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sarkozy - Page 25

  • Bayrou et le MoDem, passionnant Cdans l'air

    L'émission est tout simplement passionnante, et François Kahn toujours aussi percutant.

    A regarder tout de suite

    Quelques paroles fortes : pourquoi donc en France s'échine-t-on à démolir ceux qui ne cèdent pas et cherchent à dépasser les clivages ? De Gaulle, Chevènement, Séguin, et aujourd'hui Bayrou ?

    Tout cela parce qu'ils tiennent.

     Autre question : avec tous les problèmes de la France, comment Nicolas Sarkozy trouve-t-il le temps de recevoir Urieta, maire socialiste fabiusien de Pau pour lui proposer une union sacrée UMP-PS pour empêcher Bayrou de prendre la mairie de Pau ? Puis Michel Mercier pour lui proposer (en vain) un poste ministériel ? Et, à quelques jours du congrès du MoDem , Jean-Marie Cavada avec une proposition sensiblement similaire (cette fois avec réussite) ?

    Le MoDem et Bayrou, le nouveau cauchemar de Nicolas Sarkozy ? 

    Ah, un dernier détail : en fin d'émission, on comprend très bien pourquoi Bayrou a refusé la proposition de Royal : qui a dit pendant tout le premier tour que l'UDF c'était l'autre visage de la droite et que Bayrou n'avait ni équipe ni programme ?... 

    Kahn, c'est tout de même un sacré phénomène. Je vais aller acheter Marianne, samedi, moi ! 

  • Le sénateur Yves Détraigne (MoDem) défend les bio-carburants

    53c55953370655e99fdcd8429f8f2670.jpgLors de l'examen du projet de loi de finances pour 2008, le gouvernement a obtenu une réduction de la défiscalisation des biocarburants. Ne pouvant être en séance lors de l'examen de cette disposition, Yves Détraigne a cosigné plusieurs amendements que ses collègues Paul Girod et Marcel Deneux, respectivement sénateurs de l'Aisne et de la Somme, ont défendu pour tenter vainement de limiter cette baisse. Si jusqu'à présent, le fragile équilibre atteint entre la profession agricole, les industriels et les pouvoirs publics avait toujours été préservé, une telle baisse va aujourd'hui pénaliser une filière industrielle pourtant prometteuse pour l'environnement. Les professionnels du secteur sont en effet très inquiets des conséquences de cette troisième baisse des subventions en faveur des biocarburants, qui risque de remettre en cause leurs investissements mais également la rentabilité de la filière.

    Rappelons simplement ce que disait Nicolas Sarkozy lui-même en conclusion du Grenelle de l'environnement, le 25 octobre 2007 :

    « Nous devons également revoir la politique de soutien aux biocarburants pour l’avenir et sans remettre en cause les engagements pris. Je souhaite que la priorité soit donnée au développement des biocarburants de deuxième génération plus pertinents face au défi environnemental et au défi alimentaire»

    Mais sans doute est-ce là un bon exemple de la protection de l'environnement selon Nicolas Sarkozy et Jean-louis Borloo... 

  • Sarkozy fera-t-il un geste pour les harkis ?

    Si l'on veut en finir avec la guerre d'Algérie, il faut certainement d'un côté reconnaître de manière claire et définitive que l'occupation du sol algérien par la France fut abusive, mais, il faut également enfin rendre justice aux harkis.

    S'il y a bien une injustice qui me révolte, c'est la manière indigne, malhonnête, criminelle et répugnante par laquelle la France a lâché les siens après les accords d'Evian.

    Dès lors qu'une paix était signée, et l'Algérie devenue indépendante, il était de la responsabilité de la France d'accueillir ses citoyens en danger.

    Et je crois que c'est bien ce point noir qu'il convient d'éclaircir définitivement : les harkis n'étaient pas des supplétifs de l'armée française, les harkis étaient des hommes et des femmes qui avaient choisi de définitivement faire partie de la France. Pour ma part, je regrette qu'ils aient été employés sur le front militaire pour défendre de mauvaises causes, mais leur engagement a été admirable.

    Les 150 000 harkis massacrés en Algérie par la suite, pour moi, soyons très clairs, c'est 150 000 citoyens français massacrés ! Seuls 20 000 d'entre eux ont été rapatriés.

    Une fois encore, la France a trahi ses enfants, de même qu'elle avait vendu les français juifs sous l'occupation nazie. Que l'on puisse établir un tel parallèle n'est malheureusement pas à l'honneur du Général de Gaulle (qui avait biend 'autres qualités par ailleurs).

    Alors, je crois qu'il faut déballer une bonne fois pour toutes le linge sale , ouvrir le placard, reconnaître ce qu'il faut reconnaître pour avoir la conscience claire, assurer une retraite tranquille et décente aux derniers harkis, car ils ont plus que largement mérité de la France.

