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  • Birmanie : il faut négocier.

    Il faudra tôt ou tard envisager la politique internationale sous un autre angle en Asie. Les pressions internationales demeurent vaines en Birmanie. Pourquoi ? Parce que la junte locale sait très bien que la Chine ( et même l'Inde !!!) n'attend que le départ des occidentaux pour venir prendre leur place.

    Dans nombre de rapports, aujourdhui, le 1er problème, c'est la Chine. Il suffit de considérer l'évolution de la Corée du Nord ces derniers temps pour réaliser à quel point la Chine sait être influente quand elle le veut...

     Il faut de toutes façons aller négocier avec les militaires birmans, ne serait-ce qu'avec l'espoir de pouvoir jouer de dissenssions entre les généraux pour favoriser une aile plus modérée. Que les bonzes, ces moines boudhistes porteur d'une sagesse plusieurs fois millénaire, prennent la tête des revendications, c'est un fait sans précédent.

    Mais, pour pouvoir manier le bâton en même temps que la carotte, il sera nécessaire de pouvoir en faire autant avec un éventuel protecteur. On doit certainement pouvoir amener l'Inde à raison, car, après tout, c'est une démocratie et il y a une opinion publique.

    Pour la Chine, c'est plus difficile. Non que le gouvernement chinois soit imprévisible, mais plutôt que seules comptent les affaires pour les Chinois, et, ils ne font aucun sentiment.

    Il pourrait donc y avoir une dimension commerciale à toutes négociations en ce sens là.

    Il ne fait pas l'ombre d'un doute que sans protecteurs, la Birmanie ne ferait pas un pli face à de réelles sanctions économiques

    A l'UDF-MoDem, nous n'avons pas beaucoup de pouvoir d'action, mais nous frapperions certainement les esprits si nous proposions à la Ligue Nationale Démocrate d'Aung San Suu Kyi de rejoindre le MoDem de François Bayrou et d'autres mouvements démocrates d'Europe et du Monde dans une grande Alliance Démocrate Internationale. Pour le reste, c'est l'Europe, l'Amérique et les négociateurs de l'ONU qui pourront le plus.

  • Abattement sur la résidence principale : points de vue de Jean-Jacques Jégou et Denis Badré

    Là encore, je trouve Jean-Jacques Jégou (Sénateur UDF-MoDem) fort pertinent dans ses remarques. L'Union centriste a déposé un amendement pour que l'abattement sur la résidence principale demeure à 20% et ne soit pas portée à 30% comme le souhaitait le gouvernement, afin d'éviter les effets d'aubaine. A la place, le groupe suggère de créer un abattement minimum de 300 000 euros.

     Voilà précisément ce qu'en dit Jean-Jacques Jégou lors de la séance du 27 juillet 2007 

    « Cet amendement est la conséquence de la décision de l'Assemblée nationale de porter de 20 % à 30 % l'abattement sur la résidence principale.

    Historiquement, ces 20 % sont dus à l'initiative d'un contribuable qui avait considéré que, sa résidence principale étant occupée, il était nécessaire d'instaurer un abattement. Cela a été d'ailleurs accepté par l'administration fiscale dans un premier temps.

    L'Assemblée nationale a été mal inspirée de passer à 30 % : il ne s'agit pas là d'une mesure d'équité. En effet, elle favorise les patrimoines les plus importants et, donc, les contribuables susceptibles, puisqu'ils ont une résidence principale très chère, d'avoir également une très belle situation, à moins que ce patrimoine ne leur vienne de leurs parents.

    Par conséquent, plutôt que de passer de 20 % à 30 %, il nous est apparu plus juste de conserver le taux initial tout en précisant que l'abattement sur la résidence principale ne saurait être inférieur à 300 000 euros.

    Pour les résidences les plus chères, à l'instar de certains hôtels particuliers situés à Paris intra-muros ou dans la banlieue ouest,...

    Denis Badré : À l'est aussi !

