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Modem - Page 102

  • Thierry Benoît est bien un élu UDF-MoDem !

    Halte aux fausses rumeurs : Thierry Benoît ne rejoint pas le Nouveau centre, il siègera bien à l'Assemblée Nationale comme élu UDF-MoDem.

    Depuis quelques jours, une rumeur folle parcourt la Toile, ou plus précisément, la sphère UDF et MoDem sur la Toile : d'aucuns affirment que le nouveau député UDF-MoDem Thierry Benoît rejoindrait le Nouveau centre.

    Il n'en est rien. L'auteur de cet article a vérifié cette finromation en téléphonant au siège de l'UDF, au pôle élus, puis à la permanence du sénateur d'Ille et Vilaine Philippe Nogrix, et la réponse a été claire, ferme et définitive à chaque fois : Thierry Benoît siègera bien comme UDF-MoDem à l'Assemblée Nationale, ce qui fait que l'Assemblée Nationale comporte bien 4 élus UDF-MoDem.

    Alors amis bloggueurs, attention à ce que vous propagez sans vérifications. Par ailleurs, l'auteur de cet article en profite pour adresser un sévère carton rouge à l'un des modérateurs du site bayrou.fr qui s'est lui-même laissé abuser en confirmant cette rumeur totalement fausse.

    Et pour être clair, et définitivement... 

     

     

  • Bockel, Kouchner, que reste-t-il du PS ?

    Jean-Marie Bockel a finalement accepté de rejoindre le gouvernement de François Fillon : pourquoi ce ralliement, et plus généralement, comment comprendre l'ouverture actuelle aux hommes politiques de gauche ?

    Certains parlent de "coups" du Président Nicolas Sarkozy, mais, la vérité est à chercher ailleurs : elle réside dans la déliquescence même du Parti Socialiste .

    La vraie question, c'est de savoir pourquoi Kouchner et Bockel qui ont été fidèles toute leur vie politique à la gauche finissent-ils par rejoindre le gouvernement de François Fillon ?

    La réponse est facile à trouver et peut s'énoncer sous forme de questions : pourquoi le PS a-t-il été infichu de proposer ne serait-ce qu'une circonscription correcte à Kouchner, depuis des années ? Pourquoi Bockel qui dépose sa motion chaque année est-il présenté comme un épouvantail et copieusement hué et sifflé aux congrès ?

    En réalité, le PS est un parti archaïque et pavlovien, incapable de se réformer (au point que DSK lui-même jette l'éponge !) où la phraséologie marxiste détruit tout germe d'évolution et de modernité. Phraséologie d'autant plus irritante qu'elle masque des pratiques bien différentes des discours.

    Ces ralliements, finalement, sont la partie émergée de l'iceberg : les idées sont prises dans les glaces depuis belle lurette au Parti Socialiste, et il est devenu impossible de les extirper de la banquise partisane des courants de ce parti.

    Voilà la réalité du parti Socialiste, aujourd'hui, et voilà pourquoi l'espoir que ce soit le MoDem qui prenne un jour le relais d'un parti socialiste à bout de souffle pour porter des idées nouvelles, généreuses mais pragmatiques et, s'il se positionne dans l'opposition, que cette dernière soit constructive.

    Nicolas Sarkozy est parvenu à moderniser la droite (on peut le reconnaître sans que l'on soit tenu de partager le projet de cette droite-là) et c'est l'hommage qu'il faut lui rendre.

    La gauche doit se recomposer, et, à l'évidence, aujourd'hui, il y a une place nette pour un grand centre, puisque tous ceux qui s'en réclament, ailleurs qu'au MoDem sont incapables d'échapper au jeu des alliances et à un certain pavlovisme politique (Nouveau Centre indéfectiblement à droite, PRG décidé à ne s'allier qu'au seul PS). 

    En dépit de son faible nombre de députés, le MoDem abrite un bouillonnement intellectuel et politique sans précédent, qui, n'en doutons pas, place sa naissance sous les meilleurs auspices. C'est à lui qu'il revient, désormais, de porter les idées de demain, et le renouvellement de la politique en France et en Europe.

     

  • Jean Lassalle affronte Monsanto !

    Jean Lassalle n'avait pas attendu d'être élu pour se saisir des problèmes les plus graves  :  il a récemment interpelé Dominique BUSSEREAU, Ministre de l'Agriculture et de la Pêche à propos de la question des OGM.

    Il demande notamment  :

    • Que soit enfin résolument engagée une politique de recherche fondamentale, rigoureuse, indépendante, transparente et participative.
    • Que soit mis en œuvre un haut comité d'éthique et de la science indépendant, composé d'authentiques chercheurs et spécialistes travaillant à l'abri des pressions partisanes et des «lobbies». Il sera animé par la seule volonté de faire avancer la science et le progrès dans le respect de la terre et du genre humain.
    • La mise au clair de notre politique en la matière après débat public devant le parlement.