    Je crois qu'au MoDem, nous devrions inciter les pouvoirs publics à agir en ce sens. 

  • Algérie : exigeons des excuses !

    La manière dont le pouvoir algérien traite Nicolas Sarkozy, président de la France, est tout bonnement inadmissible. On ne peut accepter qu'un ministre se fasse le relais de l'anti-sémitisme, sans même qu'il soit sérieusement remis en cause par le chef de l'état algérien.

    En France, un tel comportement d'un ministre lui aurait valu une obligation immédiate de démission. Cela va bien à l'Algérie d'exiger la repentance de la France : il faut commencer par balayer devant sa porte avant de faire des leçons à son prochain.

    On a d'ailleurs bien compris que l'utilisation de ce moment douleureux de l'histoire commune des deux pays permet d'occulter savamment, au sein de l'opinion, la situation réelle du pays, la crise du logement, la gangrène de la corruption, le gaspillage des ressources pétrolières et la mise sous étouffoir tant de la presse que de l'opposition.

    Bref, un bilan bien peu fameux. La seule chose dont peut se targuer Bouteflika, c'est la réconciliation nationale, mais...en dehors de cela, c'est le néant intégral. 

  • Jean Peyrelevade explore les arcanes du capitalisme total

    Dans un entretien réalisé le 29 octobre, Jean Peyrelevade, proche de François Bayrou et de l'UDF-Modem, économiste et auteur du "Capitalisme total", se livre à une analyse critique de la politique économique conduite par Nicolas Sarkozy, soulignant en particulier que "la consommation augmente plus vite que la production" ce qui entretient le déficit commercial. Mais il se penche également sur les grands déséquilibres du capitalisme moderne et nous aide à comprendre les caractéristiques de ce "capitalisme financier".

     
    C'est très intéressant, ce que dit Peyrelevade à propos de la distorsion entre pouvoir des chefs d'entreprise et pouvoir actionnarial.
    Or, le moteur du capitalisme, comme Schumpeter le dit, c'est l'initiative de l'entrepreneur. Le risque, à mon avis, c'est que ce pouvoir-là lamine l'entrepreneur, et à terme que le capitalisme financier lamine le capitalisme entrepreneurial, c'est à dire la vraie force du capitalisme

  • Pour François Bayrou, aimer l'Amérique, ce n'est pas la copier

    A l'occasion de son déplacement à Lyon  jeudi 8 novembre pour rencontrer les candidats à la candidature du Mouvement Démocrate pour les municipales, ainsi que les adhérents locaux auxquels il a proposé de participer à une "consultation" pour choisir eux-même leur candidat à la mairie de Lyon, François Bayrou a réprouvé jeudi le "ralliement en bonne et due forme" de Nicolas Sarkozy au "rêve américain", qualifiant le "sarkozysme" de "projet inégalitaire assumé", qui rappelle selon lui des Etats-Unis basés sur "un modèle d'inégalité croissante".

    "Il ne faut pas confondre l'amitié avec le peuple américain avec l'adhésion au modèle de société américain, et encore moins avec l'adhésion à la politique de l'administration Bush. Pour la France, le rapprochement avec l'administration Bush, c'est perdre une part importante de la force et de l'originalité de la diplomatie française. Ce qui est frappant, c'est que le sarkozysme est en rupture avec les fondamentaux du projet républicain français, c'est-à-dire un modèle égalitaire".
    Il a défini le "sarkozysme" par "un projet inégalitaire assumé, l'alignement sur les Etats-Unis en politique étrangère, et la concentration des pouvoirs. Un jour, ce projet se trouvera en contradiction avec le pays".

  • Zoé ou l'Arche des amateurs de l'humanitaire

    Je trouve que les choses vont un peu vite à mon goût à propos de la fameuse Arche de Zoé. J'ai surtout l'impression que l'on a affaire dans ces circonstances à des amateurs certes têtus et bornés, mais de bonne foi.

    Dans ces conditions, la brutalité et la précipitation de la diplomatie française sont effarantes ! Rama Yade a été particulièrement mal inspirée dans cette histoire. Mais il faut ajouter que son chef, Nicolas Sarkozy a été encore pire, faisant preuve d'intempérance, et peut-être, en parallèle, de cynisme.

    Rama Yade a tout de même a peu près compris ce qu'il s'était passé, si on examine de près ses déclarations :

    «l'action humanitaire nécessite un minimum de sérieux et de retenue. Il ne faut pas se lancer dans des opérations comme ça, même avec les meilleures intentions du monde.»