    Jean-Jacques Jégou : Certes, mais dans une moindre mesure, tout de même ! Donc, pour ces résidences-là, l'instauration d'un seuil de 30 % risque de susciter des effets d'aubaine, comme c'est d'ailleurs déjà le cas actuellement, et à accentuer encore davantage la différence entre les petits propriétaires de leur résidence principale et les propriétaires fonciers plus riches.

     Le débat est disponible ici : http://www.senat.fr/seances/s200707/s20070727/s20070727002.html#int2851

    A lire dans ce débat, l'explication très claire qu'en fait Denis Badré, autre Sénateur UDF-MoDem :

    « En définitive, madame la ministre, que proposons-nous ?

    Au lieu de passer à 30 % pour tout le monde, ce qui représente un cadeau, une aide considérable pour les propriétaires d'immeubles très importants, nous préférons conserver le seuil antérieur, soit 20 %, et affecter l'économie ainsi obtenue à la mise en place d'une franchise ou, si vous préférez, d'un plancher, pour que les propriétaires immobiliers plus modestes puissent bénéficier à plein de la mesure.

    D'après vous, cela coûte très cher. Mais nous pouvons très bien adopter notre amendement aujourd'hui et profiter du temps qu'il nous reste avant la réunion de la commission mixte paritaire pour réfléchir à un recalibrage de la mesure, afin qu'elle soit bien mise en oeuvre, mais à coût nul.

    Madame la ministre, vous avez tout de même consenti un effort important en acceptant ce relèvement à 30 % pour tout le monde. L'objectif que nous visons est simplement de répartir différemment l'argent correspondant à un tel surcoût.

    La mesure que nous proposons me semble beaucoup plus juste, sans qu'elle soit plus coûteuse ni moins valable sur le plan constitutionnel que celle qui figure à l'article 5 bis.»

     

     Moi je dis bravo Denis Badré et Jean-Jacques Jégou : leur mesure me semble bien plus juste.
  • Universités : Michel Mercier et l'Union centriste défendent les prérogatives du Conseil d'Administration

    J'adore décidément Michel Mercier (Sénateur UDF-MoDem). Cet homme-là a un extraordinaire sens de l'humour. Son groupeau Sénat, a finalement voté la loi de Valérie Pécresse sur les Universités, mais après unc ertain nombre de modifications, dont l'une qui essayait d'empêcher tous les représentants d'avoir le mêm droit de vote pour élire le Président dans une université.

     L'extrait  que je cite est du Michel Mercier dans le texte, et  c'est excellent :-D

     

    Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, je voudrais tout d'abord remercier toutes celles et tous ceux qui ont permis le bon déroulement de ce débat.

    Je commencerai par vous, madame la présidente, et par vos collègues qui vous ont précédée à ce fauteuil. Je n'oublierai pas, bien sûr, le président et le rapporteur de la commission des affaires culturelles, ainsi que le rapporteur pour avis de la commission des finances.

    Mais c'est à vous, madame la ministre, que je souhaite tout particulièrement rendre hommage, car vous avez su, grâce à votre charme et à une parfaite maîtrise du dossier, nous délivrer vos convictions, avec passion et raison. Ce faisant, vous avez beaucoup fait pour la qualité de nos débats.

    Au demeurant, notre groupe, ne vous ayant rien demandé, n'a rien obtenu ! (Rires.) Cela nous évite toute déception, au contraire de nos collègues socialistes qui, se trouvant tout à coup dans la position de l'interlocuteur privilégié, à la suite de la politique d'ouverture,...

    M. Daniel Raoul. Jaloux !

    M. Michel Mercier. ...ont quelque peine à s'y habituer ! Mais je leur fais confiance, ils apprendront très vite ! Cette culture de l'ouverture va sûrement se développer. Je suis d'ailleurs, pour ma part, plutôt favorable à l'élargissement. Vous l'aurez tous compris, ce soir, je ne suis pas porté à la critique. Peut-être un jour viendra-t-il où nous aurons des choses à demander au Gouvernement ; nous ne manquerons pas alors de lui faire savoir, et nous verrons bien ce qu'il adviendra alors.

