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tempête

  • Un Nagy-Bocsa de force 9 dévaste la France !

    Je retiens l'intéressante proposition de Ruminances : Lediazec propose de nommer les tempêtes qui s'abattent sur la France avec une dénomination ad hoc :

    Toutes les femmes ne se nomment pas Xynthia, messieurs les météorologistes ! Pourquoi ne pas baptiser un coup de vent côtier du nom de « Nicolas » ? Ou faire annoncer chez Jean-Pierre Pernaut l'alerte météo suivante : « un Nagy-Bocsa de force inhabituelle s'abat sur les côtes françaises dévastant une partie de l'économie nationale » ? Avez-vous peur d'être licenciés sur le champ ?

    A vrai dire, je dois reconnaître à la décharge des météorologistes qu'ils n'y peuvent rien si le mot tempête est féminin, alors que désastre ou cataclysme sont masculins. Or, force est de reconnaître que les dispendieuses réformes et l'agitation que déploie l'omni-président s'apparentent bien plus à un désastre économique qu'à une tempête côtière. Les victimes ne s'y compteront pas par centaines ou même par milliers, mais plutôt par millions.

  • Xynthia plus forte que la tempête de 99 ?

    Plus j'écoute et lis les informations et moins je regrette d'être revenu chez moi avec un jour d'avance. J'étais sur la A13 hier soir, et le marquage au sol était par endroits entièrement recouvert par l'eau (il faut dire qu'il est souvent passablement effacé...). J'avais prévu de revenir dimanche mais je me suis ravisé avec l'alerte météo. Et comme je venais de Charente-Maritime, et que j'avais contourné la tempête sur la côte via Angoulême, puis Poitiers et Le Mans, trois jours auparavant, j'ai le sentiment d'être passé à travers de sacrés aléas climatiques.

    Plus les nouvelles tombent, plus le bilan s'alourdit. On frise la cinquantaine de morts, et certains, avec l'effet des marées, parlent de mini-tsunamis sur les côtes. Même en 99, on en n'était pas arrivé jusque là.

    Une fois encore de nombreux Français sont privés d'électricité à la suite de dégâts matériels importants. Je me dis parfois que de petites unités de production autonomes seraient certainement moins vulnérables qu'un très grand réseau de distribution. Certes, cette tempête est un épiphénomène, mais d'autres formes d'intempéries peuvent frapper notre pays...

     

  • Tempête Emma : un as de l'air évite le crash !

    Rien que de voir la vidéo, j'en ai des sueurs froides ! Quel as et quel sang-froid, ce pilote !

    C'est dans ces moments que l'on se sent tout petit, et que l'on se dit que la vie ne tient vraiment qu'à un fil. Le pilote qui conduit cet Airbus A-320 est un champion. Il fallait avoir le bon sens et le réflexe de faire redécoller l'appareil de la piste d'Hambourg pour revenir le poser quelques minutes plus tard.

    La seule chose qui m'interpelle, toutefois, c'est de savoir pourquoi cet avion a pris son envol au beau milieu d'une telle tempête par des vents de plus de 200 km/h...D'autant plus qu'il n'a pas pu être surpris par le mauvais temps puisqu'il venait de Munich.