Mais c'est grave ! c'est pire qu'un boulet, ce type ! après avoir accouru au secours de Polanski, accusé de viol sur une jeune fille de 13 ans, j'apprends par Philippe Cohen de Marianne, qu'il s'est fait le témoin de moralité de deux violeurs à la Réunion (l'un des deux est son filleul !)
Ce n'est pas possible ! Ce mec ne peut pas rester le Ministre de la Culture de la France. Passe qu'il ait eu une mauvaise vie, mais là, ça fait vraiment trop. Merde, Démission ! Démission, bon sang, on n'en peut plus, là. Offrir un stage de réinsertion à la Villa Médicis parce qu'il s'agit de son filleul et d'un de ses amis alors qu'ils sont impliqués dans un viol collectif avec un couteau. C'est insupportable. Insupportable. En plus, comme l'observe très justement Philippe Cohen, il n' a absolument pas le droit d'impliquer un établissement d'état, la Maison Médicis, pour réinsérer deux petits salopards que je verrais bien mieux à casser des cailloux dans un bagne à Cayenne. Ça suffit, Frédéric Mitterrand, vous déshonorez la France et la fonction de ministre. Partez, nom de D...
Commentaires
Evidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur les commerce des garçons d’ici et vu quantité de films et de reportages; malgré ma méfiance à l’égard de la duplicité des médias je sais ce qu’il y a de vrai dans leurs enquêtes à sensation; l’inconscience ou l’âpreté de la plupart des familles, la misère ambiante, le maquereautage généralisé où crapahutent la pègre et les ripoux, les montagnes de dollars que cela rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages et les enchaîne, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. […]
Bizarrement, il a plus de mal à retirer son pantalon et son caleçon américain, il évite mon regard, un fond de pudeur, une ombre d’inquiétude peut-être devant mon comportement qui doit lui paraître exagéré, insolite. Ces gosses ont largement l’habitude des hommes bien qu’ils ne les aiment pas vraiment, ils considèrent leur désir avec satisfaction mais avec une sorte de persistance dans l’étonnement candide ;
Frédéric Mitterrand, « La mauvaise vie ».
http://www.liberation.fr/livres/0101595944-que-dit-la-mauvaise-vie
Glup !!! c'est quoi encore ces histoires ????
c'est dingue !!! j'hallucine !!!
Merci l'Hérétique de rectifier très vite ta position, après avoir vu et écouté la prestation de Mitterrand qui a tout fait pour faire pleurer dans les chaumières sur son sort, (il m'a rappelé Fabius lorsqu'il avait larmoillé sur son honneur bafoué dans l'affaire du sang contaminé), pas un mot sur ces victimes du proxénétisme, ni sur la condamnation de ceux comme lui qui aident à leur exploitation. Ah oui! Il attaque les autres qui font pire, mais est-il si différend des "autres"?
Je n'avais pas besoin de cette nouvelle information et de son soutien à des violeurs de la pire espèce, Polansky avec l'aide de la drogue ou à la Réunion violeurs en groupe, pour condamner son comportement. Certes il peut se repentir et comme l'a dit F. Bayrou tout acte à droit à bénéficier du pardon, mais il doit se conformer à la loi et si j'ai bien lu le billet de Maître Eolas sur le sujet, il est passible au minimum de 7 ans de tôle.
Il paraît qu'un syndicat de la police à déjà porté plainte, j'ose espérer que des organismes humanitaires vont le faire aussi. Au point ou il en est qu'il soit jugé et après il pourra, s'il peut encore se regarder dans une glace, bénéficier d'un pardon.
@ André,
Là, cela passe les bornes. On ne peut avoir un ministre de la culture qui propose un séjour touristique à la Villa Médicis à son filleul qui a commis un viol.
Je suis pâle de rage.
Qu’il soit homosexuel ne me dérange pas. Chacun trouve son petit plaisr où il peut. Qu’il aille en Thailande se payer des prostitués est sordide mais tous comptes faits pas si exceptionnel. Mai là où il nous prend pour des cons, c’est quand il affirme que ces garcons étaient de son âge “ou tout au plus cinq ans plus jeunes”. Dans son bouquin il parle de “gosse”. Et là où il me fait gerber, c’est quand il condamne le tourisme sexuel. Il se fout de nous. Son livre est lamentable. Un écrivain? C’est Guy des Cars qui se prend pour Céline.
L'indignation? quelle blague! César s'en fout et le peuple regarde César... Alors le petit vicieux du coin, on se cachera les yeux jusqu'au jour ou César, s'il y trouve intérêt, le désignera à la vindicte populaire.
Lisez ce que disent les journaux étrangers. Ici personne n'oserait l'écrire!
Ca dit tout sur le point de décadence démocratique de notre pays!
Si vous souhaitez sa demission, venez voter sur cette petition :
Et renvoyez ce lien à vos amis, postez le sur les blog, ... Pour le moment il n'y a que 640 signataires. Cela me navre que la mobilisation ne soit pas plus grande.
http://www.lapetition.be/en-ligne/oui-la-dmission-de-frdric-mitterand-5154.html
Pour le coup, je ne suis pas étonné. Evidemment, le timing est parfait pour la révélation d'un truc aussi glauque, mais ça ne me surprend pas tant que ça.
Moi, j'ai quelques questions :
- pourquoi spécifiquement Mitterrand ?