    Car le véritable enjeu, et cela n'échappe pas au Figaro, d'ailleurs, c'est bien le conflit du Darfour et la présence occidentale à la frontière du Tchad et du Soudan. Idriss Deby est très loin d'être un démocrate, et ses cris d'orfraie masquent à peine ses calculs politiques, dans cette histoire. Quant à la France, on vérifie finalement que sa diplomatie ne change pas de ligne. Faut-il rappeler qu'en 2004, les rebelles avaient été à deux doigts de renverser le régime et que Débry ne s'était maintenu que grâce à l'intervention des forces françaises ? C'est pourtant cette année-là qu'il a fait voter une modification constitutionnelle pour pouvoir se présenter une troisième fois aux présidentielles...

    Certes, Débry vaut mieux que le sinistre Hissène Habré, son prédécesseur, mais il est très loin d'avoir rempli les promesses démocratiques qu'il laissait entrevoir au temps où il était encore un opposant.

    Il n'y a qu'à lire par exemple le rapport de l'ambassade des Etats-Unis au Tchad pour l'année 2007...Deby si sensible pour les enfants de l'Arche de Zoé n'a aps fait grand chose pour les enfants dont il est question dans le rapport... 

    Bref, tout cela pour dire que nos aventuriers de l'Arche de Zoé sont certainement des imbéciles téméraires et bornés, mais pas forcément des sales types comme la presse et la diplomatie tendent à le laisser croire.

    Par ailleurs, les conditions de vie dans cette région du Tchad et au Soudan sont effectivement très difficiles pour ne pas dire effroyables. 

  • CBS : Sarkozy a eu raison !

    J'entends que l'on reproche à Nicolas Sarkozy d'avoir interrompu brusquement un entretien sur la chaîne américaine CBS parce que la journaliste commençait à lui poser des questions sur son divorce.

    Eh bien moi qui suis un opposant à Nicolas Sarkozy, je dis bien haut et bient fort qu'il a eu raison. Inviter le Président de la France pour lui demander de parler de son divorce, c'est se moquer des Français. Il me semble qu'un Président de la France a autre chose à dire qu'à parler de sa vie privée sur une chaîne américaine à une heure de grande écoute.

    Alors, certes, c'est une manière habituelle de procéder en Amérique avec les hommes politiques, et les journalistes américains nous ont suffisamment rebattu les oreilles de l'affaire Lewinsky en son temps, mais cela ne se passe pas comme cela avec les hommes politiques français.

    En France, nous avons encore le bon sens, et j'espère que nous le garderons, de séparer vie privée et vie publique dans le domaine politique. 

    J'ajoute que cet avis répond à celui de Okan Gemiyan (Net-Issy) pour lequel j'ai par ailleurs beaucoup d'estime. Mais on peut être de part et d'autre démocrates et avoir des divergences d'analyse sur les événements politiques.

  • Un nourrisson en garde à vue !

    Il n'y a décidément plus de limites à l'indécence et à la brutalité en France : le préfet du Loiret n'a pas hésité à ordonner la garde à vue pour une journée d'un nourrisson de 3 semaines avec ses parents (sans papiers) pendant 9 heures. Si un tribunal n'était intervenu, cet homme-là s'apprêtait à demander la prolongation en centre de rétention de du nourrisson et de ses parents pendant 15 jours.

    Par ailleurs, Ian, Irina, et leur bébé, Kyrill, venus de Moldavie en 2006, et installés à Gien,ont  a été abandonnés au milieu d'une route, à 400 kilomètres de chez eux, après 19h00 (rappelons que les températures sont désormais froides la nuit...) en plein désarroi, par une unité de gendarmes.Précisons que ce couple demande l'asile politique à la France.

    Les exactions se multiplient. Ce préfet devrait être sanctionné, et même destitué de sa fonction.

    Seule consolation, prouvant qu'il existe encore une justice en France, la cour d'appel de Rennes a ordonné la remise en liberté de la famille, considérant "inhumain et dégradant" la garde à vue qui leur a été imposée.

    il y a de quoi !!! 

    Messieurs Hortefeux et Sarkozy, voilà les conséquences de votre politique du chiffre indigne. Pour moi, j'ai la rage au coeur, quand je vois dans quel pays nous vivons et comment nous traitons les étrangers.

    C'est ignoble. Je suis tout à fait convaincu que nombre d'éléments de notre administration actuelle se serait comportés exactement de la même manière sous Vichy, et, de plus en plus de comportements correspondent.

    On a beau ne pas vouloir faire d'amalgames, les ressemblances sont trop souvent troublantes... 

    François Bayrou a toujours été en faveur d'un traitement au cas par cas des régularisations ou non de sans papiers. On voit ce que produit la machine répressive et populiste du Président, dont le seul objectif est d'annoncer aux électeurs d'extrême-droite qu'il a réalisé son quota d'expulsions.

    Si les Français approuvent cette politique, c'est qu'ils sont trompés, mais aussi qu'ils tournent mal. Puissions-nous ne pas revivre des heures noires. J'espère que l'UDF-MoDem sera à la pointe du combat pour une éthique politique, quand le pouvoir malmène à ce point la dignité humaine.

