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Bayrou - Page 79

  • Quelquefois les gens ne ressemblent pas à leur légende...

    Depuis quelques temps, c'est feu à volonté sur l'UDF et Bayrou de la part des deux camps UMP et PS.
    Les propos de  Simone Veil ou les dernières déclarations de DSK ou même de Rocard sont symptomatiques des craintes que François Bayrou génèrent chez les deux candidats que les médias ont choisis de longue date pour s'affronter :

    Tous les sondages convergent : ils seraient battus très largement aussi bien l'un que l'autre s'ils devaient affronter François Bayrou au second tour. De là, un seul objectif, lui barrer la route à tout prix. On a même renoncé, là-bas à espérer affronter Le pen (la bonne aubaine !!!), prêts désormais à se contenter du face à face qui satisfera la guerre éternelle des deux camps.

    Quant à Simone Veil,  ceux qui veulent connaître la vérité vont  la savoir. En fait Simone Veil en veut à mort à Bayrou de s'être plantée aux européennes de 1989 à 8.5% . Le problème, c'est que pas mal de personnes lui avaient garanti 15-20% et qu'elle les avait écoutées . En effet, Simone Veil, déjà, confondait popularité et potentiel électoral. Bayrou était son directeur de campagne et elle lui en veut depuis. Elle n'a jamais digéré son échec à ces européennes.  Voilà la mesquine et véritable raison de son animosité envers François Bayrou. Cela ne vole pas haut et en servant de caution morale au ministère de Sarkozy, autant dire qu'elle ne va pas sortir grandie de cette élection.

     François Bayrou, a, quand à lui, réagi avec beaucoup de dignité :

    «C'est une femme que je respecte, dont je respecte l'histoire, le chemin, la légende et quelquefois les gens ne ressemblent pas à leur légende...»

     

  • Il est réparé !

    medium_Tracteur-Bayrou.JPGRéparé ! Le vieux tracteur du père de François Bayrou, un Pony datant de 1952 rouillait misérablement dans une grange, jusqu'à ce qu'en février 2004, au détour d'une visite d'un lycée agricole de Chateaudun, François Bayrou évoque le sort du malheureux véhicule devant des étudiants. Un élu UDF local lui propose alors de le restaurer, et un agriculteur descend dans le Béarn pour ramener le vénérable engin. Des élèves du lycée agricole passent une année à le rénover, mais, il demeure le délicat et douloureux problème du moteur complètement hors d'usage et irréparable.

    Mais voilà, avec le développement de la Toile, tout se trouve ! Quelques clics, trois moteurs (de recherche) et un moteur (de tracteur) propre et net (c'est le cas de le dire) comme un sou neuf après avoir été remis en état de marche.

    Enfin, c'est un jeune peintre, Florian Froger, qui a redonné (ou donné ?) ses nouvelles (ou anciennes ?) couleurs au Pony.

    Flambant neuf, ça roule Raoul :-) Le tracteur a redémarré depuis peu !  

  • La réponse de Baudelaire à Raffarin

    Jean-Pierre Raffarin a donné dans le registre poétique en comparant François Bayrou à un « albatros qui a une très grande aile à droite et veut avoir une très grande aile à gauche, au risque de ne plus pouvoir s'envoler ».

     

    Ah oui ? Il ne peut plus s'envoler l'Albatros ? Ce n'est pas exactement l'avis de Charles Baudelaire, en tout cas. Je me contenterai de me fier à ce seul argument d'autorité qui me suffit largement, en la circonstance...

     

    L'Albatros

      Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
    Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
    Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
    Le navire glissant sur les gouffres amers.

    A peine les ont-ils déposés sur les planches,
    Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
    Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
    Comme des avirons traîner à côté d'eux.

    Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
    Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
    L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
    L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !

    Le Poète est semblable au prince des nuées
    Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
    Exilé sur le sol au milieu des huées,
    Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

