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Politique - Page 14

  • Le principal adversaire de l'UMP est désormais le FN

    L'UMP devrait à mon avis acter que désormais, son principal adversaire est le Front National. Dans la plupart des législatives partielles, le PS a été laminé tant ce parti est discrédité. Des duels UMP-FN sont désormais probables dans la plupart des prochains rendez-vous électoraux.

    Pourtant, même si cette question agite les principaux leaders de ce parti, il ne semble pas avoir mis en place une stratégie programmatique pour contrer le Front National. La porosité est assez forte au sein des électorats, ce qui complique la tache du parti de droite.

    L'UMP devrait se méfier parce que son adversaire d'extrême-droite, lui, n'a que des préventions à son égard, pas au sens mélioratif du mot, et a d'ores et déjà un vademecum anti-UMP dont on peut lire la prose sur son site, d'ailleurs.

    L'UMP a un programme , plutôt complet, contrairement aux idées reçues à ce sujet, mais l'essentiel de ses attaques sont concentrées en direction du PS. 

    En procédant avec astuce, ce parti pourrait affronter le Front National sur le terrain des idées en le prenant à contre-pied là où c'est nécessaire et souhaitable. Espérons que ses responsables y réfléchissent...

  • Marine Le pen, bonne militante communiste façon années 70

    J'avoue être stupéfié, voire admiratif, de contempler avec quelle rapidité le Front National a viré sa cuti sous l'égide de Florian Philippot et de Marine Le pen.

    Le FN, à l'origine, c'est un parti qui défend en économie des thèses très proches de celles des libéraux-conservateurs, comme on en trouvait au Club de l'Horloge, sorte d'officine favorisant les rapprochements entre droite républicaine et extrême-droite dans les années 80. On peut dire que Marion Maréchal-Le pen est la tenante principale de cette ligne-là ; le vieux FN à la forte tradition antisémite, au passage. On ne s'étonne pas qu'elle ait voulu voter la résolution de ces imbéciles de Socialistes sur la Palestine.

     Le discours de Marine Le pen, lui, c'est trop fort : tout est repris ou presque sur le Parti Communiste des années 70. On ne déteste pas les immigrés, au contraire, mais on dit qu'ils sont utilisés pour faire baisser les salaires des Français. Et pour le reste, on rase gratis avec des promesses sociales abracadabrantesques de salaires versés par l'État pour rester chez soi à éduquer des enfants ou encore de SMIG à des niveaux hallucinants. Ajoutons à cela la nécessaire dose de discours antilibéral contre les banques, les grosses entreprises et les géants de la pharmacie ou de l'industrie et le tour est joué. Pour ne pas perdre sa base, il suffit de saupoudrer d'une bonne pincée de revendications corporatistes en faveur des commerçants et petites professions libérales et le compte est bon.

    Je n'ai toujours pas compris comment Marine Le pen finance toutes ses promesses.

    J'ai quelques doutes sur les prétendues richesses que rapporterait la jugulation totale de l'immigration. 

  • Conseil des anciens premiers ministres, Sarkozy, champion de l'entourloupe

    Sacré Sarkozy, quand même ! Plus c'est gros, et il plus il se dit que ça va passer. Trop fort son conseil des anciens premiers ministres. Et dans les anciens présidents de l'UMP, il y a qui ?

    L'expert en embrouilles de toutes sortes a parlé. On comprend bien qu'il s'agit pour lui d'asseoir son titre et de prendre de la hauteur...sur ses concurrents potentiels. A eux le titre de collaborateur, à lui la gloire de la présidence.

    Villepin qui doit attendre une occasion de se remettre en selle a tout de suite opiné du chef, mais, pour Fillon, Juppé et Raffarin, il ne faut tout de même pas les prendre pour des andouilles.

