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police - Page 2

  • L'élu du groupe PC qui ne veut pas rendre hommage à Aurélie Fouquet, la jeune policière abattue

    Il y a des vidéos qui se passent de commentaires tant elles laissent sans voix. J'ai pris connaissance de l'une d'entre elles sur le blog satirique 93sang30.

    Les bras m'en tombent. Le type est un élu de la république, mais parce qu'il est prisonnier d'un discours anti-flic typique de la gauche de la gauche, il décide de faire le malin. Quelle morgue incroyable ! Quelle absence de considération pour cette jeune femme morte en service qui laisse un bébé de 14 mois orphelin ! Je vais prendre contact avec Nicole Rivoire, l'ex-maire MoDem de Noisy-le-sec, tête de file de l'opposition, et lui suggérer de demander des explications à la nouvelle majorité municipale. Quand on voit le niveau d'argumentation donné par l'élu communiste, il y a de quoi hurler : opposer l'ouvrier au policier, c'est vraiment le nec plus ultra de la démagogie gauchiste la plus minable qui soit. J'évoquais l'insécurité cette après-midi, mais à vrai dire, le consensus n'est pas gagné. Côté Verts, dans l'actuelle majorité de Noisy-le-Sec, c'est le maire adjoint, Patrick Lascoux, un Vert (tiens tiens, ceux qui soutiennent les émeutiers de Villiers le Bel...) qui déclarait tout récemment qu'il ne valait mieux pas rencontrer la police municipale et qu'on frôlait la bavure si l'on n'obtempérait pas. Minable. C'est là où on comprend très bien que la racaille peut compter sur des alliés objectifs au sein de la classe politique. Ces individus, par haine du flic, sont prêts à dire et à justifier n'importe quoi. Il faut dire qu'on comprend mieux leurs réactions en lisant leurs motions : Verts et certains communistes présentent alors un texte pour supprimer la police municipale sous des prétextes aussi tordus que fallacieux et démagogiques. Je ne vous raconte pas la tête des Socialistes locaux, bien emmerdés par leurs alliés. Voilà ce que c'est que d'avoir des amis infréquentables, aussi...Il fallait écouter l'un d'entre eux (Communiste) expliquer que la police tue...

    Bref, citoyens de Noisy le Sec qui aimez votre tranquillité, ne faites pas l'erreur de voter une seconde fois pour l'alliance des gauches. Sachez qu'au sein de cette alliance, de dangereux démagogues sont tout prêts à multiplier les Aurélie Fouquet, parce que voyez-vous, la police tue...

  • Hommage à toi, Aurélie !

    A l'heure où d'autres choisissent de soutenir des individus qui appellent à la haine de la police, j'ai voulu, pour ma part, rendre hommage à Aurélie, jeune maman d'un bébé de 14 mois, décédée dans l'exercice de sa mission. Aurélie était une jeune policière plein de vie et de courage. Elle est tombée sous les balles de délinquants pour lesquels la vie n'a aucune valeur. Moi, je suis qu'un simple militant politique (MoDem), pas une personnalité, et donc, finalement, guère autre chose qu'un inconnu ordinaire parmi tant d'autres inconnus ordinaires, mais je voulais tout de même, en dépit de insignifiance de ma parole, apporter ma toute petite pierre au souvenir de cette jeune femme merveilleuse.

    Il est désormais un devoir moral  pour la France de tout faire pour aider à élever le bébé d'Aurélie. Si je peux contribuer à quelque chose, y compris financièrement, je le ferai très volontiers, si des amis et collègues d'Aurélie veulent bien se manifester sur ce blogue, en commentaires ou par courriel (l'adresse figure à gauche).

    Repose en paix, Aurélie. Je, nous, pensons à toi.

  • Interdit d'interdire, vraiment ?

