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racaille

  • La racaille lâche des pitbulls sur les enfants des écoles et les passants

    Donc, si j'ai bien compris cet article du Parisien qui semble ne provoquer aucun émoi ni à la Préfecture de Police, ni à l'Hôtel de Ville : 

    De la racaille a élu domicile dans le quartier Évangile, pas loin de la Porte de la Chapelle dans le XVIIIème. La racaille trouve drôle de venir terroriser les enfants qui sortent des écoles avec des pitbulls qui ne sont pas tenus en laisse et n'ont pas de muselière. La racaille s'amuse également à lâcher leurs saloperies de pitbulls sur les passants. Pas la peine d'aller discuter avec la racaille, comme le dit pudiquement une habitante du quartier, ce sont des "murs".

    Ma solution est d'abattre leurs saletés de cabots pour commencer et d'aller cueillir la racaille à grands coups de matraque dans la face et de tazer.

    Sinon, je suis sidéré de l'inertie du commissariat local qui a pourtant été averti. Il faut faire quoi ? Constituer une milice pour se protéger, à Paris ?

    Que font Anne Hidalgo et tous ses conseillers ? Rien. Que fait le préfet de Paris ? Rien non plus. Et pour compléter le lot, puisque la police dépend de l'État, que fait le Ministère de l'Intérieur ? Rien non plus.

    Peut-être que tout ce beau monde attend qu'il y ait un bébé dévoré par un pitbull pour participer à la marche blanche qui s'ensuivra à grands coups de "plus jamais ça" ?

  • Parlons-en de Brétigny...

    Je suis frappé de l'efficience avec laquelle le politiquement correct s'est échiné à masquer la réalité des évènements qui se sont déroulés à Brétigny.

    Ce n'est pourtant pas compliqué à comprendre : la racaille était là et elle a vu une opportunité de s'engraisser sur les cadavres et les agonisants.

    La bien-pensance peine à imaginer un tel scénario qui pour ma part ne m'étonne nullement. Je connais trop bien les pourritures qui peuplent les cités pour ne pas être supris et les témoignages que la presse s'est bien gardée de publier sont encore en-dessous de la réalité.

    A vrai dire, il y a une espèce de culpabilité qui frappe même les blogues de droite qui ne laisse de m'étonner : Auhtueil, par exemple, appelle à refonder la politique de la ville, jugeant que la barbarie se développe sur le lit de la misère.

    Toute tentative d'établir une vérité tout ce qu'il y a de plus crue se heurte au droitdelhommisme dégoûlinant de bonne conscience, abondant en hyperboles et épithètes du champ lexical de l'indignation : nauséabond, immonde, gerbant, indigne, voilà des adjectifs qui plaisent bien à la gauche morale et même au-delà puisque la droite n'ose plus rien dire.

    J'ai une autre analyse. Je crois que c'est le laxisme et l'absence de sanctions qui la nourrissent. Notre pays crève du laxisme des juges et de l'hypocrisie des politiques qui ne donnent pas aux juges qui prennent les choses au sérieux les moyens de faire exécuter leurs sentences.

    Pour moi, il ne fait pas de doute qu'il y a une volonté politique de laisser le champ libre à la racaille. La racaille, rappelons-le c'est :

    - les tournantes

    - le traffic de drogue en banlieue avec son cortège d'assassinats

    - les agressions violentes

    - l'islamisation des cités (ce sont les mêmes qui violent, pillent, blessent, accueillent la police, les pompiers et les secours à coups de pierres puis se refont une virginité en déclarant leur amour à Dieu et en appelant au Jihad).

    Mais, au fond, ce n'est pas tout : la violence sous toutes ses formes, toujours plus violentes, déborde de toutes parts, bien au-delà des cités. Pour un oui ou pour un non, on décharge un chargeur, on plante un coup de couteau, au minimum, on tabasse.

    Cette violence, je le crois profondément, se développe sur le terreau de l'impunité. On va encore me seriner que la France n'a jamais eu autant de monde dans ses prisons et que les lois se sont durcies ; c'est bien possible, mais entre temps, la délinquance a explosé, elle, et j'aimerais un jour qu'on fasse le décompte des faits de délinquance qui demeurent impunis. J'imagine que cette statistique-là n'est pas bonne à faire connaître.