  • Taubira devrait réfléchir avant de parler

    Christine Taubira est notre Garde des Sceaux. Elle occupe donc une fonction de premier plan dans un ministère où l'on se targue de ne pas travailler sous le coup de l'émotion. Ce que je vois de Ferguson, c'est qu'on ne sait pas ce qu'il s'y est produit vraiment et qu'il y a des témoignages contradictoires. Certains présentent Mickaël Brown comme un bon gars, genre gentil colosse (qui avait tout de même commis un vol, cependant) mais d'autres disent aussi qu'ils avaient des relations bien peu fréquentables. L'enquête du Nouvel Obs est assez complète, même si je n'en partage pas tout à fait les analyses.

    Ce qui est sûr, c'est le lycée dans lequel étudiait Mike Brown est l'un des pires de la région et qu'on peut se référer à nos établissements les plus sensibles pour avoir un élément de comparaison. Il est probable aussi qu'être policier dans un quartier aussi difficile ne soit pas une sinécure, comme c'est le cas dans les nôtres également.

    Il y a dans ces quartiers une misère sociale et des concentrations ethniques qui forment des cocktails explosifs. 

    Je trouve donc assez détestable la démagogie de Madame Taubira qui essaie de ramener chaque incident au racisme. 

    Mais le pire, c'est de donner une leçon à un état démocratique ami, les USA, alors même que les procédures juridiques américaines habituelles ont été suivies et qu'un jury populaire, comportant certainement des personnes de couleurs, puisque cela hante Madame Taubira, s'est prononcé sans ambiguïté.

    Mike Brown n'avait pas l'air bien méchant, d'après ce que j'ai lu à son sujet. Un peu suiviste, essayant de jouer parfois au dur, mais aucun passif judiciaire et plutôt porté à écouter ses parents puisqu'il venait de passer son diplôme et avait travaillé l'été pour y parvenir.

    Je ne dirais pas qu'il y a un délit de sale gueule, mais le fait est qu'en étant environné d'une population locale qui compte un nombre conséquent de délinquants, hélas, on devient victime d'une image. 

    Contrairement à ce que tente de clamer haut et fort Taubira (qui va finir par créer un incident diplomatique) cette image n'est pas l'émanation de l'appartenance à une communauté ethnique en générale mais bien de la fréquentation d'un quartier très difficile. 

    Il est aussi stupide de dire qu'un policier est raciste dans un quartier à 90% noir parce qu'il contrôle souvent les Noirs que d'affirmer que parce qu'il y a beaucoup de délinquants Afro-américains dans ce quartier (et pour cause !) les Afro-américains sont naturellement délinquants.

  • Épisode Jouyet-Fillon

    Je n'ai pas vraiment grand chose à raconter sur l'affaire Jouyet-Fillon, la presse a tout dit, je crois, mais je demeure stupéfié par la naïveté de Jouyet. 

    Je crois qu'on a changé d'époque, avec les journalistes : il y a eu un temps où c'était des copains, des complices avec lesquels on pouvait papoter, par-delà les opinions politiques, mais je crois que c'est un temps révolu.

    Une large part des politiques ne le mesure pas. Les journalistes sont à la recherche du scoop à tout prix, c'est leur seule chance de survie dans un monde qui mise tout sur l'immédiateté.

    On a d'un côté un Fillon qui s'imagine qu'on peut faire pression sur la justice, comme au bon vieux temps, pour freiner ou accélérer une enquête ou un jugement, et, il y a de l'autre Jouyet qui croit que des journalistes du Monde sont des toujours des potes...

    Pas de chance : s'il y a bien un mérite que je reconnais à Hollande, c'est qu'il n'est pas du genre à aller emmerder les juges ni à chercher à bloquer quoi que ce soit dans le domaine judiciaire. 

    Tous ceux qui ont espéré le contraire, les Thévenoud, les Cahuzac, les Arif, en ont été pour leurs frais.

    Et, du côté des journalistes, il faut bien savoir qu'ils sont prêts à tout, y compris à  piéger et enregistrer qui que ce soit s'il y a une «affaire» en vue.

    Depuis que Fillon est allé fricoter avec Poutine en Russie je n'ai plus guère d'estime pour lui et je ne suis pas vraiment surpris de ce que cette histoire révèle du personnage. Mais est-ce bien intéressant ?