    J'ai cru halluciner à la lecture du communiqué publié sur le blogue de Laure Leforestier. Enfin, ce n'est pas tant le communiqué lui-même, dont je ne partage pas le souci, mais que je juge raisonnable, que le titre du billet du blogue. Comme le disent les Verts dans leur communiqué, nous notons le glissement sémantique de « soutien aux inculpés » à « soutien aux émeutiers ». On a bien compris le souci : en l'absence de jugement, nul ne peut être considéré comme coupable. C'est vrai de toute inculpation. Mais il y a le choix des mots et des appels auxquels on répond : il faut juger sur pièces du ton du communiqué du collectif qui a appelé les Verts à la rescousse : «pendant deux nuits, la police est tenue en échec. [...] du 25 au 27 novembre 2007, c'est une ville qui s'est soulevée, un moment de l'histoire.». Tout cela avec une belle écriture rouge sur fond noir qui rappellent diablement la coloration des groupuscules de l'ultra-gauche...

    Quant à décrire comme d'extrême-droite les policiers et le syndicat de gardiens de la paix qui se révoltent contre un concert donné par des groupes de rap qui appellent à la violence contre les forces de l'ordre dans leurs chansons, c'est du plus haut comique : il s'agit de FO, le syndicat Force Ouvrière, un authentique syndicat de gauche, même s'il a toujours revendiqué (et appliqué !) son indépendance par rapport aux partis politiques.

    Bref, initialement, il s'agissait pour Europe-écologie de s'élever contre l'interdiction d'un concert destiné à porter «la bonne parole», et, accessoirement, apporter des fonds aux fameux inculpés. Soit, admettons, il n'y a rien d'illégal à soutenir des gens qui sont inculpés.  Mais la défense de la liberté d'expression, invoquée dans le communiqué des Verts Haut-Normands,  s'est muée subitement, dans le titre du blogue, en soutien inconditionnel aux inculpés, parce qu'il est interdit d'interdire, slogan qui rappelle une autre époque d'émeutes. Il y a là une charge sémantique qui est loin d'être neutre, et traduit au moins l'arrière-pensée de la maîtresse des lieux.

    On peut jouer au chat et à la souris avec la sémantique, les mots ont un sens, connoté ou dénoté, et finissent toujours par parler. L'opinion publique ne s'y trompera pas : les Verts pourront toujours clamer leur bonne foi, elle retiendra qu'ils auront soutenu les émeutiers et, in fine, les voyous. Parce qu'il est interdit d'interdire...

     

     

  • Arbois à boire, et paf, un car de CRS...

    Philippe Gonon, conseiller municipal MoDem à Besançon nous livre l'intéressante et passionnante anecdote. Sans doute soucieux de rétablir l'ordre et la loi dans les ruelles sinistres et mal fréquentées de Besançon, déterminé à lutter contre le spectacle dégradant d'ivrognes patentés se livrant en public à la boisson effrénée d'une coupe de vin, le préfet nouvellement nommé par Nicolas Sarkozy dans le Doubs, Nacer Meddah, a réagi énergiquement en envoyant force pandores intercepter l'infâme contrevenant. In vino veritas, comme le dit opportunément Philippe Gonon, d'autant que le misérable contrevenant écoulait frauduleusement du vin local, ou presque, puisqu'Arbois n'est pas si éloignée de Besançon, pour autant que je me souvienne de ma géographie, notamment celle des vignobles...

  • Gardes à vue, cela devient terrifiant !

