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Bayrou - Page 69

  • Nicolas, tu n'auras pas Marielle !

    Intéressante lecture que celle du Canard Enchaîné de ce matin. On y trouve vérifié ce qui bruissait depuis quelques temps. Si Christian Saint-Etienne a quitté Bayrou, c'est bien le fruit d'une tactique de débauchage systématique de Nicolas Sarkozy. Mais ce que l'on apprend dans ce numéro du 26 décembre 2007, c'est que Nicolas Sarkozy rêverait de débaucher Marielle de Sarnez, qui est, on le sait, le bras droit de François Bayrou. Il serait même prêt à lui offrir un ministère de taille.

    8d51ea8667f0a0fd3baf56924cb29ff2.jpgNicolas Sarkozy va, pour une fois, se heurter à une réalité qu'il a rarement à affronter dans son entourage. Marielle de Sarnez n'échangera jamais ses valeurs et ses convictions contre de l'argent ou du pouvoir. Alors, ne te fatigue pas, Nicolas, c'est peine perdue. Occupe-toi plutôt de la France, qui en a bien besoin.

    Pour le reste, nous appelons, sur notre blog, Démocratie et hérésie économique, tous les Démocrates à faire bloc autour de Marielle de Sarnez, et nous nous adressons tout particulièrement aux Parisiens afin qu'ils adressent un message fort à Nicolas Sarkozy en particulier et à l'UMP en général contre ces pratiques peu reluisantes. 

  • Yann Wehrling rejoint le MoDem et Chantal Cutajar à Strasbourg

    eb782e22b39089412fe3401e83665716.jpgYann Wehrling, porte-parole national des Verts, a accepté vendredi de figurer en deuxième position sur la liste du Mouvement démocrate (MoDem) aux municipales à Strasbourg, menée par Chantal Cutajar.

    "J'accepte cette proposition" faite par Mme Cutajar, a affirmé l'ancien secrétaire national des Verts. Il se dit d'autant plus conforté dans cette idée que la tête de liste MoDem est convaincue par l'écologie et qu'en troisième position, figure une représentante du mouvement écologiste Cap 21.
    "Cela me conforte dans l'idée que la troisième voie --une alliance du Centre et des écologistes, qu'il faut qu'on propose à Strasbourg et au-delà, au niveau national, peut être une équation gagnante", déclare Yann Wehrling.

    "Cela peut marcher à Strasbourg, parce qu'il y a une équipe sortante (UMP, ndlr) qui est très critiquée et une équipe socialiste qui n'a pas convaincu".
    M. Wehrling continue à "être Vert", même s'il s'attend à être suspendu de ses fonctions. Cependant, pour lui, cette "troisième voie" "appelle une vraie discussion sur cette stratégie. "Si la seule réponse, c'est de m'enlever mes fonctions et mon statut de Verts, c'est une mauvaise réponse".

    Les Verts avaient estimé jeudi que si la présence de M. Wehrling sur une liste Modem se confirmait, alors qu'il y a une liste autonome Verts à Strasbourg, il serait "forcément suspendu de ses fonctions au collège exécutif et de porte-parolat".
    M. Wehrling, adhérent des Verts depuis 1988, secrétaire national en 2005-06, avait annoncé le 11 décembre avoir retiré sa candidature aux municipales à Strasbourg sur la liste des Verts, ayant été désavoué par les Verts locaux, pour engager un "dialogue avec le Modem".

    165f9d08494139ffc29f62962d7e523e.jpg Chantal Cutajar, ancienne adjointe au maire de Strasbourg Fabienne Keller (UMP) et tête de liste du MoDem à Strasbourg, avait annoncé mercredi que Yann Wehrling devrait occuper la 2e place sur sa liste, pour une campagne axée sur l'écologie, le logement, l'emploi et l'Europe.