    Je suppose que c'est l'idée que les journalistes se sont aujourd'hui de l'information...

  • Bayrou et le barrage de Sivens : le ton juste.

    Ce que j'aime chez Bayrou, c'est qu'il ne me déçoit jamais. Depuis que je le suis je ne l'ai jamais entendu céder une seule fois aux sirènes de la démagogie ou à la facilité. Dans toutes les situations où il est tentant d'appuyer là où ça fait mal simplement pour mettre en difficulté l'adversaire, Bayrou, lui, choisit toujours d'élever le débat.

    J'ai apprécié à sa juste valeur ses prises de position sur le barrage de Sivens. Il a jugé, à raison, indécent d'exploiter dans un sens ou dans l'autre le décès dramatique de Rémi Fraisse. Il a eu le courage de dire clairement que le Ministre de l'Intérieur ne pouvait être tenu pour responsable de ce décès et il observe, une fois encore avec hauteur que la plupart de nos précédents responsables à ce poste ont essayé de trouver un équilibre (et il n'est pas facile !) pour empêcher les désordres sans dégâts matériels et accidents humains. C'est aussi mon sentiment. 

    Je ne connais pas vraiment la situation locale alors il m'est difficile de me prononcer, mais j'observe que tous les élus locaux des environs étaient favorables au barrage. 

    Comme l'observe très justement Bayrou, il semble que des décisions politiques ne puissent plus s'exécuter sans générer automatiquement de la violence, fût-elle d'une minorité. Je le rejoins encore quand il analyse que « l’ensemble de nos mécanismes de décision et d’action est à revoir parce qu’il est désespérant pour le citoyen d’avoir des décisions jamais suivies d’effets sur aucun sujet». Mais j'y ajouterais autre chose : il y a un vrai problème de confiance. Décideurs, maîtres d'ouvrage et et bâtisseurs sont joints par des liens inextricables qui fleurent bon le conflit d'intérêt. Et quand des études d'impact sont réalisées, on a le sentiment qu'elles atterrissent dans la poubelle car elles ne sont suivies d'aucun effet. A quoi sert-il d'interroger les gens si c'est pour ne finalement pas tenir compte de leurs avis ?

    Je me trompe peut-être, mais j'ai le sentiment que l'habitude de s'asseoir sur l'avis de ceux qu'on consulte finit par générer de l'énervement et des tensions. Ceci ne signifie pas que tout projet doit être bloqué à la moindre consultation, mais que les différents acteurs doivent jouer cartes sur table.

  • Marine Le pen stratosphérique !

    Étant donné le dernier sondage publié par l'IFOP on peut dire que la gauche est cuite et recuite pour longtemps. Marine Le pen côtoie, atteint ou dépasse les 30% dans quasiment tous les cas de figure tandis qu'aucun candidat socialiste ne dépasse 15%. Au passage, ces estimations rendent caduques en même temps que ridicules les tenants d'une autre politique et les querelles en général dans le camp socialiste. Les Français ne veulent plus de la gauche, et d'ailleurs, elle atteint à peine 30% tous candidats confondus.

    Le centre n'est pas assez puissant pour être présent au second tour, sa seule chance serait une candidature Fillon, mais ce dernier n'a aucune chance d'être désigné par la droite.

    Ce sera donc la droite, et, Sarkozy ou Juppé.

     Cette élection présidentielle sera aussi la dernière chance de la droite et par suite de la France avant impact contre le mur nationaliste.

  • Un bon point pour Macron

    Je ne me prononce pas, cette fois-ci, sur le fond des propos de Macron mais sur la forme. En voilà enfin un qui ne se défausse pas de ses responsabilités sur l'Allemagne ou sur l'Europe.

    Comme on lui faisait valoir que des réformes étaient demandées par "Bruxelles", il a répliqué qu'il ne pensait pas à Bruxelles quand il se rasait mais qu'il fixait un cap et proposait des réformes quand il pensait que c'était de l'intérêt de la France et des Français.

