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  • Convergence sociale européenne

    Les Démocrates (ADLE-MoDem) veulent lutter contre le dumping social qui favorise les délocalisations intra européennes et les inégalités entre
    européens. Ils veulent une harmonisation progressive par le haut du niveau de protection sociale de l’ensemble des États de l’Union. Cela peut prendre la forme d'un plan de convergence sociale sur dix ans, qui permettrait une harmonisation progressive des droits. Ce plan comportera des objectifs en matière de revenu minimum, d’accès aux services publics, de lutte contre les inégalités, et de dialogue social. La libre circulation croissante appelle également à une réflexion de fond sur la coordination de nos systèmes de sécurité sociale. De même, une nouvelle directive sur les travailleurs détachés est nécessaire pour mieux protéger les droits sociaux de ces derniers. Enfin, l’Union européenne doit s’engager activement pour parvenir à une réelle diminution de la pauvreté dans tous les États membres. Le prochain président devra s’engager sur chacun de ces quatre points.

  • Une intégration économique européenne plus forte

    Les Démocrates (composante de l'ADLE dont le MoDem est membre) souhaitent mettre en oeuvre une gouvernance européenne avec une plus grande coordination des politiques budgétaires, industrielles et économiques des pays membres de la zone euro, ainsi que la mise en place d’une nouvelle comptabilité qui intègre le capital naturel et le capital humain. Les Démocrates veulent promouvoir l’élargissement de la zone euro : ce serait un signal politique important, un geste de solidarité fort à l’égard de pays européens qui, en plus de la crise économique et financière, souffrent d’une crise monétaire. En échange de cet élargissement, pourrait être négociées des contreparties telle une politique fiscale commune, en particulier concernant l'impôt sur les sociétés. Le prochain président doit s'engager sur un élargissement de la zone euro dans un cadre qui ne mette pas en péril la viabilité de la monnaie commune.

  • Des marchés financiers au service de l'économie réelle

    Les Démocrates (composante de l'ADLE dont le MoDem est membre) veulent une régulation et une supervision financières plus ambitieuses. Pour eux, la moralisation de la sphère financière ne doit pas être un affichage momentané, mais un réel changement de fond qui doit concerner toute la chaîne jusqu'au système de rémunération et de notation. La finance doit être mise au service de l’économie réelle, de l’emploi, et de l’investissement. C’est pourquoi les Démocrates souhaitent que l’Union européenne mette en place une supervision unique qui pourrait éventuellement être confiée à un organe rattaché à l'Eurogroupe. Le prochain président de la Commission doit s'engager à privilégier l'économie réelle sur l'économie financière.

  • Un plan de relance européen

    Les Démocrates (dont est membre le MoDem) , l'une des composantes du groupe ADLE, a constitué son propre memorandum. Pour relancer la machine européenne, il propose des solutions concrètes : un plan de relance à l'échelle européenne.

    Les Démocrates proposent de drainer l'épargne européenne grâce à un emprunt financé par des euro-obligations émises par la BEI et visant à
    investir dans l'économie du futur, en particulier dans les infrastructures de télécommunications, de transports et d'énergie, en veillant à assurer la sécurité énergétique de l'ensemble du territoire de l'UE ; de créer un Fonds de croissance et d’investissement pour favoriser la reconversion des industries du XXème siècle vers celles des technologies durables du XXIè, en développant des pôles de recherche et d'innovation , ainsi que des modèles coopératifs d’excellence dans des filières spécifiques liées à l'industrie verte ; de porter une attention plus grande, à court terme, aux victimes de la crise, à moyen et long terme, aux besoins de reconversion des travailleurs, en augmentant la dotation et la flexibilité du Fonds social d’ajustement à la mondialisation.

  • Nathalie Griesbeck, euro-députée MoDem, défendra les libertés en Europe

    A l'issue de la première session plénière qui s'est réunie cette semaine à Strasbourg, le Parlement européen nouvellement élu a renouvelé Nathalie Griesbeck dans ses fonctions au sein de la Commission des Transports (TRAN) et l'a désignée pour siéger au sein de la prestigieuse Commission des Libertés civiles, de la Justice et des Affaires intérieures (LIBE).

    Nathalie Griesbeck s'est déclarée très satisfaite de ses responsabilités au sein de deux très importantes Commissions parlementaires, dont les prérogatives issues de la procédure de codécision ont un impact direct considérable sur la vie des citoyens européens.

    "Je suis très heureuse de poursuivre l'important travail déjà entrepris ces dernières années pour coordonner nos politiques de transport routier, ferroviaire et aérien et doter l'Europe d'infrastructures de transport adaptées aux besoins du 21ème siècle", explique Nathalie Griesbeck.