    On peut retrouver Chantal Cutajar sur le blog Strasbourg je t'M. Elle y évoque son engagement politique et commente l'actualité de Strasbourg.

    Mais on trouve aussi un certain nombre de ses analyses et travaux sur son blog personnel. J'invite notamment les lecteurs de ce blog à y lire une synthèse, qu'a rédigée Chantal Cutajar, très complète, sur la question du blanchiment des capitaux et les réponses à apporter à ce grave problème. Il faut préciser que Chantal Cutajar est une sépicaliste de ces thèmes et plus particulièrement du financement du terrorisme.  Nous y reviendrons d'ailleurs certainement ici.

  • Pouvoir d'achat : enfin une mesure de bon sens !

    J'ai entendu que le gouvernement prévoyait de rendre obligatoire par une loi l'intéressement des salariés dans une entreprise. Cela fait juste un an que François Bayrou propose cela, mais bon, mieux vaut tard que jamais, comme dit le proverbe.

    D'autant que l'idée est applicable à la fonction publique. Un gain pour chaque économie réalisée serait évidemment bien plus pédagogique, même si dans nombre d'administrations, en raison des effectifs pléthoriques, il ne serait dans un premier temps pas énorme. 

    Commencerait-on à avoir queques idées à l'UMP ? Enfin, il y en a tout de même quelques uns qui commencent à réclamer la rupture, ici, ou .... Et la vraie, cette fois ! 

    En fait, j'ai été trop optimiste, l'idée ne vient pas de l'UMP mais de l'AFG... Elle donne de bons conseils, cette AFG : par exemple, sur la grande dangerosité du déblocage de l'épargne salariale (c'est une idée à qui, ça ? Sarko ? Attali ? Un cerveau de l'UMP ? Pire un cabinet de conseil américain du genre de ceux qui ontsuggéré d'investir dans les subprimes ?).

    Non, ce qui m'inquiète plus, c'est qu'ici et , ils mettent tout sur le compte du temps de travail, sans réaliser que le mal est bien plus profond. Cela, ça m'inquiète en revanche. Il faudra du temps.

    Bayrou ou Peyrelevade s'époumonent dans un désert, et de Courson ou Blanc sont silencieux. Certains disent Bayrou inaudible. Mais ils sont quoi, eux, dans ces conditions ? Sourds-muets ? 

  • Bayrou juge Kadhafi indésirable

    François Bayrou a jugé vendredi que la visite officielle en France du colonel Kadhafi était "indigne de la France et indigne pour la France", appelant "les démocrates et les républicains" à dire leur "réprobation" devant la politique extérieure de Nicolas Sarkozy. En effet, le président du Mouvement démocrate estime que "le dictateur libyen qui s'est rendu coupable d'actes de terrorisme parmi les plus cruels des dernières décennies" et de "prises d'otages" avec les infirmières bulgares "ne doit pas être honoré par la France", a-t-il ajouté. Il a, par ailleurs, dénoncé la politique suivie par le président de la République, qui "pendant sa campagne annonçait qu'il pratiquerait une diplomatie morale", or "nous voilà les premiers et seuls à féliciter Poutine pour ses "élections", nous voilà disant ouvertement à la Chine qu'elle pouvait disposer de Taiwan et que nous ne nous inquiéterons plus du Tibet, nous voilà alignés sur la puissance américaine, et les amis de Kadhafi", a-t-il dénoncé. Pour François Bayrou "tout cela demande dans l'opinion française une mobilisation d'indignation", dénonçant "la diplomatie business" menée en fonction "du carnet de chèques" des interlocuteurs. "J'appelle les démocrates et les républicains à dire, s'il le faut ensemble, leur réprobation et leur indignation", a-t-il déclaré.

    D'accord avec François Bayrou : l'omniprésident en fait trop, et je trouve que cela commence à faire beaucoup. On peut, je pense conjuguer une certaine morale avec les affaires, les chefs d'entreprise n'étant pas comptables des opinions émises par les chefs d'état (tout du moins, jusqu'à un certain degré). Mais là, j'ai tout de même le sentiment que Sarkozy sacrifie tout à de gros contrats.

