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Insolite - Page 32

  • Janvier, le nouvel an et les portes

    Le saviez-vous ? le mois de janvier est en réalité unr création romaine. Il fut nommé ainsi en l'honneur du dieu Janus, dieu des portes, mais également dieu à double-face : une face tournée vers l'avant, une autre vers l'arrière.

    Bien évidemment, il y a là une sympbolique qui n'échappera pas aux esprits perspicaces. La face qui regarde vers l'arrière, c'est le passé, et donc l'année qui finit, et celle qui regarde vers l'avant, celle qui commence.

    Paradoxalement, les premeirs romains ne commençaient pas l'année au mois de janvier, mais au mois de Mars, très précisément à l'équinoxe du printemps. Ce n'est que plus tard qu'ils firent cadrer le cycle des saisons avec leur calendrier.

    On faisait la fête, le 1er jour du mois de Janus, à Rome : on s'échangeait des petits cadeaux, on s'invitait les uns chez les autres, et on laissait les portes ouvertes en guise d'hospitalité. On appelait ces fêtes les januaria.

    La tradition a traversé les siècles. Le 1er jour du mois de Janus ne devint le 1er jour de l'année qu'à partir du 2ème siècle avant J-C. Il allait le rester définitivement, puisque de nos jours, nous continuons à fêter Janus. 

  • Noël, Hélios et nos impôts...

    Eh bien puisque je le disais hier, Noël est la fête du Nouveau Soleil, je choisis ce morceau d'un tableau de Jan Brueghel (l'inconvénient, c'est qu'avec tous les Jan Brueghel, je ne me souviens plus lequel exactement, et de surcroît, pas davantage du nom du tableau). Bon, allez, je me lance, je crois tout de même que c'est le I, c'est à dire Brueghel l'Ancien dit de Velours, mais c'est incertain. Pire, cela pourrait être Pierre, son frère aîné !

    5c2a679e4e28eaf5353d0eb6ff8fdad6.jpg Le comble, c'est que ce que l'on voit ici, sur ce blog, c'est une toute petite partie de la peinture qui se situe en bas à droite du tableau. Mais cette minuscule partie, je la trouve fascinante, et je trouve qu'elle évoque très bien pour moi la venue d'un soleil nouveau.

    En principe, dans ce tableau, il parcourt l'Océan, donc la nuit, et se dirige vers l'Orient, préparant l'avènement d'un nouveau jour. 

    Bon, si un oeil expert pour ne pas dire érudit peut me retrouver l'oeuvre exacte...

    Cela mis à part, j'espère que mes lecteurs ont réveillonné à souhait. 

    Dans la mythologie grecque, Hélios  est le dieu du soleil. Son rôle principal est de dévoiler tout ce qui se passe sur terre.

    Cela me fait bien rigoler, parce qu'il y a un autre Hélios, mais celui-là, il va peut-être moins plaire aux lecteurs : figurez-vous, chers lecteurs, que Bercy nous a concocté un magnifique programme informatique : en fait, ce n'est pas si nouveau, mais il termine son échelonnement pour 2008. C'est un programme qui vise à refondre les applications informatiques de la gestion du secteur public local en une application unique.

     

    A votre, avis, pourquoi ils l'ont appelé Hélios ? Je vous laisse chercher , chers ecteurs, je vous ai mis sur la piste... Tenez, si vous voulez tout savoir sur Hélios, rendez-vous sur cette page du Ministère de l'économie et des finances...

  • L'origine de Noël

    9a27ada99ad898825c91e6340956dce2.jpgLe saviez-vous ? Noël que l'on assimime généralement à la naissance de Jésus de Nazareth n'a en fait absolument aucun rapport avec cet évènement. En réalité, Noël vient du breton, no'il ; no'il signifie le nouveau soleil en breton. J'ai longtemps cru que le mot venait directement du grec ancien car on y trouve les deux mots néo (νέος), contracté souvent en no et helios (ἥλιος) dans lesquels on reconnaît bien no et el.