    Il n'estime pas possible en l'état de procéder à des semis d'OGM. Il rappelle à cet effet que :

    • L'incertitude scientifique est trop grave.
    • Le risque de pollution de productions agricoles voisines est trop grande.
    • L'opinion publique sevrée d'information crédible et rigoureuse, s'engagera une fois encore dans une attitude de méfiance et de rejet du monde Paysan dans laquelle ce dernier a une fois de plus tout à perdre.

    Il a publié un communiqué à ce sujet sur son site. 

    Il y évoque notamment l'impact du groupe Monsanto qui achète tous les brevets et organise tous les circuits de distribution.Cette prise de position est la bienvenue alors qu'une polémique fait rage : le maïs OGM Mon 81O, commercialisé par Monsanto, pourrait bien être toxique pour l'organisme, c'est tout du moins, ce que tendent à laisser penser de nouvelles études scientifiques récemment menées. L'Allemagne a d'ailleurs interdit ce semis sur son territoire.

    Dans le même temps, le conseil européen des Minsistres de l'Agriculture a accepté la présence de 0.9% d'OGM dans les produits estampillés "bio"... 

     Pour nous qui évoquions récemment ces problèmes sur notre blog, c'est un soulagement de voir que l'UDF - MoDem se saisit de ce grave problème grâce à Jean Lassalle.

    NDLR : article à peu près similaire sur Come4news (écrit par le même auteur).

     

     

  • Les questions auxquelles le MoDem devra apporter des réponses...

    J'ai remarqué, depuis quelques temps, que l'on parle beaucoup du MoDem sur les forums MoDem et/ou UDF, et bien peu des problèmes des Français : en fait, ce sont plutôt les élus et candidats sur le terrain qui s'escriment à tenter d'apporter des réponses à de graves questions, tandis que nombre de militants se contentent de parler des conflits inter-générationnels et du renouvellement de la classe politique, ou encore des structures du MoDem...

     Et pourtant, des problèmes pour les  Français, il y en a par les temps qui courent :

    quelle fiscalité voulons-nous ? Comment financer la protection sociale ? Est-ce le rôle de la TVA sociale ? Comment éliminer les doublons de l'administration publique ? Comment moraliser l'action politique => Tibéri dans le 5ème, Vaneste dans le nord, Carignon à Grenoble et cetera..., quid des OGM en france=> Le saviez-vous ? Juppé, notre nouveau vert en chef a déjà perdu des couleurs : il vient d'autoriser Monsanto, gros groupe agro-alimentaire à semer des OGM qu'une étude déclare pourtant nocive et à les utiliser pour les animaux..., quid du vote européen par TOUS les ministres de l'agriculture qui autorise à flanquer 0.9% d'OGM dans les produits qui ont le label bio ?
    Immigration : une fois de plus Hortefeux annonce des objectifs chiffrés, ce qui est en contradiction avec l'idée de traiter au cas par cas les demandes de régularisation.

    Et puis bien sûr, que compte concrètement faire le gouvernement pour réduire la dette alors que les taux d'intérêt remontent (ce qui signifie que le servide de la dette va croître en proportions dans lebudget !) ?

    François Fillon veut ne pas remplacer un sur deux des 38 000 fonctionnaires qui partent à la retraite : où et comment va-t-il supprimer des postes ?

    Comment allons-nous financer nos hôpitaux ? Quelle franchise médicale est acceptable, et de quelle manière ? En voilà des questions de fond ! 

    Regnat, non loquitur, qui nil nisi quod vult blatit (C'est commander, et non converser, que d'imposer aux autres son seul bavardage) comme disait Publius Syrius...

    NDLR : Publilius Syrus (ou Publius Syrus, ou Publilius Syrius) était un auteur latin du Ier siècle av. J.-C. originaire, comme son nom (Syrus) l'indique) de Syrie, probablement d'Antioche. Il arriva à Rome comme esclave. Affranchi, il se fit connaître en écrivant des mimes dont certaines sentences et maximes morales furent rassemblées en un recueil à l'usage des écoles.

    «L'erreur d'un jour devient une faute, si l'on y retombe» (Publius Syrius)

  • 42 000 adhésions fermes au MoDem !

    Au dernier pointage, le Mouvement Démocrate a enregistré 78.000 pré-adhésions dont 42.000 confirmées à ce jour, c’est davantage que le nombre d'adhérents de l'UDF à son dernier Congrès (31.000 en janvier 2006). "L'engouement pour rejoindre la démarche de François Bayrou est intact" a assuré Eric Azière, chargé des élections et des fédérations à l'UDF-MoDem. Il souligne que les candidats du MoDem ont réalisé de bons scores à Paris (12,5% en moyenne) et dans de nombreuses villes. C’est de bonne augure pour les élections cantonales et municipales de 2008 : "On a les moyens d'enraciner le MoDem", affirme Eric Azière.


