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sarkozy - Page 28

  • ça se gâte aux affaires étrangères...

    La diplomatie de la France pourrait bien être la grande perdante des récentes élections : on savait déjà que Nicolas Sarkozy avait jugé la France arrogante, au temps de l'invasion américaine en Irak, mais il faut savoir que Bernard Kouchner, notre bon French Doctor était lui, carrément favorable à un engagement militaire en Irak. A vrai dire, il avait la naïveté de croire que le fait de renverser la dictature de Saddam Hussein était en soi une bonne chose.

    J'ai de l'affection et même de l'estime pour Barnard Kouchner, mais s'il y a bien un domaine où je le crois incompétent, c'est bien les affaires étrangères. Ne pas avoir compris dès le début que jamais les Américains ne pourraient refermer la boîte de Pandore qu'ils avaient ouvert dénote une singulière absence de vue sur le Moyen-Orient.

    Villepin ou Chirac étaient d'authentiques diplomates, avec une vision saine et équilibrée de la gouvernance mondiale. Un ticket Sarkozy-Kouchner, c'est l'alliance de la naïveté érigée en dogme au service de l'Atlantisme. 

    Par chance, les Américains en reviennent, et les Démocrates, eux, ont bien compris qu'il fallait absolument se sortir du guêpier irakien, d'autant qu'il y a également l'Afghanistan qui s'irakise à grande vitesse.

    Sur ce point, j'espère que Nicolas Sarkozy a été sincère en jugeant que la France n'avait pas vocation à demeurer là-bas. Les Américains ont attaqué l'Afghanistan des talibans pour répliquer à une attaque terroriste sur leur sol : seulement, le jour où les Français ont eu dans leur collimateur Ben Laden, un ordre venu du commandement suprême (américain en Afghanistan) leur a interdit de tirer. On comprend, dans ces conditions, que l'Amérique poursuit d'autres buts.

    En somme, Kouchner est un brave type, mais il dit et fait facilement des conneries, alors...

     

  • Le débat Sarkozy Royal

    Pour ma part j’ai trouvé quelques points de débat intéressants: Bon, très clairement, Ségolène Royal table sur une croissance de 2.5 pour financer son programme: cela sent un peu la baguette magique: la France est à 1.5 depuis 5 ans. C’est ce que je reproche à DSK qui a lancé le principe, c’est de faire des prévisions sur une croissance qu’il n’a pas. A noter que Sarkozy fait le même calcul pour pouvoir réduire les impôts. Là-dessus, il a dit des choses intéressantes en notant que c’était la croissance qui finançait les programmes: pour ma part, j’ai senti du Christian Blanc dans ces remarques.

    Ségolène a un plan B pour financer ses dépenses: la taxation des bénéfices boursiers.Ce n’est pas à mon avis un très bon plan, mais c’en est un tout de même.

    Elle a promis d’affecter les surplus fiscaux, au-delà de 2.5 de croissance au remboursement de la dette: je ne manquerais pas de le lui rappeler dans un éditorial, si elle est élue présidente, et que ce cas de figure se présente.

    Je l’ai trouvée intéressante sur la décentralisation: elle a raison, c’est en effet le bordell parce qu’il y a des doubles emplois et parce que les compétences ne sont pas clarifiées: résultat on dépense bien plus partout. Marrant d’ailleurs, sur l’éducation, ils ont parlé des ouvriers de service (les TOS) et c’est justement l’exemple d’une territorialisation ratée car au final, cela coûte plus cher que le statut de fonctionnaire d’état. On veut contrôler aujourd’hui les dépenses de l’état, mais on regarde pas celles des départements et des régions: on ferait bien de s’y intéresser, parce que là-bas, ça dépense aussi à tour de bras, et pas à bon escient.

    Pour le nucléaire, les deux candidats peuvent retourner sur les bancs d'école : en réalité, 17% c'est la part du nucléaire dans la consommation énergétique totale de la France.