    Plus le temps passe, dans la France de Nicolas Sarkozy, et plus j'ai le sentiment de vivre dans un état toujours plus policier, avec tous ses travers sans un seul de ses avantages. En somme, tandis que les racailles de toute sorte se pavanent et font la loi dans les cités, désormais, le citoyen ordinaire peut se retrouver 12 heures d'affilée en prison sur la foi d'une déclaration farfelue ou d'une calomnie. A preuve, ce retraité qui avait eu le malheur de se promener chez lui tout nu (à l'intérieur de sa maison !). Comme une adolescente affirme l'avoir vu à travers une fenêtre, paf, au poste ! et le comble, c'est qu'elle n'a finalement pas reconnu. Ça veut dire quoi ? Par exemple, on ne peut plus risquer de prendre une douche et se presser de répondre en catastrophe au téléphone sans risquer de faire de la prison ? La France est de plus en plus souvent condamnée. Les bornes sont régulièrement passées, dans ce pays. Et il n'y a aucune réaction au plus haut niveau de l'État. C'est une véritable psychose : les flics ont la trouille qu'on leur reproche de n'avoir rien fait, alors du coup, par précaution, ils coffrent n'importe qui.

  • Bien fait pour les petits c...

    Tiens, encore un fait divers :  trois merdeux s'en sont pris à une gamine dans un lycée de Marseille. Trois garçons contre une fille, courageux «jeunes déçus» (©h16) qu'ils sont, la gamine ne s'est pas laissée faire et s'est plainte à sa mère. Pas de pot pour les petits cons, la mère en question était officier de police. Moyennant quoi les pandores ont débarqué en uniforme dans le lycée et, au bout du compte, huit heures de garde à vue. Seulement, voilà, la presse hurle au scandale, et le ban et l'arrière-ban des fédérations de parents, d'élèves, et des syndicats enseignants hurlent à l'état fasciste. Et pendant ce temps, les agressions croîssent de mois en mois dans les établissements scolaires. On entend de ci de là que le proviseur aurait pu régler cela en interne. La vérité, c'est que si la gamine s'en était remise à l'administration, il ne se serait strictement rien passé, et elle aurait pu faire l'objet de brimades, voire de menaces par la suite.

    Moi, ce que je pense, c'est qu'à un moment donné, il va bien falloir commencer à les poser, les limites. C'est bien fait pour leurs gueules à ces petits cons*. Ça va leur apprendre la vie en société. Ce qui m'étonne, c'est de voir un journal de droite comme Le Figaro quasi-emboiter le pas à la presse de gauche sur un incident de ce type. Moi, en fait, le seul truc qui me choque vraiment, c'est que je me demande comment peuvent faire ceux dont les parents n'exercent pas une profession à responsabilité dans la police. C'est plutôt cela qui est troublant, que tout le monde ne soit pas protégé également. Mais que les petits cons en aient pris plein la gueule et aient peut-être chié dans leur froc en pleurnichant pour leur connerie et leur lâcheté, je m'en réjouis haut et fort. Il paraît que la gamine s'est prise un bouchon de champagne au visage. Ah bon ? Champagne pour vos gueules, les merdeux, j'ouvre la bouteille : le prochain coup, vous vous la péterez moins...

    *NDLR : je sais, je suis réac et alors ? J'assume.

  • Hortefeux veut se montrer vigilant ? avec quels effectifs ?...

    Parfois, il n'y a pas besoin d'être prolixe pour écrire un billet : après le crime horrible dont ont été victimes les deux retraités de l'Oise, Brice Hortefeux a hoché un grand coup du menton et annoncé un grand plan intitulé "tranquillité seniors". Faut-il rappeler que son gouvernement organise régulièrement des baisses d'effectifs dans la police au point d'amener ces fonctionnaires, pourtant généralement tranquilles et placides, à avoir manifesté tout récemment ?

    Les déclarations de toute sorte ne sont que du flan. Il n'y a aucune réalité derrière sinon moins de sécurité, et c'est tout. A mettre en relation avec mon adresse au Président, lundi dernier, où j'évoquais ce tranquille piéton arrêté et mis à l'amende pour être passé sur un passage piéton quand le bonhomme était rouge. S'ils avaient patrouillé du côté de Sainte-Maxence au lieu d'emmerder le péquin, Jacques et Thérès Prévost auraient peut-être pu finir leur existence paisiblement plutôt que dans un bain de sang.