    Pour en revenir au présent projet de loi, madame la ministre, chacun doit bien avoir conscience qu'il s'agit d'abord d'un texte de compromis. Entre la version initiale et celle qui nous a été soumise, des discussions ont en effet été engagées avec les universitaires et les étudiants. Dès lors que vous avez obtenu leur accord, plus ou moins formalisé il est vrai, la marge de manoeuvre du législateur devenait relativement étroite, et nous ne pouvions pas apporter de trop grandes modifications.

    Le groupe de l'UC-UDF votera ce texte, non seulement pour tout ce qu'il comporte, mais aussi pour tout ce qu'il ne contient pas. (Exclamations amusées sur l'ensemble des travées.) Rassurez-vous, mes chers collègues, je vais m'en expliquer !

    Nous sommes clairement favorables à l'autonomie. Bien entendu, comme tout ce qui est inconnu, cela fait d'abord peur. Vous avez donc décidé, madame la ministre, d'encadrer cette autonomie en mettant en place une gouvernance rassurante pour les différents acteurs de l'université.

    Une telle prudence nous a paru quelque peu inquiétante. À cet égard, nous vous remercions d'avoir finalement accepté d'évoluer sur cette question et d'ouvrir à l'ensemble du conseil d'administration le droit d'élire le président.

    Cette disposition est, à mes yeux, essentielle, car il ne peut y avoir autonomie sans ouverture ni prise de risque, laquelle est d'ailleurs très largement circonscrite par l'adoption de l'amendement de la commission relatif au mode de désignation des personnalités extérieures.

    Cela étant, l'ouverture est bien réelle et mérite d'être soulignée, car c'est notamment ce qui nous conduit à soutenir le texte.

    En outre, le projet de loi présente un autre avantage, celui d'être relativement court. Il pose un certain nombre de règles de base et met en place des rouages institutionnels. En fin de compte, à bien y regarder, il fait confiance aux universitaires et aux étudiants.

    Le Sénat confie aux universitaires et aux étudiants le soin de mener à bien cette réforme, de la faire vivre et de lui faire produire tous ses effets. Ce sont eux, en effet, qui seront les acteurs et les responsables de demain, grâce à ce texte qui leur ouvre des portes, en ferme peu, et leur offre de nombreuses perspectives. S'ils ont en eux suffisamment d'envie, d'audace et de désir de réussir ensemble, ce projet de loi sera pour eux un bon outil. C'est la raison pour laquelle nous le voterons.

     Mais, mais, j'ai rêvé ou j'ai bien lu : il drague ouvertement la Ministre en plus ! (Objectivement, c'est vrai qu'elle est bien jolie, mais ce n'est pas une raison ! Il a tout de même mis le charme avant la maîtrise du dossier pour la délivrance des convictions... :-)

     

  • Didier Bariani juge le Nouveau Centre...

    Excellente, cette vidéo : j'adore son Radeau de la Méduse, et plus encore son «Chéque-emploi-service du Président de la République». Je trouve qu'il a vraiment une excellente analyse de la situation, Didier Bariani : voilà une homme de valeur en qui le MoDem peut avoir confiance. Il reste à trouver un compromis satisfaisant entre les MoDem et les UDF, mais les UDF qui sont restés avec François Bayrou partagent évidemment les valeurs du MoDem.

     

  • François Bayrou s'oppose aux contrôles génétiques

    Le président de l'UDF-MoDem François Bayrou a indiqué hier qu'il était opposé à l'amendement sur les tests ADN pour les candidats au regroupement familial, dans le cadre du projet de loi sur l'immigration débattu à l'Assemblée.
    "Jamais je ne voterai pour ces contrôles génétiques. Les auteurs de cet amendement ne se rendent pas compte dans quel engrenage ils nous font mettre le doigt", a-t-il déclaré.
    "On touche là au respect de la vie privée, on risque de déstabiliser des familles dans lesquelles on découvrirait des enfants illégitimes, et cela ne marche ni pour les familles recomposées, ni pour les enfants adoptés", a-t-il dit.