    Notre droit est trop protecteur pour la racaille ? Changeons notre droit, le cas échéant, dénonçons des conventions si c'est nécessaire jusqu'à ce que répression et délinquance s'ajustent.

    Que l'on ne me dise pas que la délinquance est systémique : Giulani à New York, avec sa tolérance zéro, a enclenché une spirale qui a fait reculer le crime au point que sa ville est revenu aujourd'hui à des taux d'homicides du début des années 60.

    Dans le même temps, à Paris, pendant que Delanoë et Hidalgo ne songent qu'à la fête, l'insécurité atteint des seuils record, menaçant l'industrie touristique de la capitale.

    Nous disposons d'armes largement suffisantes pour neutraliser la racaille : tasers, flash-ball, bonne vieille matraque, gilets, vidéo-surveillance, et, qui sait, si nous le décidons, bientôt des drones, mais il nous manque la volonté politique nécessaire pour faire du nettoyage à grands coups de torchon. On avait pu penser en un temps que Sarkozy l'avait, mais finalement, il n'a brassé que du vent ; Valls, de son côté, est prisonnier du clan socialiste et la médiacratie libertaro-gauchiste reconverti au capitalisme pour soi et socialisme pour les autres.

  • Mariage homo : les Socialistes vont finir par lasser les Français.

    Comme je l'ai écrit plusieurs fois ici je n'ai pas trop d'avis sur le mariage homosexuelle. Je pense qu'on aurait pu éviter des affrontements en se contentant de parler d'union civile mais bon, ce n'est jamais qu'une question secondaire et, en cas de référendum, je n'aurais pas voté contre.

    Toutefois, ce gouvernement m'énerve fortement. Quand la racaille déboule en masse à l'occasion d'un titre de champion, il n'y a qu'une douzaine d'interpellations alors qu'elle agresse, menace et pille.

    Quand ce sont des militants de la manif pour tous pas spécialement dangereux ou agressifs pour le quartier dans lequel ils évoluent, on arrive à en alpaguer une cinquantaine.

    Valls, Taubira et compagnie se foutent de la gueule des Français ou quoi ?

    Paris devient lentement mais sûrement le repaire des pick-pockets et un lieu de rendez-vous prisé de la racaille (qui règne déjà en maîtresse dans les banlieues) sous le nez de Delanoë et sa clique qui ne pensent qu'à organiser la fête et à emmerder les automobilistes.

    La sécurité ? Quelle sécurité ? La racaille, quelle racaille ? Il n'y a que de "jeunes exclus". Au fait, il y a de plus en plus d'agressions homophobes, et, un de ces jours, j'aimerais bien avoir des statistiques pour savoir qui les commet et d'où viennent les agressions. M'est avis qu'on y trouverait plus de la racaille de banlieue que des "manif pour tous".

    Ce gouvernement est déjà économiquement nul, mais de surcroît, il prend l'insécurité à la légère.

    Il va peut-être falloir envisager de reconner des priorités claires aux forces de sécurité.

    Et puis arrêter de nous gonfler avec le mariage homo. On en entend parler tous les jours, ça va bien un temps mais la France et son gouvernement ont autre chose à faire maintenant.

    Ce que les Socialistes n'ont pas compris c'est que toutes ces histoires-là ça ne plaît qu'aux bobos et à leur clientèle fonctionnarisée. Ils vont se prendre un très méchant retour de bâton quand, faute de s'occuper des choses essentielles, ils vont se faire dépasser partout par le FN aux prochaines élections.

    Si le MoDem de son côté s'obstine à adopter le même genre de postures avec ses histoires de moralisation de la vie publique dont les Français se foutent, au fond, il va se manger moins de 5% aux prochaines élections (et encore, je suis optimiste), j'en profite pour l'avertir.

    Aujourd'hui les Français, le mariage homo, la moralisation de la vie publique, la théorie du gender et toutes ces conneries ils s'en tamponnent : ce qu'ils veulent ce sont des propositions économiques pour relancer la machine et créer des emplois.

    Une loi comme le mariage homosexuel, on la fait passer quand l'économie se porte bien, quand il n'y a pas de sujet de grogne majeur, on ne s'en sert pas pour tenter de détourner l'attention de son peuple parce que l'on n'a pas d'idées et que l'on se montre incapable de tenir ses fallacieuses promesses...

