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Les enfants de nos enfants

«Nous croyons que l’assainissement de nos finances n’est pas une option parmi d’autres. C’est une nécessité qui s’imposera à tout le monde. La garantie que nous apportons, c’est que cela sera fait de façon juste, sans favoritisme, et en assurant les principes de solidarité qui ont fait la France.
En défendant ce projet de société, nous parlons au nom d’une catégorie que l’on sacrifie : les plus jeunes des Français, les enfants, et même les enfants qui ne sont pas encore nés, ceux qui viendront au monde dans les années qui viennent. Ceux-là n’ont pas de défenseurs. La politique à courte vue, la politique au sondage, les sacrifie. Personne ne parle en leur nom. On compromet leur avenir, on hypothèque leur futur, et comme ils ne peuvent pas se faire entendre, comme ils ne manifestent pas, on ne les prend pas en compte. Nous avons choisi d’être leurs défenseurs
».

Ce n'est pas de moi, c'est de Robert Rochefort, euro-député et vice-président du MoDem. C'est lui qui anime les commissions thématiques de ce parti. Et comme il a très bien parlé, je n'ai rien à ajouter...

 

Commentaires

  • 9a va être dur, très dur...

  • Pas mieux

  • Le populisme est une "torsion", une distorsion même de la démocratie. Il tend à faire prononcer les mots aux seuls fins de conduire les foules à s'allier à celui qui les prononcent. A s'aliéner même et à quelques chimères, quelque abstraction, mais à quels desseins sinon esclavagismes primaires ?

    De quelle solidarité est-il question ici ? La dette est la continuité d'un système, quasi inhérente de la doctrine même, de la religion principale que tous doivent embrasser : avec elle, le veau d'or, prétendu sésame de "liberté". Pas de solidarité ici, juste un miroir aux alouettes !

    Les générations suivantes, qui peut en juger, elles feront bien comme elles le pourront ; prononcer ces mots, c'est déjà les élever, non pas en élévation de conscience mais en servile éducation ; de ce culte de la consommation, les privilégier, en faire déjà des esclaves futures, une provocation pour l'intelligence.

    La solidarité n'existe pas, simple mot désuet pour qui veut bien réfléchir, il faut s'en faire une idée. Un échange tout au plus, pas de partage jamais, pourquoi continuer à mentir. Populisme d'idée, rien de plus, pas de quoi s'en flatter. S'il fait froid, se couvrir. S'il fait faim, se nourrir. Les aider à grandir, tout au plus les armer à penser. La dette ne veut rien dire, usurpation d'identité.

    Seul le fait compte, pas de place au discours, faire le bien en silence, point de finance partagée. De dette comme d'emprunt, toutes richesses bonnes à jeter.

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