économie réelle, mais aussi de l’écoute, du dialogue et de la négociation. Cette expérience, je souhaite la mettre au service du plus grand nombre pour développer l’activité économique du 16e, accroître les services de proximité et préserver notre grande qualité de vie.


    Pour ce faire, je vous propose des méthodes renouvelées pour mettre fin aux oppositions stériles qui ont souvent contribué, par le passé, à desservir le 16e. Un renouveau politique est souhaitable et nécessaire. Le maire du 16e arrondissement doit être un interlocuteur crédible capable de discuter et de négocier sans complaisances avec le maire de Paris. La politisation excessive des relations entre des élus de l’arrondissement et le maire de Paris est, à mon sens, contre-productive.


    Je veux défendre au mieux vos intérêts et je le ferai dans un esprit d’écoute et d’échanges constructifs et pacifiés. Je favoriserai, à ce titre, le travail collectif avec tous les élus soucieux de l’intérêt général, les représentants des forces vives, et les conseils de quartier qui deviendront de vrais forums locaux ouverts et pourvus de moyens propres.


    Je veux agir pour résoudre nos problèmes de déplacement et stationnement, de propreté, de places en crèche, d’accès aux bibliothèques et aux conservatoires de musique, de sécurité aux abords des écoles, de solidarité entre les générations, parce que notre arrondissement est déficitaire dans tous ces domaines.


    Mon projet est celui du rassemblement pour faire du 16e une terre d’entraide entre les générations et un lieu de vie qui laisse une place à chacun.


    Je vous invite à découvrir mon projet et à me faire part, directement, de vos commentaires sur notre site de campagne www.peyrelevade2008.fr.

     

  • De Lamartine au MoDem

    Non, ce n'est pas pour si peu que nous avons donné au monde européen, politique, social, religeux, une secousse, telle qu'il n'ya pas un empire qui n'ait croulé ou tremblé pas une fibre humaine dans tout l'univers qui n'y ait participé par le bien, par la joie, par la terreur ou par le fanatisme.

    [...] 

     Il y a un grand mot, un grand et beau cri qui sortit un jour d'une assemblée nationale de notre pays, à l'une de ces crises où l'âme d'un peuple paraît s'élever tout entier au-dessus d'elle-même, et semble, pour ainsi dire, s'échapper par une seule voix ; c'est le cri que vous connaissez tous : Périssent nos mémoires pourvu que nos idées triomphent ! Ce cri sera le mot d'ordre de mavie politique.

    J'aime bien...c'est ainsi que Lamartine commença un discours de rupture avec le régime monarchique en place en 1843...Cela me plaît bien, et j'imagine bien la genèse du MoDem ainsi... Je trouve une proximité certaine entre Bayrou et Lamartine, d'ailleurs...

  • Ayaan Hirsi Ali

    Un mot pour donner mon avis à propos du cas Ayaan Hirsi Ali ; bien sûr, il faut protéger cette femme qui s'est lancée dans un combat difficile, et je trouve très intéressante l'idée de Nicolas Sarkozy, de créer un fonds communautaire pour des personnes menacées en raison de leurs convictions.

    Cela dit, je ne suis pas non plus convaincu que Ayaan Hirsi Ali ait choisi le meilleur chemin pour défendre sa cause : qualifier de "pervers" le Prophète, c'est à dire la principale figure de l'Islam, je ne suis pas certain que cela contribue à créer un débat serein au sein de l'Islam sur la condition de la femme...

    On peut donc la soutenir au nom de la liberté d'expression, la soutenir au noom du combat pour la liberté des femmes, mais pas la soutenir quant à la méthode utilisée. 

    Il y a par ailleurs un embrouillamini avec la Hollande dont, à titre personnel, j'aimerais bien connaître les tenants et les aboutissants. Je trouvais normal que la Hollande assure la protection de Ayaan Hirsi Ali sur son sol, mais beaucoup moins qu'elle finance sa protection alors qu'elle demeure aux USA. Et puis il n'est tout de même pas dans les habitudes de la Hollande de lâcher ainsi des individus menacés.

    Par ailleurs, l'American Enterprise Institute pour laquelle elle travaille, il faut le savoir, est en grande partie à l'origine de nombre de politiques menées par Daboliou en Amérique, alors, évidemment, cela éveille quelque peu ma méfiance. L'AEI s'est d'ailleurs tristementfait connaître en essayant de corrompre ceux qui mettaient en garde contre le réchauffement climatique. Bref, un organisme pour lequel je n'ai guère de sympathie, à titre personnel.

    Un soutien, oui, mais avec beaucoup de prudence, dans l'immédiat.