    On peut bien sûr discuter de l'intérêt des réformes en question et je ne vais pas m'en priver, mais je trouve positif de ne pas rejeter la responsabilité de ses projets sur d'autres.

    Je vois  l'intérêt de libéraliser le transport en car à condition que cela apporte vraiment des liaisons supplémentaires et que cela ne fasse pas tomber des lignes de rail régionales bien plus rapides.

    Du côté des pharmacies, développer la vente des médicaments sur Internet, c'est à mon avis à éviter. Les pharmaciens ont un rôle de contrôle et de conseil en veillant à ce que les gens n'absorbent pas n'importe quoi et en faisant des suggestions qu'ils sont les seuls, en dehors des médecins, à pouvoir faire. En outre, ils savent quels génériques recommander à la place d'un médicament et peuvent délivrer sur le champ celui qui correspond à une prescription. On dit souvent que les pharmacies sont chères mais prend-on en compte les coûts du loyer ou de l'achat des locaux et le service ? Qu'en restera-t-il avec Internet ? Qui contrôlera qui vend quoi sur la Toile ? 

    Enfin, concernant le travail le dimanche, ses garanties me paraissent aller dans le bon sens, c'est à dire repos, volontariat et double salaire pour ceux qui acceptent de travailler ce jour-là. Très bons garde-fous.

  • Les riches, le fantasme de la gauche

    Le saviez-vous ? 75% des nouveaux impôts ont été financés par les deux derniers déciles parmi les foyers imposables. De ces 75%, la moitié est réglée par 2% des contribuables. A Paris, le 16ème arrondissement finance à lui seul 50% des impôts parisiens.

    Hollande s'est cru très astucieux d'annoncer sur un ton menaçant aux "riches" que la gauche allait leur faire rendre gorge ("nous arrivons") en 2011, sans oublier son "moi j'aime pas les riches".

    Sapin joue quant à lui au père fouettard avec les exilés fiscaux ou encore les fonds discrètement délocalisés ailleurs.

    Et pendant ce temps, les créateurs, les entrepreneurs, au lieu de délocaliser leurs revenus finissent par se délocaliser eux-mêmes.

    Depuis 2012, la gauche ne cesse de faire payer les mêmes personnes au lieu de revenir sur ses dispendieuses promesses et de revoir le train de vie de l'État.

    Les mots magiques, c'est "solidarité" et "égalité". Des super baguettes magiques pour exproprier et spolier nombre de Français des biens que leurs ancêtres ou eux ont acquis grâce à leur audace ou plus prosaïquement par leur sueur.

    La quintessence du riche, c'est le banquier, la banque, le mal absolu, accusé de se "goinfrer", avec ses obligées, les grandes entreprises. Que la banque prête trop et la voilà cupide et imprudente par cupidité. Qu'elle ne prête pas assez et la voilà avare. En somme, on lui reproche de ne pas être gérée aussi mal que les États.

    Dernier avatar de la lutte des classes, le discours tout en nuance du gouvernement pour mettre à contribution des riches déjà hyper-taxés : leur réduire les allocations familiales. Soyons honnêtes : pour plusieurs foyers aisés, cela ne représente pas grand chose quand l'allocation est de l'ordre d'une centaine d'euros par mois. On aurait pu invoquer ce motif, mais la gauche préfère tenir le discours idéologique qui lui permettra de continuer à taper les mêmes. On peut légitimement supposer que les déremboursements viendront ou encore la hausse de tous les tarifs des services publics, municipaux ou nationaux.

  • Élections internes au MoDem : pour qui voter ?

    Si l'on attend (enfin, au moins les militants centristes) les résultats de l'élection interne à la présidence de l'UDI, d'autres échéances électorales bien plus feutrées s'annoncent au sein de l'autre parti centriste, le MoDem. Le MoDem Parisien s'apprête à renouveler ses instances le 16 novembre prochain puis, du 04 au 11 décembre, c'est au niveau national que le parti centriste élira un nouveau collectif national, sorte de parlement interne.