    La vérité, c'est qu'il est bien plus efficace commercialement, d'avoir des entreprises compétitives et des produits de qualité, que de s'asseoir sur le droit pour vendre. Une fois encore, de la poudre aux yeux. 

    Si Nicolas Sarkozy veut vraiment relever le commerce de la France, qu'il pratique une politique favorable à l'innovation et à la croissance. Malheureusement, il fait actuellement tout l'inverse. 

  • Bayrou et le MoDem, passionnant Cdans l'air

    L'émission est tout simplement passionnante, et François Kahn toujours aussi percutant.

    A regarder tout de suite

    Quelques paroles fortes : pourquoi donc en France s'échine-t-on à démolir ceux qui ne cèdent pas et cherchent à dépasser les clivages ? De Gaulle, Chevènement, Séguin, et aujourd'hui Bayrou ?

    Tout cela parce qu'ils tiennent.

     Autre question : avec tous les problèmes de la France, comment Nicolas Sarkozy trouve-t-il le temps de recevoir Urieta, maire socialiste fabiusien de Pau pour lui proposer une union sacrée UMP-PS pour empêcher Bayrou de prendre la mairie de Pau ? Puis Michel Mercier pour lui proposer (en vain) un poste ministériel ? Et, à quelques jours du congrès du MoDem , Jean-Marie Cavada avec une proposition sensiblement similaire (cette fois avec réussite) ?

    Le MoDem et Bayrou, le nouveau cauchemar de Nicolas Sarkozy ? 

    Ah, un dernier détail : en fin d'émission, on comprend très bien pourquoi Bayrou a refusé la proposition de Royal : qui a dit pendant tout le premier tour que l'UDF c'était l'autre visage de la droite et que Bayrou n'avait ni équipe ni programme ?... 

    Kahn, c'est tout de même un sacré phénomène. Je vais aller acheter Marianne, samedi, moi ! 

  • Bayrou et Royal, tout était dans "Maintenant"

    J'ai déjà eu l'occasion de le dire au mois de juin dernier dans le billet intitulé Haro sur Ségolène : il y avait des convergences possibles entre Ségolène Royal et François Bayrou, et son livre d'entretiens "Maintenant", publié avant l'élection présidentielle en atteste.

    Sur les 35 heures, elle proposait de laisser les partenaires sociaux, elle était très favorable aux pôles de compétitivité, sa réputation de radinerie laissait augurer une gestion stricte des fonds publics, et si elle avait du sa victoire à Bayrou, elle aurait envoyer paître les élephants du PS.

    Personnellement, si elle n'avait pas tenu des propos très démagogiques sur les enseignants, puis choisi la peopolisation plutôt que de se battre sur sa ligne, j'aurais pu être royaliste, car je voyais d'un oeil favorable, au départ, la manière dont elle s'affranchissait du PS.

    Cela a commencé à se gâter au moment où elle a choisi de s'appuyer sur les apparatchiks alors qu'avec ses comités Désirs d'avenir, elle aurait pu prendre d'assaut le PS et définir elle-même la ligne.

    D'ailleurs, je crois que Bayrou n'avait pas une mauvaise opinion d'elle, et avait même dit à la presse qu'il ne savait plus qui était Ségolène Royal, puisque pour lui, il y en avait deux : la réformiste des débuts avec laquelle des convergences étaient possibles, et la candidate aux élections qui avaient cédé tout au PS.

    Il faut dire aussi que si le PS, à l'exception de Rocard et de DSK, n'avait pas traîné dans la boue François Bayrou, et, comble du vice, préféré Le pen en 3ème homme plutôt de prendre le risque que Bayrou soit le second,  une alliance au second tour eût été bien plus naturelle, et aurait certainement eu belle allure.