  • Mixité sociale, l'hypocrisie !

    Il y a des mots qui me provoquent des éruptions de boutons, comme certains de mes lecteurs n'ont certainement pas manqué de s'en apercevoir au fil de leurs lectures ici. La "mixité sociale" en fait partie.

    Je trouve de ce point de vue très éclairante la situation au siège d'Orange à Saint-Denis. Poussés, sans doute, par les possibilités de "développement" et de croissance, mais aussi par la perspective de se faire mousser à peu de frais en prenant leur part de "mixité sociale", les dirigeants d'Orange ont eu il y a quelques années la brillantissime idée de déplacer à Saint-Denis leur siège qui se trouvait avant dans le XIIIème arrondissement de Paris.

    Ainsi, les cadres qui travaillaient à Paris ont fait connaissance avec la racaille et la délinquance qui caractérisent le département le plus criminogène de France. Les agressions se multiplient, évidemment, et, du coup, les cadres locaux se font porter pâles, refusant de venir au siège et encore plus d'y garer leurs véhicules.

    Le bon sentiment dégoûlinant (particulièrement à gauche, mais il a contaminé la droite de longue date) s'imagine qu'il suffit de mélanger les gens pour créer de la mixité sociale, comme ils disent. Ça, c'est un truc de la gauche d'adorer le mélange, le brassage, le mixage, le multi et tutti quanti.

    Moi, ce que je dis, c'est que la mixité sociale, ça commence par un bon coup de matraque dans la gueule de la racaille.

    Commencez par sécuriser les quartiers qui craignent, n'ayez pas peur de taper et d'envoyer qui il faut  au gnouf le temps qu'il faut, et les entreprises pourront s'installer. 

    A défaut, adaptez au moins l'entreprise que vous implantez à la population locale : c'était particulièrement idiot de transplanter le siège à Saint-Denis. Il eût mieux valu créer un centre d'appel et réaliser des embauches sur place, plutôt que de trimballer les cadres sur toutes les lignes de métro et les routes du nord de Paris (ça fait de la circulation en plus !). Et même si le siège du XIIIème devenait étroit, eh bien il fallait faire appel à des architectes d'intérieurs, gens astucieux s'il en est pour aménager des espaces restreints, et les cadres d'Orange se seraient un peu serrés, et voilà...

    Mais non, à Orange qui est devenue experte en management de merde, on a encore voulu faire les beaux et complaire à la doxa ambiante. On a aussi calculé petit en espérant des économies, en s'installant à Saint-Denis (tiens, je vous parie que cela leur coûte plus cher que d'être resté à Paris). Résultat des courses, leur bâtiment flambant neuf va bientôt ressembler à un désert.

    Ben oui : vous savez ce qu'Orange conseille désormais à ses cadres ? De télétravailler à distance, et de se déplacer en petits groupes. MDR, comme on dit en langage SMS, ou encore LOL.

    On fait fort dans la téléphonie : devinez qui compte faire la même chose ? SFR, à partir de 2013. Ce qui est comique, ce sont les déclarations ronflantes, toujours dans le concept évidemment, des architectes du projet : Jean-Paul Viguier, le concepteur de la chose, voit sa future horreur comme la métaphore d'un arbre. 

    Zarma, nardenmoken, les fils de p... on va leur dépouiller leur arbre de tous ses fruits dès qu'ils vont mettre les pieds dans le hall de la nouvelle cage d'escalier : z'y va les bolos* !

    NDLR : bolos signifie en langage de la racaille "bouffon", "valet" ou encore "personne d'apparence faible et sans dépense que l'on peut facilement dépouiller ou gruger".

  • Mailorama, bafforama, et les jeunes «déçus»

    Je viens de faire un tour chez l'ami Hashtable : il a le mérite d'avoir remis les choses à leur place à propos de la distribution d'argent qui devait avoir lieu sur le Champ de Mars, à Paris, ce week-end. Il suffit de voir la tenue des «jeunes déçus» tabassant le passant pour comprendre que la ban et l'arrière-ban de la racaille s'étaient donnés rendez-vous pour cet évènement. La presse et le gouvernement sont tombés à bras raccourcis sur l'entreprise, mais il faudrait préciser que la racaille dévaste régulièrement le Champ de Mars en toute impunité. Cela fait d'ailleurs l'objet de réactions répétées de l'élue MoDem du 7ème arrondissement, Véronique Devolvé-Rosset en conseil d'arrondissement.

