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  • Chroniques du règne de Nicolas 1er

    S'il y a bien un livre à lire si l'on veut passer un bon moment, c'est bien celui de Patrick Rambaud : une fresque hilarante, oscillant entre deux humours féroces que sont ceux de Volaire et de la Bruyère dans ses Caractères.

    Le livre commence par la description de Nicolas 1er, et notamment tous ses tics nerveux. Il me semble bien avoir lu dans les Caractères quelque chose d'assez semblable sur un agité de service.

    Il y a des moments forts :-D 

    Par exemple sur le Chevalier de Guaino :

    «Les aventures de Tintin nourrissaient pour une large part la culture politique du chevalier de Guaino [...] Le jour ou Sa Majesté choisit de visiter ses homologues africains, [...] le chevalier rouvrit sans hésiter Tintin au Congo, une belle édition de 1930 qu'il ne voyait pas un instant démodée.[...] Il apprit pour ce premier voyage quelques phrases qui lui permettraient d'être mieux compris par cette population dont il voulait soulever l'enthousiasme : "Li missié blanc très malin" ou "Missié blanc, toi y en as sauver nous...[...]» 

    Il y a un passage excellent, où l'auteur s'intéresse à l'éytomologie du nom Besson. Si pour lui une première branche est censée venir de la forêt de Sherwood, et dériverait de Best (le meilleur en anglais) voilà ce qu'il dit de la branche à laquelle appartient Eric Besson :

    «Une autre branche venait directement de Ganelon qui vendit aux Basques l'arrière garde de Charlemagne [...] Quel rapport avec Besson, me direz-vous ? Le nom de ce traître se modifia au cours des âges à cause de sa traîtrise : Gane devint Biasse car l'homme s'était rabaissé en vendant les siens, et ce Baisse, à l'écrit, se simplifia en Bess [...]

    Et quant à l'érudition de Nicolas Sarkozy, voici un morceau d'anthologie...

    « Sa Majesté pensait que les Iraniens étaient des Arabes comme les autres. Personne n'osa relever. Eh bien ? Sa Majesté entendait remplacer la sotte érudition par la vitesse de ses propos. "Je ne suis pas un intellectuel", aimait répéter Notre Maître Affirmé pour qui une cervelle encombré ne valait pas tripette» 

    Et tout est du même tonneau tout au long du récit : je n'ai pas pu manger pendant plusieurs heures, tant j'avais l'estomac encore tout tordu d'avoir bien rigolé, après l'avoir lu.

  • Paris 16ème : conférence avec Jean Peyrelevade

    4dc947d881ade2d225edf5ea24e20e7d.jpgJean Peyrelevade et le MoDem organisent une grande réunion publique le jeudi 21 février 2008 à 20h00 au Pavillon de l'Eau, 77 avenus de Versailles dans le 16ème arrondissement à Paris.

    TEL  06 43 65 36 60

    métros Pont Mirabeau / Javel / Eglise d'Auteuil
    autobus : lignes 62 / 22 / 72 arrêt Pont Mirabeau

  • Lyon : Lafond est une chance...

    1e8086e0302e3d11743155e9973a137e.jpgBon, j'ai lu le programme d'Eric Lafond exposé dans Lyoncapitale.fr, et cela m'a tout à fait enthousiasmé. Je ne suis pas Lyonnais, mais, s'il devient maire de son arrondissement et parvient à faire passer certains de ses projets, je viendrai bien y faire du tourisme, moi.

    Je crois vraiment que le MoDem a choisi le bon candidat avec lui, et qu'il est , avec son équipe, une chance pour Lyon.

    J'aime beaucoup son concept de Haute Qualité Artistique, ainsi que la volonté d'exprimenter plutôt que de faire la révolution.

    Sur la sécurité, avec son projet pour contrer la récidive, il a mis le doigt sur le coeur du problème, et je suis sûr que si sa politique est appliquée, l'insécurité reculera très nettement à Lyon. Mais bon, le mieux est d'aller lire l'entretien de Lyoncapitale, et d'en discuter ici, pour ceux que cela intéresse. 

  • Reconnaissance du Kosovo : quelle erreur !

    La France a reconnu l'indépendance du Kosovo. C'est une erreur. Cette entité politique n'a jamais existé, et sa reconnaissance ouvre la voie à tous les séparatismes en Europe et dans le monde. Il fallait plutôt faire pression sur les Serbes pour qu'ils accordent de larges droits (langue, université, autonomie) aux Kosovars, plutôt que de favoriser leur "indépendance". Cette dernière n'est fondée à aucun point de vue, si ce n'est que la population est à 90% albanophone. Nous risquons de créer un précédent qui pourrait aboutir à la scission de Chypre en deux états. Et par ailleurs, c'est un déni de souveraineté à la Serbie. Nul doute également que la Russie n'aura plus aucun scrupule, désormais, avec les mouvements séparatistes du Caucase : pourquoi y aurait-il deux poids, deux mesures ?