  • Spartacus prend position en faveur de François Bayrou

    Nous, socialistes et Français de gauche, revendiquons hautement notre soutien à François Bayrou et aux idéaux de rassemblement et de redressement qu'il incarne. Notre détermination, déclarée dès l'automne 2006, s'est encore renforcée depuis les déclarations de candidature de Nicolas Sarkozy et de Ségolène Royal.
    Les annonces de programme des uns et des autres témoignent d'une erreur de jugement de la situation réelle de notre pays. La candidate du parti socialiste a formulé, le 11 février, 100 propositions en voulant sans doute imiter les 110 propositions de François Mitterrand. Mais la situation de la France en 2007 n'est pas la situation de la France en 1981. Notre pays est endetté et nous vivons déjà, sans nécessairement en être conscients, aux dépens de nos enfants et de nos petits-enfants : près de 1 200 milliards d'euros d'endettement de l'Etat ; 900 milliards d'euros de financement à prévoir pour les retraites ; enfin les collectivités locales elles aussi glissent peu à peu d'une situation saine vers un déficit chronique.
    Madame Royal fait des chèques en blanc. Ces cent propositions sont autant de traites tirées sur le «compte France» déjà largement à découvert. Comment seront-elles financées ? Rien n'est précisé. Rien n'est indiqué non plus sur le réaménagement pourtant indispensable de la fiscalité ou sur la question cruciale des retraites. Rien enfin sur les moyens de relancer la croissance qui, seule, permettrait de réduire chômage et déficits publics et de financer l'ensemble de son programme. Mme Royal compte donc gérer la France comme on gère une région ou un département : en augmentant les prélèvements et en créant toujours plus de charges pour la collectivité. Ou bien elle ne s'intéresse guère au chiffrage de son projet donc à son réalisme. La démission d'Eric Besson, secrétaire national du parti socialiste à l'économie, en est une démonstration éclatante. Sa seule réponse consiste à dire que la croissance de l'économie fournira le carburant nécessaire dès son élection. Comme avec une baguette magique, alors même qu'aucune de ses propositions ne prévoit un soutien à la création et au développement des entreprises. Aucune. Cet oubli témoigne d'une méconnaissance vertigineuse de l'économie de notre pays. A moins que cela ne corresponde à une méfiance systématique vis-à-vis des centaines de milliers d'artisans, de professions libérales, de responsables d'entreprises agricoles et commerciales qui sont dans l'attente de mesures simples comme celle proposée par François Bayrou avec l'exonération de charges sociales pour la création de deux emplois par entreprise.
    Que dire des propositions de Nicolas Sarkozy ? Sa prodigalité électoraliste vient d'être démentie et corrigée par ses propres amis de l'UMP qui n'en peuvent plus des promesses ciblées et sectorisées par catégories électorales avancées par le ministre-candidat.
    Sa mesure phare qui consiste à baisser de quatre points les prélèvements obligatoires par rapport au PIB représente 78 milliards d'euros à financer. L'économiste Thomas Piketty a démontré que cela correspondait à la suppression conjointe de l'impôt sur le revenu, de l'impôt sur la fortune et de l'impôt sur les sociétés. M. Sarkozy nous prépare bien une France sans foi ni loi, une France ultralibérale. Nous constatons que ce programme, Nicolas Sarkozy l'étend maintenant sur dix ans.
    Nous, socialistes et Français de gauche, croyons à la voie proposée par François Bayrou. Pourquoi ? Il a été le seul et le premier à poser les vraies questions pour l'avenir de notre pays et à apporter les bonnes réponses :
    ­ Notre dette publique nous engage vis-à-vis des générations futures. Il faut revoir le processus de la dépense publique pour plus d'efficacité et donc plus de justice. Et inscrire dans la Constitution le principe d'interdiction d'un déficit des dépenses de fonctionnement de l'Etat.
    ­ Notre Education nationale repose sur un corps d'élite. Nos enseignants, de formation initiale et continue, doivent disposer des moyens nécessaires à leur mission. Et plus que tout de notre reconnaissance.
    ­ Nos besoins collectifs de tous ordres ; santé, défense, culture, diplomatie... doivent eux aussi faire l'objet d'une protection et d'une sérénité que seul l'idéal de rassemblement de François Bayrou peut incarner dans les circonstances présentes.
    Enfin, nous, socialistes et Français de gauche, estimons que le choix incohérent et erratique du parti socialiste conduit la gauche française à son échec pour l'élection présidentielle. Inexorablement.
    Pour toutes ces raisons, et malgré notre fidélité à un parti qui a été pendant longtemps un modèle de démocratie interne, nous persistons à penser que seul François Bayrou incarne aujourd'hui l'esprit de courage, de responsabilité et de clairvoyance nécessaire pour redresser la situation de la France. Nous lui faisons confiance pour rassembler enfin les Français autour des valeurs républicaines qui nous sont chères. Pour les électeurs de gauche, le véritable vote utile pour faire barrage à Nicolas Sarkozy, c'est Bayrou. Lui seul sera en mesure de battre le candidat UMP au deuxième tour de la présidentielle.

  • Le Rap Bayrou

    On n'arrête pas le progrès :-)

     

     

  • Duhamel viré de France 2

    Voilà ce que disait Alain Duhamel de François Bayrou en cercle restreint



    Et il est viré purement et simplement des chaînes publiques pour cela. On ne peut pourtant pas dire qu'il lui fait de cadeau, même s'il reconnaît les mérites de l'homme. On a de plus en plus le sentiment qu'il y a deux poids deux mesures dans ce pays...

    Pour plus d'informations, on peut se reporter au site des jeunes UDF de Paris. 

  • Union nationale

    Selon un sondage BVA, 71 des Français se déclarent favorables à un gouvernement mêlant responsables politiques de gauche et de droite. Et 66% des Français estiment que François Bayrou, s'il est élu président de la République, essaiera réellement de former un gouvernement d'union nationale. On voit incontestablement, à la multiplication des sondages sur François Bayrou et ses idées, que le candidat UDF profite d'une certaine dynamique dans la campagne électorale, qui se traduit par un niveau jamais atteint dans les intentions de vote (environ 14%).

  • La blague favorite d'André Santini...

    « Tous les candidats que j'ai soutenus depuis 1981, au premier tour, ont perdu la présidentielle. »

  • Une chanson pour François Bayrou


    K Bayrou
    envoyé par FanofFB
     
    Apparemment, la candidature de François Bayrou fait son chemin, y compris au sein de la chanson libre... 

  • Proverbe béarnais...

    « Ce n'est pas parce que le renard se couvre de plumes qu'on va le prendre pour une poule.»

     

    Nouveau proverbe béarnais conçu et imaginé par François Bayrou, en réaction au discours de Nicolas Sarkozy s'adressant aux travailleurs...