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crash

  • MH17 : un vol civil au beau milieu d'une zone de guerre ?

    Dans le drame terrifiant qui a abouti à la mort de tous les passagers du MH17 il y a tout de même quelque chose qui m'interpelle. Je ne comprends pas pourquoi l'appareil a emprunté un chemin qui le faisait passer au beau milieu d'une guerre civile avec des belligérants armés de missiles capables d'abattre des avions en vol. Des transports de troupes ukrainiens avaient déjà été victimes de tirs des séparatistes pro-russes il y a quelques jours ! Certes, les avions de ligne volent à 10 000 pieds, mais ce n'est pas une garantie.

    Qui a défini le plan de vol ? L'Ukraine, d'après l'Express, n'avait pas fermé à la circulation cette zone, ce que je ne comprends pas. Mais même ainsi, j'observe que très peu de compagnies aériennes avaient pris le parti de ne pas risquer un survol d'un espace déjà interdit aux vols commerciaux en zone basse. Sans surprise, et hélas, KLM-Air France, qui avait sous-traité le parcours du vol à la Malaysia Airlines n'avait pas jugé utile d'appliquer des principes de sécurité maximaux. Négligence ou coût du carburant ?

    Je ne parviens pas à exploiter flightradar pour tenter de retrouver les compagnies qui survolaient l'Ukraine avant le drame, mais je serais fort curieux de les identifier. Ce serait un travail pour Securvol, me semble-t-il. Plusieurs compagnies de catégorie A avaient pris des précaution (Asiana, Korean Air, Singapore Airlines, Finair) mais quid des autres ?

  • Airbus 330, un autre crash ?

    Je n'aime pas verser dans les théories fumeuses, mais, tout de même, je commence à trouver les déclarations contradictoires et l'absence d'informations tout à fait bizarres, à propos de l'airbus de Rio de janeiro.

    Premier élément : il paraît que les débris retrouvés ne sont pas les bons. Je suis très surpris qu'aucun média n'ait posé la question qui me vient automatiquement à l'esprit : si ce sont bien des débris d'avion, cela veut dire qu'il y a eu un autre crash ? Désolé de poser la question aussi directement, mais c'est ce qui m'est venu tout naturellement à l'esprit. Je n'imagine pas que ces débris aient soudainement réapparu à la surface par l'opération du Saint-Esprit. Il paraîtrait que ce seraient des pièces en bois et que l'huile retrouvée serait celle d'un bateau, pas du kérosène. Je n'y comprends rien : l'habitacle d'un bateau et d'un avion n'ont à ma connaissance rien à voir ! Je ne suis pas spécialiste du genre, mais tout de même !

    Second élément : Air France ne communiquerait pas d'autres éléments en sa possession. Il n'y aurait pas quatre mais douze minutes de messages automatiques envoyés. Et il semblerait que les derniers messages officiellement envoyés n'aient pas signifié nécessairement une chute libre de l'appareil. Alors, évidemment, tout ceci pourrait n'être que folles rumeurs, mais tout de même, dans la presse brésilienne, le ton monte, apparemment.

    Troisième élément, Time, un magazine britannique évoque de possibles défaillances de l'ordinateur de bord.

    S'il y a des éléments qui sont cachés, je juge inadmissible de jouer au chat et à la souris avec le deuil des familles. Ensuite, si c'est une défaillance technique qui peut avoir provoqué la chute de l'avion, il est impératif qu'elle soit étudiée de très près.

    Il paraît qu'Hervé Morin réhabilite l'hypothèse terroriste en ne l'excluant plus radicalement.

    Il faudrait cesser de dire tout et n'importe quoi et communiquer clairement sur ce drame, désormais...

  • Tempête Emma : un as de l'air évite le crash !

    Rien que de voir la vidéo, j'en ai des sueurs froides ! Quel as et quel sang-froid, ce pilote !

    C'est dans ces moments que l'on se sent tout petit, et que l'on se dit que la vie ne tient vraiment qu'à un fil. Le pilote qui conduit cet Airbus A-320 est un champion. Il fallait avoir le bon sens et le réflexe de faire redécoller l'appareil de la piste d'Hambourg pour revenir le poser quelques minutes plus tard.

    La seule chose qui m'interpelle, toutefois, c'est de savoir pourquoi cet avion a pris son envol au beau milieu d'une telle tempête par des vents de plus de 200 km/h...D'autant plus qu'il n'a pas pu être surpris par le mauvais temps puisqu'il venait de Munich.