    En attendant, le MoDem n’attend pas grand-chose du deuxième tour des législatives: "Vu la chambre bleu horizon qui se profile, et le nombre de leaders nationaux pouvant être battus à gauche, l'Assemblée nationale va perdre de sa résonance en terme de débat politique", explique Eric Azière. Selon lui, "le débat va se déplacer sur le terrain et dans les médias".

  • Les réussites du MoDem

    Les analyses faites dans l'émission C dans l'air du 11 juin 2007 sont extrêmement intéressantes : la défaite est bien moins lourde qu'il n'y paraît...

     

     

  • Le pseudo-geste de l'UMP

    On pouvait lire cette récente dépêche de l'AFP à propos de la circonscription de François Bayrou :

    L'UMP a demandé à son candidat dans la circonscription de François Bayrou de se désister en faveur du président du Mouvement démocrate en vue du second tour des législatives, annonce Jean-Claude Gaudin.

    "Nous avons toujours eu cette politique de la main tendue - j'ai même dit quelquefois à François Bayrou 'il va me venir des crampes à force de tendre la main'. Nous allons encore le faire aujourd'hui", a déclaré sur France 2 le président délégué de l'UMP.


    François Bayrou est en ballottage favorable dans la 2e circonscription des Pyrénées-Atlantiques, où une triangulaire se profilait pour dimanche avec les candidats PS Marie-Pierre Cabanne et UMP Jean-Pierre Mariné.

    "La direction de l'UMP demande à M. Mariné de ne pas redéposer sa candidature et nous voulons justement laisser la place libre à M. Bayrou", a dit Jean-Claude Gaudin.

    "C'est un geste. Il n'y a pas de discussion, pas de compromission, il n'y a pas de négociation. C'est un geste que l'UMP souhaite faire à l'égard de François Bayrou", a ajouté le maire de Marseille, évoquant la "politique d'ouverture" voulue par le président Nicolas Sarkozy.

    Non mais de qui se moque-t-on ? Monsieur Gaudin sait très bien que François Bayrou a les moyens d'emporter cette circonscription avec ou sans le retrait du candidat UMP. On comprend bien que son intérêt est seulement de couper l'herbe sous les pieds du Parti Socialiste afin de l'empêcher de se désister également en signe de bonne volonté.

    L'UMP n'a rien à offrir au MoDem, voilà tout. 

     

  • François Bayrou : pas de consignes de vote.

    "Je ne donnerai pas de consigne de vote", a confirmé mardi le président du MoDem François Bayrou qui ne contactera pas Ségolène Royal pour éviter "toute ambiguïté".

    "Je n’ai pas rappelé Ségolène Royal non pas par manque de respect, mais pour éviter toute ambiguïté", a-t-il expliqué sur RTL. "Si je l’avais appelée il y aurait eu de la communication sur ce sujet et on aurait cru que j’entamais un processus qui était destiné à faire en sorte que le PS et le Mouvement démocrate se retrouvent pour cette élection".

    "J’aurais nourri cette accusation qui est une accusation fausse et injuste de ceux qui disaient dans la majorité actuelle ’en fait ils sont passés à gauche’ ; de la même manière qu’à gauche, un certain nombre de gens disent ’en fait ils sont à droite’", a-t-il ajouté.

    Le président du MoDem a souligné que "le Mouvement démocrate a choisi une voie difficile qui est la voie de son indépendance : il n’y a pas besoin de négociation avec le PS, avec l’UMP". "Je ne donnerai pas de consigne de vote. Je ne veux pas entrer dans ce genre de mécanisme et de phénomène".

    "Chacun doit prendre ses responsabilités : c’est très simple de prendre ses responsabilités : il suffit pour les électeurs et les responsables politiques et les candidats de regarder l’enjeu de ce deuxième tour de l’élection législative et des décisions qu’on doit y prendre", a-t-il conclu.

    Alors que Jean-Claude Gaudin annonçait sur France-2 que l’UMP avait demandé à son candidat à se désister en sa faveur dans les Pyrénées atlantiques, François Bayrou a reconnu qu’"étant donné l’ambiance de la campagne, c’est une surprise".

    "Je n’ai demandé ni recherché un accord, un désistement, un retrait de personne", a martelé le député des Pyrénées atlantiques. "Je considère que modestement je dois faire la preuve que je peux montrer qu’il existe un chemin politique capable de s’imposer face à l’UMP et au PS".

    Interrogé sur le cas où un candidat du MoDem peut aider celui du PS, notamment dans le Val d’Oise pour Dominique Strauss-Kahn, le fondateur du MoDem a reconnu avoir de "l’estime pour" lui. "Je l’avais, avant je l’ai aujourd’hui". "Je suis libre de dire l’estime que j’ai pour Dominique Strauss-Kahn".