    Cela dit, il faut vraiment être c... pour organiser une distribution de fric ainsi. Il eût mieux valu distribuer des bons ou procéder à un tirage au sort préalable quitte à la médiatiser ensuite. Stéphane Boukris, celui qui voulait mettre en place le fameux faismesdevoirs.com est décidément le spécialiste des coups tordus. Caramba ! Raté, une fois de plus.

    Quand on sait que la racaille traîne dans un endroit, on n'organise pas une manifestation de ce genre. D'ailleurs, je n'en aime pas trop le principe : les distributions, de manière générale, sans organisation sérieuse préalable, donnent toujours lieu à des débordements. Il y en avait déjà à Rome, dans l'Antiquité, lors des distributions de pains et il y en a toujours aujourd'hui.

    L'entreprise a été accusée, mais l'administration qui a fait preuve d'une incompétence notoire, dans cetter histoire, c'est la Préfecture de Paris. Elle connaît le terrain, elle savait qu'il y avait des risques. Elle devait au minimum en avertir l'entreprise, et, à mon avis, interdire cette distribution en raison des risques importants de troubles à l'ordre public qui étaient prévisibles.

    In fine, je l'ai déjà dit ici, et je continuerai à la relever, tout comme Hashtable, je suis expaspéré que l'on continue à désigner la racaille du nom de "jeunes". On entretient ainsi sciemment la confusion entre une jeunesse globalement tranquille et la racaille qui f... la m... partout où elle passe.

  • Il faut cesser d'entretenir la confusion entre jeunesse et racaille

    J'en ai ras-le-bol de lire dans les journaux, chaque fois que la racaille se déchaîne, des titres du genre "dix jeunes ont été interpelés après un viol collectif".  Ceci entretient la confusion entre la jeunesse et la racaille. J'ai lu, à propos de cette affaire de viol collectif dans un train aux Mureaux le 18 avril dernier, que la racaille n'éprouvait en plus aucun remords. Aucun remord ? 20 ans de prison avec le nombre de coups de matraque suffisants pour leur faire rentrer les remords dans la gueule. Voilà ce qu'il faut à la racaille. Surtout, aucune faiblesse : ils ne doivent pas avoir de jeunesse. Ce n'est pas un écart, ce n'est pas une connerie, c'est un crime répugnant et lâche qu'il faut réprimer le plus brutalement possible.

    Et il faut cesser de parler de jeunes. On s'en fout qu'ils soient jeunes. On s'en tape. La seule chose qui m'importe, c'est qu'on les colle en prison, et pour longtemps. Qu'on ne leur fasse aucun cadeau. Je me fous de leur histoire et de leurs problèmes sociaux et familiaux, à ces ordures-là. Je m'en contre-fous. Je veux juste de la matraque et du gnouf, et des juges qui cessent de se prendre pour des assistantes sociales. Il ne doit pas y avoir de pitié pour le reste de la bande dont la complicité passive n'est pas moins grave à mes yeux. Dès lors qu'ils représentaient une menace, ils doivent être réprimés avec une sévérité exemplaire.

    Dans toutes les affaires de viol dont j'ai eu connaissance, ce qui me frappe, c'est la légèreté des peines. Parfois, trois années de prison à peine. C'est se moquer des victimes. Et je ne parle même pas des menaces qui pèsent sur ces mêmes victimes ensuite. Quand on a passé entre dix et vingt ans en prison, je crois qu'on a beaucoup moins envie de faire le malin, surtout si la moindre incartade vous renvoie à la case départ.

    Les agresseurs étaient des récidivistes : ils étaient connus pour de multiples agressions. Eussent-ils été punis comme ils le convenaient, peut-être se seraient-ils abstenus. Je n'imagine pas que la sécurité ne revienne pas, tôt ou tard, comme un boomerang à la tête des politiques, par les temps qui courent. Il sera alors inutile de faire de l'angélisme (gauche dans son ensemble) ni de se payer de mots (droite)...

    Ras-le-bol des paroles, on veut des actes.