Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L'effet papillon appliqué aux retraites...

On sait ce qu'est l'effet papillon : un battement d'aile de papillon à Paris provoque quelques jours après une tornade à San Francisco. 

En politique, on trouve des phénomènes similaires. C'est ce que Xerbias appelle l'effet de cliquet.

Tenez, imaginez une discussion dans un café entre un communiste et un socialiste au lendemain des législatives de 1978. Ils l'ont mauvaise, nos deux gauchos ; songez donc : la gauche est majoritaire en voix, mais la droite giscardienne l'a emporté. Tout ça parce que cocos et socialos ne se sont pas entendus. 

Alors germe une lumineuse idée : un programme commun ! Et dans le dit programme, on baissera l'âge de la retraite de 65 à 60 ans. Voilà, ça, cela se déroule il y a 40 ans. Et maintenant, notre système de retraites, conçu à la Libération pour une retraite à 65 ans se casse la figure parce qu'il n'y a plus de financement suffisant pour en assurer la pérénité. Sauf que si l'âge légal de départ à la retraite était resté à 65 ans, à l'heure actuelle, il se porterait à merveille.

Commentaires

  • je ne sais pas, d'autant que ce qu'on est censé donner en retraite on ne le donne pas en chômage et cela permet de faire des cotisants... ce que je constate c'est qu'en France on a un méga problème avec la répartition en général ... c'est la gabegie...
    et j'aimerai qu'on me justifie un peu mieux la gestion des caisses

Les commentaires sont fermés.