    La combinaison des éléments réformistes du PS et de l'UDF d'alors...Quel plateau on aurait eu !

    Mais bon, le passé est le passé, et pour l'heure, chacun doit poursuivre son chemin : François Bayrou essayer de faire vivre le MoDem, et Ségolène Royal tenter de conquérir un Parti Socialiste déliquescent (peut-être pas dans les intentions de vote, mais en tout cas dans les idées et les propositions). 

     

    Je lirai le livre de Ségolène Royal, et je le commenterai, même si je pressens que le livre de référence, pour ses idées, c'est celui dont j'ai plusieurs fois parlé, le fameux "Maintenant", à tort méconnu, à mon sens. 

  • Monsieur Cavada, un peu de pudeur, s'il vous plaît !

    Jusqu'ici, j'avais conservé une certaine neutralité en raison de l'estime que je portais à Jean-Marie Cavada, mais j'observe que j'avais fait erreur et que ce n'est pas un homme honnête.

    Tout d'abord, un éclairage afin que l'on sache à qui l'on a affaire dans cette histoire : en juin dernier, Jean-Marie Cavada a demandé à François Bayrou de devenir le secrétaire général du MoDem, ce à quoi François Bayrou a répondu :« est-ce que tu peux me jurer que tu ne me trahiras jamais ?».

    Jean-Marie Cavada a alors estimé qu'une telle demande relevait d'enfantillages

    Pour ma part, je suis désolé, mais faire preuve de loyauté, je n'appelle pas cela des enfantillages. Quand je constate aujourd'hui, qu'il a l'audace d'appeler les adhérents du MoDem à déserter pour venir rejoindre le mouvement qu'il vient de créer, je trouve que c'est trop fort.

    Il est clair qu'il y a dans cette histoire des conceptions de la politique qui s'opposent, et même bien plus loin, des conceptions de l'éthique en politique qui s'affrontent. Finalement, je n'ai plus de regret que Jean-Marie Cavada ait quitté le MoDem, car je découvre une face de l'homme dont je n'avais jamais eu connaissance jusqu'ici, et qui n'a pas grand chose de plaisante... 

    Pas peur de la contradiction, Jean-Marie Cavada : il accuse François Bayrou et le MoDem de dévier vers la gauche, tout en se décrétant lui-même un homme de centre-gauche.

    Monsieur Cavada, un peu de pudeur, s'il vous plaît ! Vous venez de quitter le MoDem pour l'UMP, et vous appelez déjà à créer une structure de plus au centre, dont on devine aisément qu'elle n'a pour seul objet que d'anénatir le MoDem et d'être au service de Nicolas Sarkozy. Cessez de vous moquer du monde et des adhérents MoDem, svp, et ne vous fatiguez pas, ils ne vous rejoindront pas.

    Pour ma part, jusqu'ici, je vous préférais aux socialistes parisiens, mais, avec cette annonce, vous venez de me faire changer d'avis. Au second tour, je ne voterai pas pour vous, Monsieur Cavada. Ce sera blanc, et peut-être même socialiste (et pourtant, je ne les aime guère les socialistes parisiens !). 

  • Voilà pourquoi j'ai beaucoup d'estime pour François Bayrou

    Plutôt que de faire un long commentaire, je vais me contenter de citer certaines de ses réponses à la question de savoir si oui ou non il avait été contacté par Ségolène Royal :

    "Selon moi, on ne peut pas être Premier ministre si on ne partage pas le projet du président et je ne partageais pas le projet de Ségolène Royal, comme cela est apparu dans un débat que nous avons eu, et deuxièmement, j'ai appris après qu'elle ne partageait pas non plus son propre projet"

    "A la vérité, je n'avais envie d'être Premier ministre ni de Nicolas Sarkozy ni de Ségolène Royal".