    En fait, le breton et le grec ancien étant deux langues indo-européennes, leur source est commune, d'où une parenté si apparente. 

    J'imagine bien la terreur des primitifs quand il constatait que petit à petit, le soleil se faisait de moins en moins présent : peut-être s'imaginaient-ils que le soleil allait disparaître à jamais, alors ils se carraient tous au coin d'un feu, bien serrés les uns contre les autres, rêvant de jours meilleurs. Et puis, un jour, paf, ils s'apercevaient que le soleil les avait accompagnés plus longuement, et un espoir renaissait. C'était un nouveau soleil qui ressuscitait de ses cendres encore incandescentes.  Alors ils faisaient la fête, parce qu'avec le temps, ils cesseraient de crever de froid, et les plantes se remettraient à pousser, même si cela allait prendre du temps. Et voilà. On fête ça encore de nos jours...

    Magnifique, ce soleil incandescent, non ? Sa belle couleur orange ne vous rappelle-t-elle pas quelque chose, à ce sujet :-) Allez, je vous donne un indice : il y a un rapport avec la politique...

  • Lyon en 8ème de finales

    Voilà, ce très court billet pour signaler que Lyon a pris sa revanche en battant les Glasgow rangers 3 à 0, et que donc, par suite, l'OL est qualifié pour les huitièmes de finale de la ligue des champions.

    Ouf ! pfffiiiuuu : ils reviennent de loin ! 

  • La Dalle d'Epidaure

    Là, j'ai adoré ! adoré cette comparaison. François Bayrou, dans un entretien aussi enrichissant que surprenant, évoque par une métaphore saisissante la destin du Mouvement Démocrate.

    François Bayrou analyse le parcours de sa famille politique et le chemin vers l'indépendance tracé depuis longtemps : "les mentalités sont beaucoup plus difficiles à changer que les appareils".

     
    Pour plus d'informations sur les aspects techniques on peut aussi se rendre à l'article François Bayrou évoque l'acoustique d'Epidaure sur le site du Portique .
  • Un magazine démocrate !

    Il existe, et j'ai trouvé la page où il est publié :

    http://www.democratemagazine.com/ 

    Démocrate magazine a donc publié son numéro 1. Au sommaire, on trouve un article sur le forum de Seignosse, des réflexions sur la construction d'un nouveau parti ainsi que des témoignages. Un article également du maire adjoint de Marseille qui s'oppose fermement au principe de la discrimination positive, des réflexions sur le communauté éducative autour de l'école, des remarques sur l'homoparentalité, et enfin une analyse sur les relations entre la politique et le sport d'un adhérent d'un club de moto.

    Un article sur les énergies renouvelables et une page humour viennent compléter ce tableau.

    Ce magazine n'est toutefois pas officiel et n'est donc pas le successeur de Démocratie info, le magazine de l'UDF. 

    Pour ma part, je trouve le premier numéro assez intéressant, mais il ne traite pas assez des questions d'actualités et n'amène pas assez d'apports conceptuels et historiques. Mais bon, le magazine est en devenir, et sans doute est-il possible d'y contribuer.

  • Un soir dans les Jardins d'Athéna et de la Démocratie

    L'ai-je dit aux lecteurs de ce blog ? Démocratie et Hérésie économique a son domaine sur Second Life. On peut y saluer la déesse Athéna en écoutant à satiété de la musique classique. Le lieu s'appelle les Jardins d'Athéna et de la Démocratie.

     Première vue

     Une lanterne pour éclairer le chemin des égarés :-)

     

     

     

     

     

     

     

    Seconde vue

    Prière...
    Salut à toi, ô Athéna, déesse de la raison et de la sagesse : puisses-tu guider les Démocrates sur la voie du succès.

     

     

     

     

     

     

     

    Troisième vue

     En contemplation...

     

     

     

     

     

     

     

     

    N'hésitez pas à vous y rendre, même si je n'y suis pas. Notez tout de même que tout ce que vous voyez là est l'effet de l'esprit créatif de votre serviteur et futur hôte...

