Après la tolérance envers les violeurs, voilà le laxisme avéré avec la racaille de la pire espèce.
Souvenez-nous, il y deux ans, une affaire avait défrayé la chronique : une sympathique et honnête famille s'était rendue au Parc Astérix dans le nord de la région parisienne pour s'y détendre un après-midi. Parents et enfants attendaient tranquillement et patiemment leur tour quand de la racaille, habituée à réger en maître sur sa zone a débarqué et s'est arrogée le droit de passer devant tout le monde.
Comme la famille se plaignait, mécontente, la racaille a rappliqué après coup en bande, 20 à 30 individus et a tabassé absolument tout le monde.
Résultat des courses ? 7 condamnations seulement, et de la prison avec sursis. Prison avec sursis, ça veut dire pas de prison. De qui se moque-t-on ? Et les autres ? Même pas un jour ferme alors que j'imagine que la famille terrorisée ne risque pas de remettre les pieds là-bas.
Au passage, il y a une faute du Parc Astérix que je constate dans bien des files d'attente : des caissiers ne devraient pas accepter de servir les resquilleurs outranciers.
Il faut quoi ? Que l'on se fasse justice au pistolet-mitrailleur sur la racaille pour espérer un jour secouer la magistrature ? C'est la pire des issues, mais c'est ce qui finit par se produire quand les gens ordinaires n'en peuvent plus d'être menacés et de subir des pressions incessantes de ceux qui baignent dans une impunité ordinaire tout à fait extraordinaire.
Je note qu'aujourd'hui, une jeune fille enlevée et violée par trois hommes est parvenue à poignarder l'un d'entre eux. Je lui tire mon chapeau. J'espère que l'ordure de violeur va conserver des séquelles graves s'il a survécu. J'espère que la justice aura au moins la décence de ne pas lui faire le moindre tracas. Avec la justice de merde qui est la nôtre, on n'est jamais à l'abri d'un juge arrogant et imbécile sûr de son "bon" droit.