  • La police est exaspérée

    Les policiers ont manifesté, aujourd'hui : ils sont exaspérés, et on les comprend. S'il y a bien une profession à laquelle je voudrais rendre hommage, c'est bien celle-là, particulièrement aux forces qui travaillent au contact des cités : non seulement leur métier est difficile, souvent dangereux, mais on leur fait en plus porter le chapeau sans leur donner les moyens de travailler. Un jeune gardien de la paix en début de carrière, c'est 1200 euros à peine. Comment nourrir une famille et se loger en région parisienne, à ce tarif-là ? Comme si cela ne suffisait pas, les voilà empêchés d'exercer leur métier convenablement par l'insuffisance des moyens accordés à la police (pire que cela : pas l'insuffisance, mais la réduction !!!) et par des consignes toujours plus technocratiques et idiotes dont le point d'orgue est la religion du chiffre. Chiffre pour les expulsions d'immigrés clandestins, chiffre pour les procès-verbaux.

    Comme il doit être loin l'idéal qui a porté ces jeunes gens vers un métier dont l'objet premier était de protéger le citoyen de toutes formes de dangers ! Honte à Nicolas Sarkozy pour leur avoir menti à ce point, à ces jeunes, et pour tous les jours se moquer d'eux ! Car enfin, on ne peut parler sérieusement de politique de sécurité en se gargarisant de mots. La police a besoin d'effectifs ; il faut prendre des décisions politiques, en faisant des choix budgétaires qui seront autant de choix de société, et puis certainement en renonçant à certains allègements fiscaux : la sécurité a un prix et il faut le payer.

    Alors moi, simple militant MoDem, je leur dis aux policiers : «chapeau, la police : vous faites un super boulot dans des conditions difficiles ; je vous soutiens et j'apprécie votre travail. Ne vous laissez pas abuser par les abrutis qui aiment bien casser du sucre, y compris dans les médias, sur votre dos ; chaque fois qu'un sondage a lieu vous concernant, dans la population française, on s'apperçoit qu'il y a toujours au moins 75% de Français qui vous apprécient beaucoup, et j'en fais partie ! Moi, je continue d'avoir confiance en vous, et je pense qu'au MoDem, nous sommes nombreux à être prêts à appuyer vos justes revendications !».

  • Police dans les écoles

    J'ai suivi la dernière proposition de Xavier Darcos en matière de sécurité dans les établissements. Il s'agirait d'autoriser des unités spéciales soit de l'éducation soit de la police à intervenir dans les établissements scolaires pour procéder à des fouilles.

    Voici ce que cela a inspiré à Marielle de Sarnez, candidate MoDem à l'eurodéputation en île de France :

    581821186.6.jpgRecourir à une "force mobile d'agents" dans les écoles est  "un aveu de défaite". "Comme chaque fois en période électorale, l'idée revient d'installer une police dans les établissements scolaires. Ce n'est pas une démarche éducative, ce ne sera d'ailleurs pas non plus une démarche répressive, parce que ça ne se fera pas". "Agiter ces propositions, faire des chefs d'établissement ou des inspecteurs d'académie des officiers de police judiciaire, c'est le contraire de ce que l'école attend. C'est un constat d'échec, un aveu de défaite. Cela veut dire qu'on baisse les bras, que l'on se résigne". "Ce qu'il faut, c'est rétablir l'autorité à l'école. En mettant davantage d'adultes, d'éducateurs, de surveillants au lieu d'en supprimer régulièrement. En formant les enseignants à faire face aux situations de conflits et à exercer leur autorité en face des élèves".

    Le MoDem préconise "la mobilisation de tous, directeurs d'établissements, personnels administratifs, professeurs, surveillants, parents", en "leur donnant les moyens, en les soutenant, en étant à leur côté, et en se servant des expériences de directeurs d'établissements qui ont réussi". "Pour que les jeunes élèves respectent leurs professeurs, il faut que le statut de l'école et des enseignants soit respecté par tous, et d'abord par les pouvoirs publics".