    D'ailleurs, au lieu de passer leur temps à se regarder le nombril, j'inivte quelques uns de mes amis bloggueurs à s'intéresser un peu moins aux statuts et à leur positionnement dans notre mouvement, et un peu plus à la société civile et à ses souffrances, car pour ce malheureux nourrisson, c'est bien de souffrances  dont il s'agit

  • La lettre de Guy Môquet

    A farfouiller sur le site Bayrou.fr, et à lire les commentaires, on en trouve parfois d'excellents. J'ai relevé notamment celui de "Forez" du 22 octobre 2007 à 12h50. Comme j'adhère pleinement à ce qui est dit, je reproduis intégralement ses propos. Chapeau pour la qualité de l'analyse : il y a du neurone à profusion chez les Démocrates !

     La lecture de la dernière lettre de Guy Môquet donne l'occasion pour certains, groupes et individus, d'afficher des postures antagonistes préjudiciables à l'histoire et à la compréhension sereine du passé.

    1) La première posture est essentiellement celle de deux personnes, le président de la République, Nicolas Sarkozy, et son conseiller Henri Guaino. Xavier Darcos se fait plus distant, affirmant qu'il n'aurait certainement pas eu l'idée de cette lecture. C'est une posture classique, relevant d'une injonction à la commémoration officielle. Le choix de Guy Môquet comme symbole de l'engagement résistant, alors qu'il a été fusillé comme otage et non pour fait de résistance, est révélateur de leur profonde méconnaissance de l'histoire de cette période.

    2) La seconde posture est celle exprimée dans la foulée par le même Henri Guaino, provocatrice, cynique et méprisante à l'égard du monde enseignant, qu'il caricature de façon outrancière et haineuse…

    3) Une troisième posture, tout aussi classique, est représentée par le parti communiste français, qui d'une part instrumentalise sans ambages cette commémoration par un appel à "résister" au gouvernement, et d'autre part identifie PCF et Résistance, en occultant deux faits historiques : - le pacte germano-soviétique et le fait que Guy Môquet et ses camarades suivaient la ligne et ne dénonçaient pas l'occupation allemande - le parti communiste clandestin a mis du temps à revendiquer les attentats contre les officiers allemands et n'a pas immédiatement soutenu leurs auteurs

    4) Une quatrième posture consiste, à l'image du SNES et d'un groupe d'historiens rassemblés dans le Comité de Vigilance sur les Usages de l'Histoire (CVUH), à dénoncer l'usage politique de cette commémoration en utilisant des arguments qui relèvent aussi d'une certaine instrumentalisation idéologique. Au nom de leur statut d'historiens ils font un véritable usage politique de la dénonciation d'un usage politique de l'histoire. Ils voient dans cette commémoration l'occasion "d’effacer toute «tache» mémorielle : de la responsabilité de l’Etat français dans la déportation et l’extermination des Juifs à la non-reconnaissance des massacres coloniaux, de la répression du 17 octobre 1961 à l’oubli des anciens combattants «ex-colonisés», ainsi que la "réinvention d'une mémoire résistante". Cet argument rejoint les propos, précisément mal à propos, d'une enseignante largement diffusée dans les JT de France 2 et France 3, selon laquelle on assisterait à une "résurgence du résistancialisme gaulliste" ! Les mêmes qui dénoncent l'injonction commémorative ne sont pas capables d'une distance critique à l'égard de certaines approches contestables des "mémoires de la Seconde guerre mondiale" véhiculées depuis 2004 dans certains manuels de Terminale. Cet argument renvoie à une vision sombre, noire, crasse, de l'attitude des Français sous l'occupation, qui auraient eu besoin de "s'inventer une mémoire résistante" pour se dédouaner du reste (voir le téléfilm "Épuration" diffusé la semaine dernière sur France 2). Elle utilise des termes venant de l'extrême-droite ("épuration sauvage", "résistantialisme") destinés d'abord à dénigrer la Résistance. Avec cette confusion constante entre le gouvernement de Vichy, la France et l'ensemble des Français. Hélas les médias ne se font l'écho que de ces postures extrêmes et souvent anachroniques, et laissent bien peu de place à la nuance et à la réflexion sereine sur les complexités du passé. Pour les Français occupés l'exécution des otages, quelles que soient leurs convictions, était d'abord symbolique des souffrances et du martyre de leur pays, elle a provoqué un choc considérable.

    Personne ne rappelle l'écho, la portée et la signification, pour les contemporains de Guy Môquet et de ses camarades, de cette exécution et de celles qui suivront.

     

    L'analyse de F. Bayrou sur Europe 1 hier soir apportait la distance nécessaire, en replaçant à se juste place cet "événement".