    "Mon entrée au sein de la Commission LIBE me permettra également de poursuivre les travaux conduits ces derniers mois au sein des groupes de réflexion du Mouvement Démocrate ; Il s'agit notamment pour l'Europe de répondre aux problématiques de libertés publiques à l'heure d'une métamorphose de nos conditions de vie liée à la généralisation des échanges de données électroniques, de s'organiser contre les réseaux de criminalité, d'opter pour la mise en œuvre d'une approche humaniste de la question des flux migratoires, et de promouvoir les politiques luttant contre les discriminations de quelque nature qu'elles soient", a conclu Nathalie Griesbeck.

  • Europe, ce qui attend la présidence suédoise

    Sarnez.jpgIntervenant dans le cadre de la présentation par la présidence suédoise de l'Union européenne, mercredi 15 juillet, Marielle de Sarnez, députée européenne du Mouvement Démocrate, a rappelé les deux principales questions qu'aurait à traiter la présidence suédoise : "la première, c'est la question de la crise. Tout le monde le sait, nous avons besoin d'une réponse cohérente et commune à la crise économique et sociale et donc d'un plan de relance européen pour porter des investissements durables et pour soutenir l'emploi". La vice-présidente du groupe "Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l'Europe" a ajouté "l'Europe doit vraiment se montrer aujourd'hui plus attentive, plus proche de nos concitoyens dans les difficultés qu'ils traversent. Elle doit aider davantage ceux qui sont frappés par la crise. De ce point de vue-là, il y a urgence !"

    Puis Marielle de Sarnez a soulevé la deuxième question, celle du nouveau modèle de développement qui doit émerger à l'issue de la crise. Marielle de Sarnez défend "un modèle plus sobre, plus juste et plus durable, qui mette la finance au service de l'économie réelle ; qui développe de nouvelles formes de solidarité entre Européens ; qui prenne en compte les enjeux sociaux et environnementaux dans les échanges internationaux ; et qui réforme en profondeur nos relations avec les pays les plus pauvres de la planète, je pense notamment à l'Afrique".

    Enfin, Marielle de Sarnez a rappelé l'exigence démocratique liée au processus de ratification du traité de Lisbonne : "il y a des différences très importantes entre le traité de Nice et le traité de Lisbonne concernant ce processus de désignation : majorité simple d'un côté, majorité qualifiée de l'autre ; désignation d'un côté, proposition de l'autre ; nombre de commissaires qui diverge selon l'un ou l'autre des Traités. Je vous demande vraiment que soient respectés l'esprit et la lettre des Traités". "C'est de votre responsabilité. Ceci est très important pour la crédibilité de nos institutions" a-t-elle ajouté.

  • Une réglementation européenne pour la finance est-elle pertinente ?

    Je me réjouissais, tout récemment, de la nomination d'une euro-députée lib-dem à la commission économique et monétaire du Parlement Européen, saluant notamment son rôle dans le processus Lamfalussy. Mais Arnaud (Quindi) est venu doucher assez rapidement mon enthousiasme...

    Euh... Lamfalussy c'est un processus de coordination des réglementations des Etats membres, sur la base d'une législation européenne traduite dans le droit national.

    Même si je suis généralement fan de la création de standards communs et rarement en phase avec Sarko sur les affaires européennes, il ne faut pas minimiser le rôle des autorités budgétaires nationales (à défaut d'avoir un budget européen conséquent dans ce domaine) dans la remise à flot des secteurs bancaire et d'assurance, qui ne sont pas homogènes entre Etats membres (tu as omis de traduire le passage: ce sont les contribuables qui auront financé les conséquences de la crise).

    La problématique réelle est celle de stratégies financières et bancaires divergentes d'un pays à l'autre. La procédure Lamfalussy ne peut mener que vers une forme de régulation qui serait le plus petit dénominateur commun (notamment celle du Royaume-Uni). C'est vers l'Eurogroupe qu'il faut se tourner (dont le Royaume Uni n'est pas membre, ce qui pose la problématique de la nomination de Sharon à ce poste), avec une plus grande coordination de la stratégie financière, budgétaire et monétaire des Etats membres de ce groupe, qui doit fixer la tendance pour mener de manière subséquente et parallèle la procédure Lamfalussy d'augmentation de la régulation.