    "Nicolas Sarkozy a voulu me rencontrer dès le lundi, et des proches à lui m'ont dit: +franchement tu aurais dû y aller parce que t'aurais été à Matignon+", [...]

    "Mais justement je ne partageais pas les valeurs de Nicolas Sarkozy, et donc être à Matignon c'était absolument impossible pour moi". "Au demeurant il suffit de voir comment le gouvernement est traité pour se dire qu'heureusement on n'a pas fait ce genre d'erreurs".

    Voilà : pas grand chose à rajouter, j'abonde pleinement. 

     

  • Exécutif provisoire du MoDem

    Lire et relire les noms qui suivent est une grande satisfaction pour les auteurs du blog Démocratie et hérésie économique, tant on y constate la présence d'hommes et de femmes de grande qualité.

    Avec la naissance officielle du MoDem, c'est le vent d'un grand espoir qui se lève.

    Abdoulatifou Aly
    député de Mayotte

    Philippe Arnaud
    sénateur de Charente

    Jean Arthuis
    sénateur de Mayenne

    Gilles Artigues        

    Eric Azière conseiller de Paris

    Denis Badré sénateur des Hauts de Seine

    Didier Bariani conseiller de Paris

    Jean Luc Bennahmias député européen

    Anne Marie Comparini    

    Eric Delhaye

    Yves Detraigne sénateur de la Marne

    Véronique Fayet conseillère régionale d’Aquitaine

    Françoise Ferat sénateur de la Marne

    Jacqueline Gourault sénateur du Loir et Cher

    Nathalie Griesbeck députée européen

    Olivier Henno Maire de Saint André lez Lille

    Jean Jacques Jegou sénateur de Val de Marne

    Bruno Joncour Maire de Saint Brieuc

    Anne Laperrouze députée européen

    Jean Lassalle député des Pyrénées Atlantiques

    Bernard Lehideux député européen

    Corinne Lepage

    Michel Mercier sénateur du Rhône

    Catherine Morin-Desailly sénateur de Seine Maritime

    Philippe Nogrix sénateur d’Ille et Vilaine

    Jean Peyrelevade

    Marielle de Sarnez députée européen

    Jean Marie Vanlerenberghe sénateur du Pas de Calais

    DELEGUES NATIONAUX

    Céline Alléaume
    Quitterie Delmas
    Fabienne Faure
    Marc Fesneau
    Christophe Madrolle
    Patrick Mignola
    Pierre Emmanuel Portheret (animateur et coordonnateur)
    Raymond Pronier

     

    Rappelons également que le MoDem dispose de trois députés, que Thierry Benoît nous demeure proche, et que 27 des 30 sénateurs de l'Union centriste ont adhéré définitivement au MoDem. Et puis...que François Bayrou en est désormais officiellement le président ! 

  • Adoption de la résolution du Congrès extraordinaire de l'UDF

    La résolution finale du Congrès extraordinaire de l'UDF a été amendée au cours de la séance plénière du Congrès, pour se présenter dans la rédaction suivante : "L’UDF, formation politique au titre de l’article 4 de la Constitution, est membre fondateur du Mouvement Démocrate auquel elle adhère pour une période transitoire de trois ans, en tant que personne morale. A dater du 1er décembre 2007, tout adhérent de l’UDF est adhérent du Mouvement Démocrate. L’UDF délègue aux instances du Mouvement Démocrate la responsabilité de l’action et de l’expression communes. Les autres instances nationales et locales de l’UDF s’intègrent aux instances correspondantes du Mouvement Démocrate. Pendant cette période transitoire, les intérêts juridiques, matériels et moraux (les idées et les valeurs) de l’UDF seront garantis et administrés par un bureau de vingt à trente membres désignés par le Congrès, sur proposition du Président dont le mandat est prorogé. Le texte final a été adopté, selon la phrase même de François Bayrou à "une grande majorité", 36 voix contre et 8 absentions sur environ 1500 votants.