    Voilà, pas grand chose à rajouter, je suis exactement de l'avis de François Bayrou. Les Test ADN ne doivent pas servir à tout et à n'importe quoi. Si vraiment Hortefeux estime que le regroupement familial pose problème, eh bien qu'il le réforme, et voilà tout.

  • Anne-Marie Comparini, les Démocrates ont besoin de vous !

    Rude coup pour le MoDem. Le retrait d'Anne-Marie Comparini de la vie politique est une mauvaise nouvelle. Cette femme courageuse et intelligente aura été une lumière dans la nuit, un symbole et un modèle pour son éthique sans faille. Pourquoi faut-il que les meilleurs partent-ils toujours ?

    Vous avez encore le  temps de changer d'avis Anne-Marie. Nous autres, Démocrates, avons besoin de vous. Certes, les dernières élections vous ont éprouvée, mais vous êtes le leader inconstable de l'opposition démocrate à Lyon, et une figure morale nationale pour tous les militants MoDem.

    Nous avons besoin de vous ! 

  • Merci, François Bayrou !

    Voilà qui me comble d'aise, lisez-donc plutôt :

    « Pas question de se rallier au "projet néoconservateur et néo-bonapartiste" du président de la République. Pas question non plus de prêter une oreille complaisante au discours "archéo-socialiste"»

    «"Nicolas Sarkozy accroche l'un après l'autre les dirigeants politiques, notamment socialistes, comme des trophées à son tableau de chasse. Je n'ai pas cette vocation-là. Je ne suis pas dans une perspective de ralliement. Je tiens ma ligne avec la conviction que c'est ce que les citoyens attendent de leurs élus ».

    « Il y a des villes où nous sommes déjà dans une majorité et une majorité qui marche bien. Et il y a des villes qui méritent une gouvernance nouvelle. Notre ligne générale sera l'autonomie. Et ensuite, nous étudierons la situation ville par ville. »

    Merci François : le cap, c'est donc l'indépendance. C'est d'ailleurs ce que retiennent tous les éditorialistes.

    Pour Paris, j'aime beaucoup les déclarations de Marielle de Sarnez au Monde du 13 septembre 2007

    Nous voulons proposer un projet nouveau, qui n'est porté aujourd'hui par aucun des deux partis traditionnels.

    Pour exister, le centre doit être libre et indépendant et pas inféodé à un seul côté. C'est la seule condition que nous mettrons à tout rassemblement que je souhaite et que nous favoriserons.

    On a besoin de renouvellement à Paris. J'y conduirai des listes autonomes. Mais le plus important, avant les équipes, c'est la question du projet, des ambitions pour Paris. Nous en avons de grandes.

     Merci Marielle, cela fait chaud au coeur, etvous pouvez compter sur nous. l'UDF-MoDem est en ordre de marche, désormais. Ce sont les mots que nous attendions nous de nos leaders politiques.

  • Qu'est-ce que le Centre ? par Marielle de Sarnez

    Lu dans Libération du 13/09/2007. J'ai beaucoup aimé l'article de Marielle de Sarnez.