    La part du nucléaire dans l'électricité, c'est 88% et par ailleurs l'EPR est un réacteur de 3ème génération !

    J'ai trouvé intéressant les remarques de Royal sur sa volonté de mieux répartir les aides des collectivités vers les PME. Là, on se rapproche du programme de l'UDF, mais il y a encore beaucoup de chemin à faire.

    Ce que j'ai aimé c'est un passage qui était du pur Christian Blanc dans le texte : à croire qu'elle avait lu la Croissance et le Chaos lorsqu'elle a expliqué qu'il fallait rapprocher Universités et Entreprises avec l'aide des Collectivités Locales. Elle a eu l'honnêteté de reconnaître le mérite du principe des Pôles de compétitivité, et bien mis en avant, là encore ce que Christian Blanc condamne : la bureaucratie de Bercy. Elle a à juste titre rapproché cela des problèmes de décentralisation. Sur l'économie, clairement, je l'ai trouvée bien plus intéressante par rapport à ce que j'avais pu entendre jusqu'ici. Je pense, cela dit, que sur l'intérêt des pôles de compétitivité, Nicolas Sarkozy est lui aussi d'accord avec Christian Blanc, et, sur ce point, j'ai trouvé que les deux candidats allaient dans le bon sens. Toutefois à la pratique, je constate que pour l'instant, Nicolas Sarkozy n'est pas parvenu à les mettre en oeuvre efficacement.

    Je suis impressionné : c'est très exactement ce que propose Christian Blanc. 

    J'ai trouvé le débat sur les 35 heures surréaliste : en effet, pourquoi Nicolas Sarkozy ne les a pas supprimées puisqu'il vient d'avoir le pouvoir pendant 5 années ? Si tout le monde admet que c'est une base, ce qui compte c'est de pouvoir faire des heures en plus sur cette base, et puis voilà. Manifestement, Ségolène Royal a renoncé à légiférer là-dessus, ou, tout du moins, pas sans un accord branche par branche des partenaires sociaux. Cela me semble le plus réaliste, en effet. 

    Sur l'immigration, ils sont sur le principe d'accord, mais pas sur la pratique : traitement au cas par cas. Le problème, c'est que Nicolas Sarkozy, n'a pas appliqué cette méthode, jusqu'ici, en avançant des objectifs chiffrés avant le traitement des dossiers, ce qui est contradictoire. 

     Sur l'école, je pense que Nicolas Sarkozy a raison de proposer des études du soir : le problème des collégiens, aujourd'hui, c'est l'organisation de leur travail. Je pense que les études du soir, à condition qu'elles soient bien fixées le soir, sont une solution efficace. Encore faudrait que le principe ne soit pas détourné. Dans les Hauts de Seine, cela a été mis en place, mais le problème, c'est que les enseignants les font pendant la journée, parfois tout bêtement pour un problème de possibilité de plages horaires d'ouverture des établissements scolaires. Une bonne idée, donc, mais, à améliorer et il faut en surveiller l'application.

    Je dois ajouter  enfin que je juge les réactions de la presse nationale tant écrite que télévisée d'une nullité affligeante : pas une réflexion sur le fond que des commérages "tactiques" comme ils disent. Nulles, pitoyables, et sans intérêt. 

     

    Transcription du débat sur le site du Nouvel Observateur 

  • Pierre Albertini adresse un démenti cinglant à de Robien

    Dans le cadre d'une clarification pour expliquer son vote en faveur de Nicolas Sarkozy, Pierre Albertini a vigoureusement affirmé son intention de participer à la création du nouveau parti démocrate et a adressé une réponse sans ambiguïté aux déclarations fantaisistes de Gilles de Robien :

     « Enfin, je n'ai aucune intention de me rallier à la démarche de Gilles de Robien qui cherche à empêcher la transformation de l'UDF en un parti démocrate (appellation provisoire)

    (Source : Capidées, le blog de Pierre Albertini) 

    Il a par ailleurs récusé la thèse de Nicolas Sarkozy sur les causes de la pédophilie, et avancé quelques remarques sur le nécessaire pluralisme des médias.