    J'avoue que je suis bien plus partagé que Marielle sur ce sujet. D'un côté, je ne suis pas convaincu par l'initiative de Darcos, et comme le relève Marielle, par sa volonté véritable de sécuriser les écoles : en effet, il faudrait peut-être commencer par ne pas supprimer les surveillants, alors que leur présence s'avère souvent efficace. Mais d'un autre côté, il ne faudrait pas non plus verser dans l'angélisme et s'interdire d'intervenir dans les établissements scolaires quand cela a lieu d'être. Les syndicats qui parlent d'hystérie sécuritaire m'exaspèrent. Il y a des problèmes de sécurité dans de nombreux établissements scolaires et dans les collèges, la loi du plus fort règne de manière à peu près généralisée.

    Ceci me fait d'ailleurs penser à l'histoire de l'école de Florac, avec ces deux gamins interpellés par des policiers. Je ne trouve pas admissible le principe d'avoir ainsi embarqué un petit de 6 ans, sans en avoir avisé les parents de surcroît. Mais, j'aimerais bien avoir le fin mot de l'histoire : le plus petit a manifestement bien volé le vélo (le coup de l'emprunt, c'est du foutage de gueule, on sait très bien qu'il l'a volé, c'est tout). Il y a des parents qui instrumentalisent la minorité de leurs enfants pour narguer la loi en se croyant à l'abri de toutes mesures.

    Parce que si ce sont des gamins qui posent régulièrement problème aux autres, ce n'est peut-être pas étonnant qu'un jour, il finisse par se produire quelque chose, surtout s'il y a défaut de réactions des parents s'il y a eu des litiges précédents. Bref, certains parents croient pouvoir laisser leur progéniture agir en toute impunité en s'appuyant sur le vide juridique et les lois très protectrices qui enourent les délits des mineurs. L'excuse de minorité devient très facilement une excuse de carence éducative, étant entendu qu'une des missions prioritaires des parents, c'est de rendre leur descendance capable d'évoluer en société.

    Pour revenir à la proposition de Darcos, je n'y crois guère, ne serait-ce que parce que de toutes façons, il ne s'en donnera pas les moyens.

     

  • Hé, hé, Sarko, je te vois, Sarko !

    balance.jpgBon,  il y a un nouveau délit en France : beugler Sarkozy je te vois quand des policiers procèdent à des contrôles d'identité. Ben oui, c'est ce qui est arrivé à un gros malin qui trouvait les dits contrôles un peu trop virils. Un procès-verbal suivi d'une convocation au tribunal...un an après ! Moi, je ne comprends pas un truc : la justice est débordée. Les juges ploient sous la quantité de dossiers, à raison, parfois, de plus de 1000 dossiers par an. Mais mis à part ça, des policiers trouvent très amusant d'envoyer un gars devant le tribunal pour avoir râlé trop fort. Au pire, la raison eût exigé qu'ils lui demandent de se calmer s'il en faisait vraiment trop, et point barre. Mais non, il faut qu'ils fassent du zèle. Et il y a un juge pour accepter de juger des conneries pareilles...C'est de l'authentique foutage de gueule. La criminalité galope, des zones entières de nos banlieues ne sont plus sûres, et ils ne trouvent que cela à faire. Des procès durent des années, parfois jusqu'à dix ans, et la justice trouve le temps de gérer ce genre de balivernes à deux balles.

    S'il y a deux endroits où il faudrait commencer par remettre de l'ordre, en France, c'est bien dans la police et la justice. Ah oui, parce que le prétexte, c'est le tapage diurne. Et au fait, c'était en gare Saint-Charles à Marseille, en pleine heure de pointe. Il avait un mégaphone, le mec ? Y'a pas comme un problème, avec la balance ? Elle ne pencherait pas plus d'un côté que de l'autre ?