    « Bonne nouvelle. Pour tous ceux qui ne se satisfont pas de la vie politique française telle qu’elle est organisée depuis trop longtemps, désormais le centre existe et il n’est pas à vendre. Allié, ou plutôt rallié à la droite pendant des décennies, le centre s’est libéré de ce conformisme et de cette contrainte. Il a choisi d’être lui-même. Ayant cessé d’être le supplétif de la droite, il ne sera pas demain le supplétif de la gauche. Ceci mérite d’être dit. Je sais bien que nombreux et puissants sont ceux qui veulent que la vie politique se résume à deux forces, et à deux seulement, apparemment contraires, mais en fait complices. Pour eux, le centre doit être d’un côté ou de l’autre, puisqu’il n’y a que deux côtés. Mais, à côté de ces conservateurs de la politique, plus nombreux encore sont les Français qui aspirent à une force politique et à des attitudes nouvelles. Ce dont la France a vitalement besoin, c’est d’un nouvel horizon démocratique et réformiste. Le projet démocrate que nous portons a vocation à réunir tous ceux qui souhaitent construire cette force alternative nouvelle. Ce projet devra répondre à quatre grandes questions : Comment rendre le citoyen conscient et responsable, et non pas manipulé par la communication ? Comment construire une société économiquement efficace, mais où les valeurs de vie en commun ont toute leur place ? Comment donner à l’État, une place de régulateur, de partenaire et non pas d’acteur universel ? Comment parvenir à un nouvel équilibre du monde ? »

  • Plaidoyer pour l'UDF

    Une rumeur folle parcourt la blogsphère UDF et MoDem actuellement : on entend que l'UDF disparaîtrait à la suite de la convention de Seignosse. François Bayrou a pourtant bien précisé, le 10 mai dernier, que l'UDF n'avait nullement vocation à disparaître, mais deviendrait une constituante du MoDem.

    Je rejoins tout à fait l'analyse de Didier Bariani dans les Echos du 9 septembre, qui déclare : « L'UDF (...) garde une authenticité, des fondements, une réalité, une notoriété dans la vie politique française qu'il est très difficile de remplacer, surtout dans les milieux de centre modéré, qu'ils soient laïcs, démocrates-chrétiens ou libéraux ».

    Voilà, c'est tout à fait mon avis. Et comme Didier Bariani, j'estime qu'aucune décision concernant l'avenir de l'UDF ne peut être prise sans l'aval de ses adhérents. Un congrès est donc nécessaire, et le plus vite possible. Sur ce blog nous sommes UDF ET MoDem, et nous tenons  autant à l'UDF sinon plus qu'au MoDem.

    L'UMP conserve bien une composante distincte avec les Radicaux Valoisiens, la gauche est bien plurielle, et le PS constamment allié avec les Radicaux de Gauche, nous ne voyons pas pourquoi, nous autres, à l'UDF-MoDem, du passé il faudrait faire table rase... 

  • Députés, Sénateurs et autres élus du MoDem

    Il était temps que l'on s'y retrouve : enfin une liste en principe viable des élus du MoDem :

    Députés

    * Issus de l’UDF, élus en 2007 : François Bayrou, Thierry Benoît, Jean Lassalle

    * Non issu de l’UDF, élu en 2007 : Abdoulatifou Aly

     

    Sénateurs

    * Issus de l’UDF : Jacqueline Gourault (Loir et Cher), Michel Mercier (Rhône), Nicolas About (président de la commission des affaires sociales au Sénat), Claude Biwer (Meuse), Muguette Dini (Rhône), Françoise Férat (Marne), Jean-Jacques Jégou (Val-de-Marne), Adrien Giraud (Mayotte), Philippe Arnaud (Charente), Philippe Nogrix (Ille-et-Vilaine), Yves Détraigne (Marne), Daniel Soulage (Lot-et-Garonne), Jean-Marie Vanlerenberghe (Pas-de-Calais), François Zocchetto (Mayenne), Denis Badré (Hauts-de-Seine), Christian Gaudin (Maine-et-Loire), Catherine Morin-Desailly (Seine-Maritime), Marcel Deneux (Somme)

    Députés européens

    * Issus de l’UDF-PDE, élus en 2004 : Marielle de Sarnez, Jean-Marie Cavada (apparenté), Bernard Lehideux, Claire Gibault, Nathalie Griesbeck, Anne Laperrouze, Philippe Morillon, Thierry Cornillet, Jean Marie Beaupuy.

    * Issu des Verts : Jean-Luc Bennahmias

    Voilà : c'est déjà nettement plus clair comme cela...