    Il semble que ce soit bien le programme économique de la candidate du PS qui s'est avéré rédhibitoire pour Pierre Albertini. Pour autant, son vote n'est nullement une adhésion au programme de l'UMP et de Nicolas Sarkozy.

  • Victoire probable de Nicolas Sarkozy...

    Il est clair qu'ergoter ne sert à rien : Nicolas Sarkozy a le vent en poupe, il est parvenu à réaliser un score très haut avec une très forte participation, et tous les sondages le donnent vainqueur contre Ségolène Royal. De plus, c'est un excellent orateur, et on peut supposer, en dépit de la combativité de Ségolène Royal, qu'il prendra le dessus sur sa concurrente socialiste lors du débat du 02 mai.

    Faisons un bilan : que retiendra la France ? La France retiendra bien sûr la chute du Front National, mais aussi l'émergence d'un homme qui a toujours dit la vérité, droit et opiniâtre, et l'émergence d'une 3ème force.

    François Bayrou, l'homme politique français le plus populaire était le seul homme qui pouvait battre Nicolas Sarkozy...Espérons que les Français s'en souviendront en 2012 quand le temps des désillusions sera passé. 

    Qu'a-t-il manqué à Ségolène Royal, finalement ? Tout ce qu'avait François Bayrou : une ligne claire et moderne, de la détermination. Partie sur une ligne social-démocrate, elle a eu le grand tort de lancer bien trop tard des débats sur le fond, et d'adopter un programme économique archaïque, celui de la gauche socialiste. Entre aternoiements  et faux-semblants, l'échec était inévitable, et contrairement à une tenace légende, la présence de Dominique Strauss Khan à la place de Ségolène Royal n'eût rien changé. Tout candidat socialiste eût toujours été prisonnier de ses alliances.

    Le PS a un long chemin devant lui, et, avant qu'une alliance soit envisageable entre le futur parti démocrate et un parti social-démocrate rénové, bien de l'eau va couler encore sous les ponts. 

    On peut reprocher à nombre d'élus UDF d'avoir décidé de voter pour Nicolas Sarkozy, mais comme ont pu le dire certains élus, les Socialistes ont laissé passer leur chance en refusant de se rénover. les déclarations particulièrement idiotes de François Hollande sur les riches à 4000 euros, ou encore, tout récemment de Monsieur Emmanuelli sur la création d'un parti progressiste et anti-libéral auront été autant de pierres jetées dans le jardin de la rénovation du PS.

    On peut dire que les Socialistes ont fait tout ce qu'il fallait pour faire perdre leur candidate, et que de très rares membres de ce parti finissant ont su voir tôt quelle direction il fallait  prendre. Il convient à cet égard de rendre hommage à Michel Rocard. Etant donné l'état de décomposition du PS, espérons qu'il nous rejoindra.

    Il faut aussi que les actuels élus UDF choisissent leur camp : s'ils se rangent dans la majorité présidentielle, il n'est pas envisageable qu'ils rejoignent ensuite le camp des Démocrates

    Certes, le programme socialiste faisait peser de graves dangers sur notre économie, mais, outre que je ne suis pas convaincu que le programme de l'UMP en fasse peser tellement loin, c'est  les libertés publiques et individuelles  que Nicolas Sarkozy menace, quant à lui, à coups de pression sur les pouvoirs médiatiques. Pour ma part, je ne fais pas confiance à cet homme-là. J'espèrerais me tromper, mais je crains hélas être dans le vrai. Or, je n'ai pas le sentiment que nos élus aient bien pris cette mesure, et la légèreté avec laquelle ils rejoignent le camp de cet homme tout-puissant n'a pas été pour m'enthousiasmer.