  • Candidats MoDem présents au second tour

    Ces dernières données éclaireront, j'espère, nos décisions pour le second tour :

    2° circ. des PA (64)
    François Bayrou (MD) 37,25%
    Jean-Pierre Marine (UMP) 25,92%
    Marie-Pierre Cabanne (PS) 23,32%

    4° circ. des PA (64)
    Hervé Lucbereilh (UMP) 31,36%
    Jean Lassalle (MD) 29,54%
    Jean-Pierre Domecq (PS) 19,86%

    7° circ. du Finistère (29)
    Hélène Tanguy (UMP) 36,33%
    Annick Le Loch (PS) 32,13%
    Michel Canevet (MD) 19,51%

    6° circ. d'Ille-et-Vilaine (35)
    Marie-Thérèse Boisseau (UMP) 37,25%
    Thierry Benoît (MD) 20,21%

    2° circ. de Mayenne (53)
    Marc Bernier (UMP) 43,26%
    Elisabeth Doisneau (MD) 19,35%

    1° circ. du Val-de-Marne (94)
    Henri Pagnol (UMP) 44,4%
    Jean-Marie Cavada (MD) 22,27%

    Enfin, on peut trouver la carte des résultats sur le site de France Soir.

     

  • Législatives

    Quelques éléments de réflexion sur ces législatives :

    Le MoDem atteint finalement 7.61% des suffrages. Ce n'est évidemment pas fameux, et bien en deçà des scores espérés, mais, toutefois, des 7.61% font de l'UDF-Mouvement Démocrate la 3ème force politique du pays.

    Une donnée rarement analysée par les politologues est l'absorption de l'électorat FN par l'UMP. Gagner contre l'UMP quand cette dernière est amputée de 10 à 20% des voix sur sa droite, c'est possible, mais, dès lors que cet électorat à réintégré son habitat naturel, il devient beaucoup plus difficile de venir à bout de la droite traditionnelle.

    En ce sens, il y avait, dès les résultats du 1er tour de la présidentielle connus, assez peu d'espoir.

    Par ailleurs 33% des électeurs de François Bayrou à la présidentielle se sont abstenus. Ces chiffres interpellent, et il faudra les analyser. 

    De ceux qui restent, 22% ont voté pour le PS et ses alliés, 31% pour l'UMP et le Nouveau Centre et 35% seulement pour le MoDem. 

    En terme de sympathie partisane, seuls 50% parmi les votants, des sympathisants du MoDem ont voté pour ce dernier parti. 28 sont allés à l'UMP et au Nouveau Centre et 13 au PS.

    Du côté des abstentionnistes, on trouve 51% chez les 18-24, la catégorie d'âge la plus favorable au MoDem.

    En termes de sympathies partisanes, 42% des sympathisants MoDem se sont abstenus ! 

    Pire encore, ceux qui se positionnent au centre se sont abstenus à 52% soit le plus fort taux d'abstention.

    A l'évidence, c'est dans ses chiffres qu'il faut chercher les causes de notre relatif échec, et, en même temps, l'espoir d'un avenir meilleur. 

    Enfin, 75% des électeurs du MoDem ont une bonne ou assez bonne opinion de l'action de Nicolas Sarkozy depuis son élection.

    Mais ils sont 89% à juger assez ou très positivement l'action de François Bayrou depuis la même date, aucun ne la jugeant très mauvaise.

    Ces chiffres ont pu être obtenus grâce à une étude d'IPSOS à la sortie des urnes .

    Il y a des raisons d'espérer, car ces chiffres montrent que nous disposons d'un réservoir d'électeurs assez important. Mais, en un temps aussi court, nous n'avons su les convaincre, et, c'est dans ce champ qu'il va falloir désormais travailler.

    Notamment, il est indispensable de mettre à jour et affiner nos programmes, notamment dans le domaine économique et fiscal, ainsi que dans le domaine éducatif. Nous avons, en cette fin de campagne bien trop parlé de nos positions"contre" et pas assez de nos propositions.

    Il faut préparer les municipales : ceux qui se sont présentés pour la 1ère fois ont acquis une expérience qu'il faut capitaliser. Il nous faudra faire un effort pour développer une politique de propositions, sur des sujets concrets et locaux, tout en donnant une cohérence globale à ces dernières. Il faudra pour cela investir le terrain, tant politique qu'associatif.

    Nous avons un travail de fondation à effectuer, et c'est l'impossibilité de l'avoir réalisé en si peu de temps que nous paysons aujourd'hui. A cela s'ajoute la tactique de l'homme extrêmement talentueux qu'est Nicolas Sarkozy.

    Alors hauts les coeurs, au travail, et retroussons nos manches !