    Tout cela s'est passé bien trop vite, sans réflexions, sans négociations, sans jeu diplomatique... Par ailleurs, cette reconnaissance arrange certainement les USA vis-à-vis de la Russie, parce qu'ils marquent des points dans ce qui fut sa sphère d'influence. Mais l'Europe en perd, parce que nous n'avons pas fait prévaloir une solution europénne , qui a par exemple très bien fonctionné avec la Roumanie et la Hongrie, chacun des deux pays garantissant les droits de la minorité de l'autre.

    Nous aurions pu faire un donnant-donnant identique avec les Kosovars et les Serbes. Quelle erreur ! L'Europe, et encore moins la France, n'en sortent grandies dans les Balkans. 

  • La victoire posthume de Benazir Buttho

    Quelle claque pour l'islamisme radical au Pakistan ! Yessss ! Les partis radicaux intégristes islamistes se sont pris une baffe monumentale au Pakistan !!! Ils passent de 52 sièges à l'assemblée sur 272 à...tenez-vous bien, chers lecteurs, à TROIS ! Trois sièges ! Du jamais vu au Pakistan !!! Et par ailleurs, l'opposition démocratique écrase le parti au pouvoir et les islamistes radicaux, puisqu'avant la fin des décomptes, 83 reviennent d'ores et déjà au PPP, le parti de Benazir Buttho, et 64 au Parti de la Ligue Musulmane, canal dissident, de Nawaz Sharif ! Et ce n'est pas fini, car ce sont les résultats à la mi-journée...

    Bravo les Pakistanais ! Et vive la Démocratie au Pakistan !

  • La Shoah de Sarkozy entre mythe et histoire

    Je viens de lire le billet de Versac du 15 février dernier dans lequel il dénonce l'atterrant rapport de Nicolas Sarkozy à l'histoire.

    J'ai apprécié particulièrement sa conclusion, que je livre à mes lecteurs ici :

    Non, ce n'est pas à un homme, fût-il président de la République, que d'imposer à ma fille cette culpabilité et cette émotion. Tout en voulant, dans le même mouvement, virer des enfants sans papiers de nos écoles, d'ailleurs.

    Fine observation à laquelle je souscris tout à fait.  J'irais un peu plus loin : Nicolas Sarkozy n'est pas dans l'histoire, il est dans la mythologie, et une mythologie qui frise la mythomanie, c'est à dire, au sens étymologique du mot, la manie de fabriquer des mythes. μανία en grec, signifie la folie. Donc, en son sens premier, c'est une folie.

    Mais c'est surtout une régression : historiquement, ἱστορία l'histoire, apparaît après le mythe.  Thucydide, le père de l'histoire moderne, plus encore qu'Hérodote, annonce en introduction de sa Guerre du Péloponèse, qu'il n'imitera pas ces logographes (sortes d'écrivains de discours tout faits pour flatter des êtres et des faits) ; c'est qu'il recherche, lui des faits avérés pour écrire l'histoire.

    Le souci de Nicolas Sarkozy, c'est de transformer l'histoire en une espèce de mythologie officielle à son service.Le mythe a une fonction, mais une fonction qui n'est pas celle de stimuler l'émotion, mais au contraire la réflexion.

    C'est, je pense, sur le fond, l'abîme sémantique qui sépare la mythologie des histoires racontées par le mythomane. 

    Les enfants de CM2 et la Shoah méritent à mon sens, un peu mieux que cela. 

  • Quel cirque à Villiers-le-bel !

    C'est tout de même incroyable : Nicolas Sarkozy ne peut pas s'empêcher de mettre en scène chaque décision de justice. Interpeler les voyous, d'accord, très bien, mais convier la presse pour se faire mousser, c'est plus fort que lui, il ne peut pas s'en empêcher.Lui ou sa ministre, peu importe. Donc, la policeopère une descente bien menée à Villiers-le-bel, et pour montrer qu'on est le garant de la sécurité, on fait venir la presse.

    Je suis donc en plein accord avec la réaction de François Bayrou :

    François Bayrou a pour sa part appelé à « ne pas mélanger la justice et la mise en scène », tout en soulignant que ces faits« doivent avoir des suites ». « Il est nécessaire de respecter le droit, la loi et la justice, et des incidents comme ceux qui ont eu lieu (en novembre 2007) doivent avoir des suites », a déclaré le président du MoDem sur Europe 1. « Il semble que la presse a été conviée, et là je suis nettement plus réservé. J’ai toujours considéré que la justice ne devait pas s’accompagner d'une mise en scène. La justice, c’est fait pour obtenir l’arrestation et moins pour faire de la communication », a-t-il poursuivi. 