    De toutes façons, une nouvelle génération se lève, au Centre, et c'est celle-là qui construira l'avenir. De jeunes gens et de jeunes femmes représenteront les Démocrates aux élections législatives, des candidats modernes qui se seront définitivement investis dans notre nouvelle voie. C'est à eux que je fais confiance. 

    Peut-être qu'au moment où j'écris ces lignes je me trompe et que Nicolas Sarkozy ne sera pas victorieux, mais très franchement, j'en doute... 

    Pour moi, j'ai l'oeil résolument tourné vers l'avenir. Vive la France, vive la Démocratie, vive les Démocrates

  • Resserrement inédit...

    Un sondage inédit montrerait un resserrement tout à fait inédit chez les trois favoris, selon la Tribune de Genève :

     

    Réalisé vendredi 20 avril auprès de 1 000 personnes selon la méthode des quotas, ce sondage montre que Nicolas Sarkozy baisse à 26% et le Pen à 12,5%. Chemin inverse pour Ségolène Royal (23 %) et François Bayrou (20,5%).

    Les données brutes sont très intéressantes :

    Nicolas Sarkozy (25%) est toujours en tête, mais son avance sur Ségolène Royal et François Bayrou (tous les deux à 24%) est minime. De son côté, Jean-Marie Le Pen est à 5%.

    C’est le cas du candidat centriste qui est le plus intéressant. D’abord, parce que le nombre d’électeurs qui sont désormais certains de voter pour lui a explosé en deux jours (de 39 à 61%). Ensuite, parce qu’il l’emporterait assez facilement s’il se qualifiait au second tour, quel que soit son contradicteur (à 55% contre Sarkozy et à 58% contre Royal). De plus, le vote des indécis, des nouveaux inscrits et des jeunes de banlieue semble incliner vers le président de l’UDF ».

     

  • Néron et les Démocrate-chrétiens...

    Bonne blague lue dans Libération du mercredi 11 avril...

    « C'est Néron qui s'emmerde : "Qu'est-ce que j'peux faire ? J'sais pas quoi faire." Soudain, bingo : "Et si je raflais les chrétiens pour les jeter aux lions ? En voilà une idée qu'elle est bonne !" Néron envoie ses hommes dans les catacombes. Ils raflent tous les chrétiens qu'ils trouvent, et hop, direction les geôles du cirque. L'heure du spectacle arrive. On pousse les chrétiens dans l'arène : de pauvres types, maigres, hagards, les yeux rouges, éblouis par la lumière, crevant de faim et de solitude. Une grille s'ouvre et voilà les lions : puissants, dominants, conquérants. Ils fondent sur leurs proies et soulèvent tant de poussière qu'on ne voit plus rien. On entend des rugissements, des cris, on imagine des choses horribles. Quand la poussière retombe, on découvre ça : les chrétiens repus, satisfaits, qui finissent de ronger les os des lions déchiquetés. Alors Néron, furieux, crie à ses conseillers :  "Connards, je vous avais dit : des chrétiens ! Pas des démocrates-chrétiens !" »
     
    ça ne rappelle pas quelqu'un, ça ? :-) 

     

  • Mais ça va la tête ?

    Nicolas Sarkozyaffirmé, dans un entretien avec le philosophe Michel Onfray publié dans Philosophie magazine "qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions pas gérer cette pathologie". Concernant le suicide des jeunes Nicolas Sarkozy a déclaré dans ce même entretien : "Il y a 1.200 ou 1.300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable".
    "Très grave"

    Des propos qui ont suscité une vive réaction de la part de François Bayrou qui dénonce "un propos très grave". Selon le candidat de l'UDF, ça voudrait dire qu'on n'a aucune chance, que son destin est joué à l'avance. Je ne crois pas qu'il y ait un médecin, un psychiatre en France qui puisse entendre ces propos sans frémir".
    Il a estimé que les propos de Nicolas Sarkozy constituaient "un dérapage très lourd de conséquences". "Ce sont des propos qui ne sont plus des propos humanistes, c'est glaçant".