    Bref, c'est le schéma classique de la paralysie européenne, faute de politique économique et financière commune, il n'y a pas d'interlocuteur valable pour les acteurs monétaires (BCE) et financiers (acteurs privés). Faute d'adhésion du Royaume-Uni à la Zone Euro, un des principaux acteurs de la crise décrédibilise les efforts de régulation européens. Le Parlement Européen devenant un observateur dans tout cela, car il n'est pas la contrepartie législative d'un exécutif économique que serait l'Eurogroupe; de même la Commission n'ayant que très peu de pouvoir dans le domaine, et ne souhaitant pas les développer (sous Barroso), ce qui aurait aussi légitimer le rôle du Parlement face à la Commission. Toute forme de régulation sous la procédure Lamfalussy pour le moment sera donc insignifiante (car minimaliste) par rapport aux problématiques de titrisation et dissémination des risques par les hedge funds (le problème ce ne sont pas les hedge funds, mais plutôt l'ingénierie financière des banques et assurances pour délaisser leur prise de risque). On en revient à la nécessaire volonté de transformation du tissu financier, qui ne peut intervenir à l'échelle européenne, qu'à partir de l'Eurogroupe et la Commission (avec Barroso, Juncker, Sarkozy, et un PPE majoritaire, c'est mal barré)
    .

  • Guy Verhofstadt à la tête de l'ADLE

    Les élus du Mouvement Démocrate se félicitent de l'élection, mardi 30 juin, de Guy Verhofstadt à la tête du groupe de l'Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe au Parlement européen. "Guy est un ami fidèle. Il a activement participé à la première université d'été de notre jeune mouvement, le MoDem, et nous avons dès le début soutenu sa candidature, certains que nous étions d'avoir trouvé la bonne personnalité pour diriger un groupe que nous avons créé et dont nous demeurons plus que jamais persuadés qu'il sera au coeur de l'activité politique du Parlement européen", a déclaré Marielle de Sarnez, vice-Présidente de l'ADLE.


    Le MoDem est d'autant plus satisfait de son choix que Guy Verhofstadt, fidèle à son propre parcours politique d'ancien Premier ministre belge ayant dirigé avec succès une coalition libérale, écologiste et socialiste, a pris une série d'engagements qui confirme la validité du message démocrate, en particulier la nécessité de passer à un nouveau modèle économique et social, plus sobre, plus juste et plus durable.

    La force des idées de Guy Verhofstadt, détaillées dans son dernier livre, "Sortir de la crise", tout comme d'ailleurs de son précédent, "Les Etats-Unis d'Europe", reflètent ainsi nombre des thèmes avancés par le MoDem pendant la campagne des européennes, en particulier l'opportunité d'un grand plan de relance européen financé par l'émission d'euro-obligations et la nécessité d'approfondir l'Union européenne autour des pays appartenant à la zone euro, notamment sur le plan fiscal et social.

    "Des discussions vont maintenant s'ouvrir avec le PPE et le PSE pour la présidence de la Commission européenne et avec Guy Verhofstadt, nous savons que la barre sera placée très haut" fait valoir Marielle de Sarnez.

  • Pour aider l'Iran, fermons nos gueules !

    C'est dit un peu brutalement, mais je crois que c'est ce que nous avons de mieux à faire. Ce que d'ailleurs Obama a très intelligemment compris. Il y a actuellement, au sein même du pouvoir iranien une lutte de pouvoir. On a proclamé un peu vite Moussavi réformateur. Moussavi est un modéré, mais je rappelle que le candidat réformateur, c'est Karoubi, pas Moussavi.

    Moussavi, bien que modéré et plutôt ouvert, fait partie de l'establishment iranien. En ce sens, s'il est bien victorieux, il escompte bien ne pas se faire voler sa victoire. Et il a quelques appuis sérieux, ce qui explique l'indécision de Khamenei. Les Bazaris, apparemment, le soutiennent, et, ce qui est plus ennuyeux pour Khamenei, une partie du conseil des experts, seule instance capable de révoquer Khamenei. Or, ce conseil est présidé par Hachemi Rafsandjani, un pragmatique, adversaire politique direct de Khamenei.

    Je pense que les états européens n'ont absolument aucun intérêt à faire connaître leurs inquiétudes sur le processus électoral au pouvoir iranien ; le pouvoir iranien se fout des inquiétudes des Européens comme de l'an 40. Deux forces se mesurent actuellement en Iran et testent leur puissance. L'une dispose d'appuis politiques, mais moins que la seconde. En revanche, elle a réussi à mettre le peuple de son côté.

    En revanche, ce que nous pouvons faire, c'est faire circuler l'information. Le département d'Éat américain qui a bien compris l'enjeu, a agi avec beaucoup d'intelligence en suggérant à Twitter de remettre à plus tard sa maintenance. Il aurait simplement dû être plus discret pour qu'il n'y ait pas de fuites...

    Que l'on ne se leurre pas : sur le programme nucléaire, aucun des candidats n'a l'intention de lâcher du lest. A la limite, je dirais même que Moussavi est un meilleur choix qu'Ahmadinejad sur ce point, car comme il est bien meilleur diplomate, il braquera certainement moins les Occidentaux si finalement il a bien obtenu une majorité de suffrages. Et comme il les braquera moins, il fera forcément passer plus de chose sans coup férir...