  • Humour : Action discrète en action :-)

    Envie de rire ?

    Jetez un oeil sur les actions secrètes des membres Action discrète qui ont discrètement pris l'apparence de militants UMP ou PS pour tenter de conquérir les voix d'autres sensibilités politiques. Franche rigolade garantie :-)

    Cela se passait entre les deux tours des présidentielles... 

  • Le mystère n'arrête pas la pensée mais il donne encore à penser

    Je lisais tout récemment le compte-rendu d'une disputatio (controverse théologique) que faisait Pierre Albertini sur son blog, notamment, sur les rapports qui unissent ou opposent le mystère à la pensée. En effet, les religions monothéistes entrant dans la catégorie des religions révélées, elles fondent leur doctrine généralement sur le mystère, et, en ce sens, tout au long de l'histoire, ont pu paraître être en opposition à la raison, puisque par définition, la raison s'arrête là où commence le mystère.

    Pour ma part, dans le rainsonnement suivant, issu de les lectures platoniciennes et tout particulièrement de l'interprétation que le philosophe Nicoas de Cluses fait des thèses platoniciennes, j'ai tenté de dépasser la controverse :

     Le mystère est à l'origine, de toutes façons, de  la dialectique, tout du moins, la dialectique platonicienne.
    Il faut bien en effet l'admettre pour que la pensée chemine. Pourquoi ? Parce que la pensée est d'abord un aller-retour permanent entre l'identité et l'altérité. J' ai besoin de moi, c'est à dire du même, de l'identique, pour me fonder, mais, paradoxalement, je ne prends conscience de moi que grâce à l'autre parce qu'il il est différent : si l'autre n'existait pas, je n'aurais pas conscience d'être le même.
    Or, ce seul élément est en soi mystérieux : dialectiquement, le même et l'autre sont en principe inconnaissables l'un à l'autre puisqu'ils n'ont rien de commun. Mais, dans ce cas, comment peut-il s'établir une relation entre le même et l'autre ? Et si la pensée est bien un aller-retour continuel et incessant du même vers l'autre et vice-versa, comment est-elle possible si aucun point commun n'unit l'autre au même, cas dans lequel, l'essence du même participerait de l'autre, ce qui est logiquement et dialectiquement impossible, sauf à admettre que le blanc bien qu'opposé radicalement au noir, comporte du noir.

    Alors, dans ce cas, dans un contexte platonicien, sans doute revisité par la catholicisme, il est vrai, il faut bien admettre que le cheminement même de la pensée est transcendant, ce qui revient à dire qu'il est en soi un mystère.

    Et voilà pourquoi le mystère n'arrête pas la pensée, mais donne à penser.

     

    NDLR : petite précision sur ce qu'est la disputatio, au fait...

    Il faut entendre ici le terme de disputatio - traduit par 'dispute' ou encore 'discussion' - au sens le plus technique du terme. Au Moyen Âge, en effet, la disputatio est tout à la fois une méthode d'enseignement et de recherche, une technique d'examen et une forme d'exercice omniprésente dans les mours intellectuelles et universitaires des médiévaux . Liée à la définition aristotélicienne de la dialectique, elle se présente sous la forme d'un débat oral entre deux ou plusieurs interlocuteurs et se tient devant un auditoire. Un "opponens" vient présenter des objections à la thèse proposée puis un "respondens" est chargé d'opposer des contre-arguments aux objections premières, de sorte qu'il pouvait s'établir un véritable débat d'arguments par cette mise en oeuvre de la méthode du sic et non. Une fois l'ensemble des arguments épuisés, le maître tranche le débat en une solution argumentée, dite "determinatio".

     

     

  • Connaissez-vous Médor Morin ?

    Désolé, mais c'est trop tentant : trop hilarant, impossible de résister...

    Allez plutôt voir à quoi ressemble le dernier des candidats PSLE sur le blog de Sébastien Fontenelle :-)