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climat

  • Mars et la Terre se réchauffent

    Mars.jpgIl est curieux que cette information soit si peu relayée dans la presse et même sur la Toile : je l'ai découverte, pour ma part, dans le dernier Itinérant, il y a eu quelques articles sur le sujet en 2007, et puis sinon, quasiment plus rien.

    Sur la Terre comme sur Mars, il semble que la fonte des calottes glaciaires soient à l'origine du réchauffement, et, sur Mars, bien plus rapidement encore que sur la Terre, le processus s'accélère. Fautes de glaces suffisamment importantes pour le réfléchir, le rayonnement solaire serait davantage absorbé sur les deux planètes, provoquant de ce fait un réchauffement général. En plein sommet de Copenhague, ce ne serait pas inintéressant de se pencher sur le phénomène, puisqu'on incrimine les rejets industriels, la plupart du temps, pour expliquer ce phénomène.

    Habibullo Abdussamatov, le directeur de l’Observatoire Astronomique de St. Petersburg Pulkovo en Russie, estimait que ces phénomènes étaient dus à une modification dans l'activité du soleil. Eigil Friis-Christensen du Centre Spatial Danois, était à l'époque du même avis : les Danois auraient pu l'entendre, au sommet de Copenhague, son avis ne serait pas inintéressant, je pense. Et ce n'est pas tout : c'était aussi l'avis de Lauri Fenton, un chercheur qui travaille à la NASA. Il est fort étrange, notre Soleil : en principe, il connaît un cycle régulier d'explosions solaires, mais, depuis quelques temps, 4E le signale, il ne redémarre pas et fait le mort. Cela fout même la trouille à Unhuman.

    Ce ne serait pas inutile, comme le suggère le Candide sur come4news, d'étudier de près la climatologie des autres planètes du système solaire.

    Je ne rejoins pas les soupçons qui pèsent actuellement sur l'écologie et les tenants du réchauffement climatique ; en fait, je n'ai pas de certitudes sur les causes du réchauffement climatique. En revanche, au nom du principe de précaution, et, bien plus prosaïquement parce qu'ils sont désastreux pour notre santé, je suis favorable à une réduction de nos émissions et rejets industriels.

    En matière de climat, en réalité, nous ne possédons que bien peu de données. Les mesures existent depuis moins d'un demi-siècle. Il y a eu des périodes froides, d'autres moins, au cours des siècles. Nous connaissons actuellement un réchauffement, mais nous ne savons pas dans quel cycle il s'inscrit, et nous soupçonnons nos rejets industriels au minimum d'y contribuer. Voilà, je le crois, où nous en sommes.

    En revanche, nous savons que nos rejets industriels, et cela c'est établi par des études fiables, en revanche, sont néfastes pour notre santé. ET puis, bien plus simplement encore, nous allons droit vers un épuisement totale d'une part conséquente des ressources que nous utilisons...

  • Des transports européens au service du climat

    Là où c'est possible, l'investissement public doit privilégier les énergies renouvelables pour la consommation locale, la décentralisation énergétique étant très importante pour le développement des territoires. Dans le domaine du transport, pour les interconnexions régionales encore nécessaires au développement du marché intérieur, les modes de transports propres, en particulier le chemin de fer et le transport fluvial et maritime, doivent être activement développés. La fiscalité, et plus généralement, les investissements économiques doivent internaliser les coûts externes, qu'ils soient sociaux ou environnementaux. La prochaine Commission doit s'engager sur la carte des réseaux transeuropéens et mettre en oeuvre les projets prioritaires d'intérêt européen, en liaison avec le plan de relance européen.