    Voilà...exactement. 

  • Féminin au singulier - l'Amitié

    0e94f7c02832e242e3e02c418ab5cf38.jpgJ'ai lu le journal de Marielle de Sarnez, Féminin au singulier. J'ai beaucoup aimé.Comme il est très riche de réflexions, je le commenterai en plusieurs billets.

    Et je voudrais commencer par les réflexions que sa première note m'a inspirées.

    Marielle y parle non de l'amitié en politique, mais de l'amitié ET de la politique. Et c'est l'incompréhension qui domine dans un premier temps. Non l'incoompréhension politique, mais l'incompréhension humaine.

    Songeant aux députés UDF ralliés à Nicolas Sarkozy, Marielle de Sarnez se souvient que ce sont des personnes avec qui elle a échangé des coups de fil tous les jours ; avec qui elle a passé des vacances en Grèce ou ailleurs. Qui ont refusé des postes ministériels avec elle.

    Et du jour au lendemain, plus rien. On ne lui adresse plus la parole. Plus un appel téléphonique, mais des regards gênés de temps à autre et du silence. 

    Je me suis souvenu alors de l'ampleur de ma déception aux mois de mai et juin. Moi aussi, je les aimais bien ces députés, et j'avais confiance en eux. Alors j'imagine ce que peut être la désillusion de quelqu'un qui les considéra comme des amis sincères si longtemps.

    Et pourtant, Marielle ne leur en veut pas... 

    En lisant ces lignes, j'ai repensé avec mélancolie aux traités de Cicéron et de Sénèque qui ont en commun de parler de l'Amitié.

    De amicitia, comme on écrit le titre en latin. De l'amitié. Car il y a matière à disserter longuement sur l'amitié. On aurait du écrire un traité qui se serait appelé "Des amitiés  brisées"...

  • Que pèse la blogosphère ?

    Je viens de lire un article fort intéressant, sur Marianne2 dont j'approuve tout à fait la conclusion.

    « Enfin, le monde des «netoyensr» s'est refermé sur lui-même en un dense réseau où l'on se cite et se référence les uns les autres, où l'on parle le même jargon, où l'on blogue à propos des blogs autant que des sujets dont on blogue, au point qu'il devient possible d'oublier qu'il existe un autre monde, qui ne nous lit pas

    C'est exactement ce qui m'agace de plus en plus au sein de la blgopshère. Il y a une espèce d'aristocratie qui n'en peut plus d'arrogance et de sentiment d'évoluer dans des sphères supérieures, et qui se donne une importance qu'elle n'a sans doute pas. En fait, elle rejoint progressivement l'attitude commune des intellectuels français et autres courtisans du pouvoir. Schumpeter a écrit des choses admirables sur ces gens-là.

     Je reviens sur le chapitre XIII de Capitalisme, Socialisme et Démocratie

    Dans la seconde partie, la sociologie des intellectuels, Schumpeter écrit :

    « Néanmoins, l'intellectuel typique ne se souciait guère de monter sur le bûcher, toujours dressé pour les hérétiques, mais, en règle générale, il préférait grandement prendre sa part d'honneurs et de confort. or, tout compte fait, et bien que les humanistes aient été les premiers intellectuels disposant d'un publie au sens moderne du terme, de tels avantages ne pouvaient être dispensés que par les princes spirituels ou temporels. »

    et plus loin, il complète son propos sur les moyens de parvenir aux dits honneurs :

    « Cependant les honneurs et les émoluments peuvent être obtenus par des procédés divers. L'obséquiosité et la flatterie sont souvent moins fructueuses que l'arrogance et l'insulte. »

    C'est, globalement, ainsi que je vois les choses. J'ajouterai que le blog est un phénomène d'autant plus français, qu'outre la tradition autobiographique  française, c'est aussi une posture qui convient bien pour le coq dressé sur ses ergots. Il peut ainsi claironner à tue-tête avec la sensation d'avoir un auditoire réservé. Ainsi, l'aristocratie ne se réduit pas à quelques blogs fameux, et le phénomène du coq est généralisé.

     La réalité est que nos pauvres blogs sont bien peu de choses et pèsent, au final bien peu. Bien moins que ce que nous leur prêtons. Et nos blogs politiques aussi. Quand on dissèque les chiffres, que reste-t-il ? Je table, ce mois-ci, sur 8  000 visiteurs uniques c'est à dire au moins 8 000 lecteurs différents. Mais un article, la plupart du temps, recueille 100 à 200 visites, et même les plus lus n'excèdent guère 700 à 800 visites. A moins de titrer Carla Bruni ou Laure Manaudou nue, on ne peut espérer vraiment plus. Que l'on observe la géo-localisation, ce que je peux voir, et pour une campagne municipale, par exemple, il m'est aisé de réaliser que je vais toucher avec un seul article une trentaine, à peine, d'électeurs concernés par l'actualité de mon billet. Sur ces trente là, les 3/4 seront déjà convaincus dans un sens ou dans l'autre. Il en reste  10 à 15, finalement, qui n'ont peut-être pas de positions nettes. Heureux si je réussis à en convaincre, ou si je contribue à en convaincre ne serait-ce qu'un seul avec mon billet. 

