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Paris 16ème : le double constat de Jean Peyrelevade

fc17c102bda959cda3cd7289759f0744.jpgLors d'un récent café politique, Jean Peyrelevade a eu l'occasion d'expliquer comment il concevait son action dans le 16ème arrondissement de Paris. J'ai bien aimé sa vision, à la fois perspicace, modérée et constructive. J'avoue que je trouve dans ce qu'il dit de très bonnes raisons de voter pour lui.

Je le cite :

« Ma candidature dans le 16e arrondissement résulte d’un double constat : le 16e arrondissement souffre d’un manque d’intérêt de la part de la mairie de Paris, quelle que soit la majorité, alors que de nombreux besoins se font sentir sur le plan économique, social et culturel. Nous devons changer cela : c’est le sens de mon engagement !

Pour favoriser ce changement, je propose d’agir sur la méthode et sur le projet.

Sur la méthode, il me semble que l’opposition systématique et stérile vis-à-vis de la maire de Paris est contre-productive. Le discours tenu par Claude Goasguen puisque vous le citez revient à dire : « si Françoise de Panafieu est élue, nous sommes sauvés ; si Bertrand Delanoë est élu, nous sommes ligotés ». Ce discours est dangereux et inopérant car au cours du prochain mandat, il faudra bien, quel que soit le maire, construire des crèches, dynamiser l’activité et le commerce, améliorer les voiries et construire des parkings, assurer la sécurité à la sortie des écoles, développer les services publics de proximité - les conservatoires de musique, les salles d’exposition de proximité - et garantir à nos concitoyens une amélioration des conditions de vie.

Ma candidature répond donc à une nécessité : être un interlocuteur crédible et exigeant du maire de Paris, quel qu’il soit, pour défendre les intérêts des habitants du 16e. Homme d’expériences et de dialogue, je pense pouvoir être cet interlocuteur comme a pu l’être jusqu’à aujourd’hui Pierre-Christian Taittinger.

Sur le projet, les nombreuses fonctions que j’ai exercées ou exerce encore notamment auprès de François Bayrou, en qualité de conseiller économique, me permettent d’établir un diagnostic précis de la situation du 16e arrondissement et de proposer des axes de réflexion et des moyens d’actions pour l’améliorer.
Fondamentalement, je me classe parmi les progressistes qui ne disent jamais non mais préfèrent dire « oui si… ». Il n’est donc pas question de s’opposer idéologiquement aux projets mais d’en comprendre les enjeux et d’en tirer un bénéfice pour les habitants. En ce qui concerne la reconstruction du stade de Jean-Bouin, l’extension de Roland-Garros ou le projet de la porte d’Auteuil, j’ai demandé une mise en cohérence de ces projets. Il n’est pas acceptable de multiplier les infrastructures sportives sans qu’une réflexion globale soit posée à l’échelle de l’arrondissement et à l’échelle de la ville. Je rencontre actuellement les promoteurs des différents projets afin d’étudier avec eux cette mise en cohérence. »

 

 

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