    Ce qui me fait peur, en politique, ce sont les gens qui sont assoiffés de reconnaissance sociale ou personnelle, qui attendent des récompenses, menacent de démissionner à chaque désaccord ou à chaque contrariété, qui se sentent importants pour ne pas dire indispensables et tiennent à le faire savoir. Voilà une première catégorie de personnes qui n'auront pas ma voix.

    Je me défie autant des révolutionnaires, des idolâtres et des adeptes de l'agit-prop en tout genre, fussent-ils centristes. Voilà une deuxième catégorie à laquelle je n'accorde pas davantage ma voix.

    Je ne souhaite donc pas pour me représenter à Paris des personnes qui changent d'avis selon leurs humeurs, font du chantage ou considèrent avec la plus grande arrogance leur propre personne.

    Je ne souhaite pas non plus me retrouver avec des représentants qui détestent l'UMP par principe, haïssent les banquiers, voient dans les "riches" l'ennemi juré, entretiennent une phraséologie complotiste ou encore ne jurent que par l'éradication des moyens de transport individuels. 

    Idéalement, j'aimerais des représentants qui ne se contentent pas de formules creuses, ne se satisfassent pas d'idéologie et de théorie mais soient actifs au plus proche des Parisiens et de leurs problèmes, de mes problèmes, d'ailleurs, parce que je suis parisien.

    L'affirmation de notre identité centriste, les boîtes à idées collaboratives de toutes sortes ne m'intéressent pas, elles m'ennuient. Ce que je veux, c'est que l'on me propose des projets de mesures concrètes pour ouvrir les équipements sportifs, à commencer par les piscines, plus tard, c'est à dire aux heures où une bonne partie des Parisiens peuvent s'y rendre, que l'on réfléchisse sur les obstacles de toute sorte et incessants qui entravent la circulation et le stationnement parisiens, que l'on écrive à la Municipalité pour l'inviter à cesser de centraliser tout à commencer par le recrutement des animateurs dans les écoles parisiennes.

    Des lièvres de cet acabit, j'en ai quelques autres à lever. On ne m'interroge jamais dessus, ni d'ailleurs aucun Parisien. 

    Ce que je souhaite c'est des représentants qui développent un militantisme de témoignages, d'alertes (concrètes !!!), pas d'une théorisation fumeuse dont nous avons trop souffert.

    Idéalement, j'aimerais aussi que mes représentants soient des gens actifs, présents, pas forcément sur tous les fronts, mais sur quelques uns qui seraient utiles. J'aimerais aussi qu'ils me répondent quand je soulève des problèmes qui sont spécifiques à notre ville. Je n'ai pas envie d'être écouté quand je pérore, je sais que je suis alors totalement inintéressant. En revanche, quand je fais part d'une difficulté sur un ton raisonnable, ma voix mérite de porter peut-être un peu plus loin que le seuil de mon appartement.

    Et alors ? Avec tout ça ? Pour qui dois-je voter à l'intérieur du MoDem ? Eh bien j'ai choisi la liste Ensemble pour un Paris Démocrate.

    Je le dis tout de suite, elle n'est pas parfaite. Mais elle est conduite par Maud. J'ai une entière confiance en Maud. Je l'ai vue à l'oeuvre, je sais que c'est quelqu'un qui ne fera pas n'importe quoi. De tous les co-listiers (au moins ceux que je connais, je ne puis m'exprimer pour les autres) il n'y en a pas un qui ne soit pas toujours montré modéré et pondéré. J'ai vu à l'oeuvre plusieurs d'entre eux, je les ai entendus émettre des avis souvent empreints de bon sens. Denis, Philippine, Béatrice, Bruno pour en citer quelques uns, je sais que ce sont des personnes fiables et dynamiques. Je connais un peu moins bien Armand, mais je n'ai pas souvenir de l'avoir vu se retrancher sur des positions éruptives. Je suis une partie des autres sur leurs comptes twitter quand ils en ont un rien ne me choque jamais quand je les lis.