Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ouverture

  • Bayrou, l'ouverture sarkozyste, c'est NON !

    Tiens, trouvé sur le Figaro. Non, c'est Non, un point c'est tout...

    « Sarkozy, il aime bien Medvedev parce qu'il est de la même taille que lui. Je suis sûr que ça joue... », estime François Bayrou, en relatant son dernier entretien avec Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat, qui lui a longuement parlé du président russe, voulait aussi savoir s'il n'avait pas changé d'avis sur l'ouverture. La réponse de Bayrou a été claire : c'est non.

    Au passage, il a été très écouté dimanche dernier, en compagnie de Zazie, dans l'émission 13h15 le dimanche, sur France 2...

  • Baromètre TNS soffres, une curiosité

    Assez étonnant : regardez les lignes de Bayrou, Lepage Hirsch, Kouchner, et curieusement Besson aussi, sur le tableau des popularités des personnalités politiques : elles sont toutes en blanc.

    Les autres sont roses ou bleues. Apparemment, tout ce qui s'apparente à de l'ouverture (fausse ou vraie) cela donne le tournis au service politique de la SOFFRES. Ils ne savent plus trop classer ces personnalités, je présume... 

     

  • De toutes nos forces !

    Oui, battons nous de toutes nos forces : voilà la pensée qui me traverse l'esprit au moment où je lis ce matin en page 2 cette brève de la marre aux canards du Canard Enchaîné :

     Flinguer Bayrou

     L'« ouverture»  réalisée par Sarko et Fillon - on l'aura compris - n'avait pas pour seul but de troubler les électeurs de gauche. Il s'agit aussi de « dessouder définitivement Bayrou » ainsi que l'a confié le nouveau chef d'Etat à ses proches.

    « On va le priver complètement d'espace politique », a ajouté Sarko. « Bayrou ne sait déjà plus où il habite. Tous ses députés se sont barrés et son discours sur l'ouverture ne tient plus.»

    L'objectif est donc d'empêcher l'ancien candidat UDF de constituer un groupe parlementaire et de le priver de moyens financiers et de tribune.

    Bref, le chef de l'Etat veut réussir là où Chirac et Juppé avaient échoué en 2002. C'est aussi ça, la «rupture». 

    Amis démocrates, ne nous laissons pas faire, et vous lecteurs et électeurs, ne laissez pas Nicolas Sarkozy et l'UMP confisquer la démocratie et la liberté de parole. Soutenez le Mouvement Démocrate et François Bayrou.