    Une chose est certaine, ce que les Iraniens ont fait, seuls les Iraniens peuvent le défaire. Leur sort est donc entre leurs mains. On reçoit de l'information de Téhéran ou d'Ispahan, mais j'aimerais bien savoir quelle est l'ambiance dans les campagnes perses...

    Quelle que soit l'issue, Twitter se sera fait une sacrée pub à peu de frais dans cette histoire. J'ai ciommencé à chercher des profils d'Iraniens sur place, mais Twitter, c'est plus touffu qu'une savane, et je ne suis pas familier de ce mode de communication.

  • Dettes du foot, pires que les États !

    Le mercato a commencé dans le monde du football et les transferts aux montants faramineux défraient la chronique. La véritable injustice, à mes yeux, ce n'est pas la concurrence, mais plutôt que les mêmes règles de saine gestion ne soient pas appliquées sur tout le continent européen. En mai 2008, Chelsea et Manchester United cumulaient à eux deux 1.9 milliards d'euros de dettes. Le Real Madrid pour réaliser ses acquisitions cette année va voir sa dette plonger à 600 millions d'euros. Certes, ce club fait des bénéfices, mais il dépense plus qu'il ne gagne en transferts et seul le service de sa dette est considéré dans son bilan comptable pour juger de la qualité de son rapport. Liverpool doit plus de 750 millions de dollars à ses créanciers. Tous ces clubs qui gagnent des coupes d'Europe le font à crédit et tuent la compétition en se permettant des écarts comptables que seuls les États s'autorisent à ma connaissance. El Païs titrait il y a trois semaines sur le fait que le football espagnol totalisait une dette de 3.44 milliards d'euros ! Côté anglais, la dette totale s'élève à 3.6 milliards d'euros uniquement pour la Premier League. La dette de l'Inter de Milan avoisine les 420 millions d'euros. La plupart des gros clubs européens ont une dette supérieure à une année de budget. Même notre hyper-endetté État français n'en est pas à ce point.

    En France, la DNCG interdit tout transfert aux clubs en difficultés financières. Je ne dis pas qu'il faut interdire radicalement aux clubs de s'endetter, quand, par exemple, ils 'agit de dépenses de structures et d'investissement (centres de formation, stades) mais il faudrait tout de même légiférer un minimum. On aboutit à des disparités qui ne reposent pas sur la seule valeur sportive ni même sur la richesse des clubs mais simplement sur leur propension à s'endetter plus que leurs semblables. Un club comme Valence a une dette de 500 millions d'euros. A côté, l'Olympique Lyonnais a un budget de 120 millions d'euros, et c'est l'un des trois clubs les plus riches de France.

    Le Real Madrid, il y a àpeu près 10 ans s'est vu effacer (par le roi d'Espagne) une dette de 1 milliard de Francs(150 000 millions d'Euros). Deux à trois années après,   la ville de Madrid a racheté ses terrains d'entrainement contre une somme identique. La même ville  "loue"  le centre d'entrainement au club pour un montant négligeable.

    Zut alors, les européennes sont finies, mais on aurait du aussi évoquer la question pendant la campagne. Il faut une DNCG européenne (une DECG, en somme). Le MoDem avait pourtant une position sur ces questions spécifiques. Je l'ai trouvée en parcourant les synthèses de ses groupes de travail. La voici :

    Il est indispensable que les Etats membres reconnaissent la spécificité du sport, comme il y a une spécificité de la culture, permettant ainsi à l’Union européenne de se doter d’une politique européenne sportive ambitieuse. Dès lors, il faut revoir le mode de gouvernance et instaurer une véritable solidarité, à travers une redistribution des moyens financiers, entre grands et petits clubs. Seules les fédérations sportives peuvent assurer cette solidarité, contrairement au modèle américain de ligues professionnelles fermées et très puissantes. L’Union européenne doit aussi se doter d’une direction européenne de contrôle de la gestion des clubs professionnels. C’est seulement au niveau européenne que l’on pourra contrôler efficacement les opérations de transferts et la provenance des fonds, en totale indépendance avec les autorités locales et les clubs professionnels. Egalement, l’Union européenne, à travers une directive, doit mieux encadrer la profession d’agent de sportifs. Et bien entendu, la gouvernance européenne du sport professionnel nécessite une régulation des paris sportifs et une véritable politique anti-dopage dans tous les sports.

    Paf, z'avez vu et lu ? J'ajoute qu'une partie des dettes des clubs est également fortement liée aux montants de salaires. Bref, il y a là toute une réflexion à mener et des décisions à prendre. Hop, je passe la balle à mon pote blogueur Falcon Hill, lui qui s'intéresse au football a certainement un avis là-dessus.

    Et puisqu'il paraît qu'il ouvre un blog collectif sur le football avec quelques autres blogueurs politiques, je leur propose déjà ce premier sujet.