     

    Je n'en reviens pas...Les bras m'en tombent... Su au moins c'était un hoax, mais même pas en plus...

  • Nicolas Sarkozy aurait-il peur d'internet ?

    On savait déjà que Nicolas Sarkozy ne se sentait pas chez lui dans le 93 et particulièrement sur la dalle d'Argenteuil. Mais aujourd'hui, alors que François Bayrou lui propose, ainsi qu'à Ségolène Royal et Jean-Marie Le pen, un débat équitable sur la Toile, ce dernier refuse. Peur de quoi ? Du débat d'idées ? Des internautes ? de la blogopshère ?

    Plusieurs blogs et sites collaboratifs ont fait savoir qu'ils étaient pourtant prêts à accueillir un tel débat. L'idée a fait notamment son chemin sur AgoraVox, et Carlo Revelli et son équipe ont clairement proposé de se charger de son organisation.

    Mais voilà, alors que Ségolène Royal et Jean-Marie Le pen acceptaient le principe d'un tel débat, que François Bayrou était lui-même prêt à élargir aux petits candidats un tel espace de confrontation, l'ex-premier flic de France s'est dérobé. Ce n'est pas à son honneur, et ce n'est pas en fuyant et en esquivant le face à face qu'il parviendra à capitaliser la confiance sur sa personne.

    Car enfin, que craint-il exactement ? La vacuité de son programme ? Ses promesses démagogiques ? Ses propos outranciers ? Ses soucis fiscaux et immobiliers à Neuilly ? Le soutien de Simone Veil ?

     Vous nous volez notre débat, Monsieur Sarkozy, et faites preuve de mépris envers le petit peuple de la Toile.

  • Incidents de la Gare du Nord : décryptages

    Ce qu'aucun média ne dit, c'est qu'il y a eu deux émeutes différentes à la Gare du Nord.

    Il n'y a que Le Monde, pour l'instant, qui va vu la nuance.

    Dans un premier temps, qu'ont vu les citoyens lambda et jeunes ou moins jeunes qui débarquaient dans le coin : un groupe de policiers qui chopaient un type et lui balançaient des coups de matraque à coups redoublés.
    Comment voulait-on alors  que ces gens sachent que le gars en question était un clandestin multi-récidiviste ?Il y a sous Sarkozy tant de bavures et de contrôles au faciès ou d'arrestations avec fouilles humiliantes qu'ils ont cru que c'en était une ! D'où leur réaction.Tout s'est embrasé, mais cet embrasement, il ne vient pas du hasard : il vient de la méfiance entre les forces de l'ordre et la population qu'a semée la politique de Nicolas Sarkozy.Le calme est ensuite revenu, et, plus tard dans la soirée, un autre groupe est arrivé, mais celui-là différent : parmi eux, beaucoup de casseurs et de la racaille, sans doute alertés par l'annonce d'incidents à Gare du Nord. Mais même là, tout n'est pas blanc et noir : il y avait certainement quelques éléments qui avaient été présents lors de l'arrestation du fraudeur.

    Le problème global, c'est que maintenant, quand on voit une arrestation, on ne sait plus si elle est justifiée ou non. Et cela, c'est de la responsabilité de Nicolas Sarkozy.

    C'est cela que dénoncé à juste titre François Bayrou : semer la confusion sur un sujet aussi grave que la sécurité et la justice finit tôt ou tard par générer un climat d'affrontement permanent.

  • Transcription partielle des sondages

    J'aimerais bien savoir pourquoi personne dans la presse ne précise que François Bayrou battrait Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection présidentielle, selon le dernier sondage LH2 par 60% contre 40% des voix !!!

     Je ne comprends pas parfois le raisonnement des électeurs. L'opinion juge François Bayrou honnête, approuve son idée d'union nationale, et pense que son programme est le plus crédible. Alors pourquoi ne pas se décider à voter massivement pour lui dès le premier tour ?