    Revenons à nos blogueurs : allez dans la rue, et demandez au premier badaud croisé qui est Versac. Il n'en saura 99% du temps fichtre rien. Les Embruns ? Pour lui ce sera certainement une plage bretonne ou vendéenne. Tedcrunch sera certainement une marque de chocolat, et Fred Cavazza du café...

    Bref, nul n'est besoin de citer la fable fameuse de La Fontaine sur la grenouille et le boeuf, fable qu'au demeurant il emrpunta à Phèdre ou Esope. Mais à défaut de la citer, je pense que la blogosphère toute entière devrait la méditer, cette fable... 

    Oh, et puis zut, je la copie intégralement :

    Une Grenouille vit un bœuf
    Qui lui sembla de belle taille.
    Elle qui n'était pas grosse en tout comme un œuf,
    Envieuse s'étend, et s'enfle, et se travaille
    Pour égaler l'animal en grosseur,
    Disant : Regardez bien, ma sœur ;
    Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ?
    - Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout. - M'y voilà ?
    - Vous n'en approchez point. La chétive pécore
    S'enfla si bien quelle creva.
    Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
    Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs,
    Tout petit Prince a des Ambassadeurs,
    Tout Marquis veut avoir des Pages.

  • Paris 16ème : les infirmières de Bertrand Delanoë et Sainte-Périne

    Un large rectificatif est quelque peu nécessaire. Bertrand Delanoë a laissé entendre que le MoDem (à l'époque l'UDF) a voté contre la construction d'un logement social pour des infirmières dans le 16ème arrondissement. Il a juste oublié de préciser que le dit logement social devait être construit à l'emplacement même du Parc Sainte-Perrine.

    Alors reprenons, svp, le fil des évènements :

    3e6d515e7b8f7ca28937992d31e2f6d3.jpgEn juin 2006, Delanoë veut déclasser une partie d'un espace vert protégé, à savoir le parc Sainte-Périne dans le 16e arrondissement. Objectif affirmé, recouvrir d'un hideux bloc de béton, au nom du logement social pour les infirmières, sur une surface non négligeable de la partie boisée du parc. 210 logements sociaux sont prévus, dont la moitié, en réalité, pour les infirmières. Pendant ce temps, l'Assistance Publique des Hôpitaux de Paris réalise des plue-balues faramineuses en vendant justement des locaux à deux pas de là.

    D'ailleurs, le PS a fait beaucoup de battage sur les infirmières, mais, très précisément, il s'agissait de loger pour moitié des logements, des cadres administratifs et des infirmières. Connaissant le fonctionnement des administrations, je laisse supposer à mes lecteurs quelle aurait été la part réelle des logements attribués aux infirmières...

    Le projet avait tout de même sucité la mobilisation des commerces, des riverains, des écoles proches, du conseil de quartier et de celui d'arrondissement ainsi que de la Ligue de protection des oiseaux.

    Pas mal, tout de même non ?

    Le plus fort de l'histoire, ce sont encore les commentaires d'Alain Lhostis, adjoint (PC) de Bertrand Delanoe, envers les  riverains du parc :  « satisfaction égoïste de quelques riverains privilégiés ») . Pas mieux à l'encontre  des Verts coupables de « misérables petites manœuvres politiciennes ».

    Et comme ce triste sire était déterminé à récidiver, remplaçant Delanoë, en tant que président du conseil de l'Assistance des Hôpitaux publics de Paris, rebelote, il demande l'annulation du vote qui s'était déroulé deux semaines avant .

    Ce qui toutefois me rend méfiant, est-ce seulement une coïncidence, c'est que la page du site de la mairie de Paris qui concerne Sainte-Périne est désactivée... J'aipeut-être l'esprit tordu, mais...vigilance, vigilance...

    3fd7d87ffb1175270c472bb174e4db0c.jpgEt pour être clair sur les intentions du MoDem du 16ème sur Sainte-Perrine, voici ce que Jean Peyrelevade et son équipe prévoient dans leur programme :

    « D’autres initiatives seront envisagées dans le même esprit, comme la végétalisation des murs et des rues et les projets de jardins partagés, par exemple dans le square Sainte-Perrine comme le souhaite l’association pour la sauvegarde du parc. Les jardins du Ranelagh pourraient également faire l’objet d’aménagements en haute qualité environnementale (récupération et traitement des eaux de pluie…). »