- pourquoi spécifiquement maintenant ?
- qui sera le prochain ?
Et surtout : ceux qui ne mouftent pas, qu'ont-ils à se reprocher ?
Cette république n'est plus qu'un égoût.
CPEF.
@ Axel Vincent
Sur la Thaïlande, ce n'est pas fameux. En revanche, je ne pense pas qu'il ait couché avec des mineurs. Mais des 18-25 ans, certainement. C'est assez commun, pour des jeunes de 18 ans, de parler de gosses.
C'est le reste qui me fait sortir de mes gonds.
@ Hermès
Là, César ou pas César, il doit démissionner. Ce n'est pas tolérable.
@ jl12
Je ne signerai pas cette pétition, car elle établit un lien entre l'affaire Polanski et la mauvaise vie. Pour moi, cela n'a pas grand chose à voir.
Si je demande la démission de FM ce n'est pas pour ses confessions d'il y a trois ans, mais sa propension à protéger des violeurs dans l'exercice de fonctions d'état, s'il s'agit du show bizz ou de ses proches.
Mes billets sont clairs, en l'état, et lus, je le sais, puisque parfois, les services de l'Élysée se connectent sur ce blog (je vois la trace de leur réseau avec mes compteurs).
@ h16
Je n'irais pas jusqu'à dire que la République est un égoût, mais j'attends la démission de FM avant la prochaine semaine.
Son nom n'avait-il pas été pourtant maintes fois prononcé ces jours derniers à propos de l'attribution du prestigieux prix Label de la paix, pour son intense activité en faveur de l'amitié entre les peuples et notamment en faveur du resserrement des liens entre la Thaïlande et la France ?
Sic transit gloria mundi...
Dans cette affaire " Mitterrand II" le retour, ce n'est pas tant effectivement un problème de rumeur, ou juridique et même politique, mais bien une prise de conscience de l'opinion toute entière, inspirée à la fois par l'éthique et la morale, l'héritage Républicain. Car en effet, peut-on continuer et à l'infini, dernièrement après les frasques d'autres Ministres aux impulsions elles aussi non réfrénées et toutes aussi condamnables(les affaires les plus recentes étant celles de Besson ou d'Hortefeux ou plus anciennement Kouchner), de descendre plus bas dans la déchéance et l'irrespect des valeurs. En somme, "Faites ce que nous vous ordonnons de faire, nous serons intraitables mais surtout pas ce que nous faisons"!
Après cela, comment pouvons-nous encore élever avec dignité nos enfants, après ce manque totale d'exemplarité de l'Etat et de nos gouvernants ? Quand le pouvoir est lui-même concentré dans le seul exécutif, comment ne pas se poser de question sur ce modèle Républicain que l'on veut de force nous imposer, et de s'interroger sur l'héritage moral de la société que nous laisserons demain à la génération suivante ?
Comment de plus, pourrons-nous nous octroyer le devoir suprême d'insufler à nos voisins et autres compatriotes notre démocratie par le droit, cela aujourd'hui même, par de saines réactions ou aspirations quand nos représentants se croient obliger de démontrer le contraire ?
Quand le modèle actuel de nos puissants se veut d'être américain, devons-nous alors en prendre tous les aspects ? Si tel est le cas, alors les scandales et les procès outre-atlantique nous en montrent le chemin. Après le "malaise sportif et estivale" présidentiel, courant en plein soleil d'été sans tenir compte des mesures de protection les plus élémentaires, à quand les découvertes, toujours très médiatiques et cathodiques, sur les nouvelles tendances et autres "habitudes" du 1er homme (ou de la toute aussi nouvelle première dame en France) ?
L'Etat peut-être ou doit-être progressiste mais à la condition de respecter l'éthique, sinon...c'est le chaos et le veau d'or est de nouveau célébré !
Je suis heureux d'avoir quasiment terminé d'élever mes enfants et je plains très sincèrement ceux qui en sont à la veille...
Daniel Cohn-Bendit a écrit des conneries pédophiles en 1975. Roman Polanski a commis un crime pédophile en 1977. Frédéric Mitterand, bon passons… Je ne suis impressionné par aucun des trois... Haro sur les trois…
Mais je suis encore bien moins impressionné par les gogos qui s'acharnent stérilement sur ces boucs émissaires parcheminés au lieu de démanteler les réseaux pédophiles effectifs, pégreux et hyper-actifs de notre temps. L'argent de la lutte contre la pédophilie est ici, sciemment, foutue en l'air sur des causes spectacles parfaitement creuses, des attrape-nigauds émotionnels, et rien ne se fait vraiment. J'exige qu'on fasse le vrai boulot, au lieu d'égorger des boucs émissaires inutiles et inopérants à gros tarifs. Combien d'enfants violentés en ce moment même, pendant qu'on se défoule émotionnellement et se dédouane intellectuellement sur ces crimes irréversibles et insolubles. Maudite justice-gadget malhonnête. Démagogie de vindicte. On dirait qu'il n'y a que la victime de Polanski qui comprend le bon sens dans tout ce foutoir...
Il ne faudrait pas ainsi tout sensationnaliser. Si une bonne recherche sur la pédophilie contemporaine disposait du battage de cirque médiatique actuel qu'on cultive autour de Polanski, Mitterand et consort il y aurait bien des variations dans notre compréhension de toutes ces choses. Mais les enfants violentés de ce jour ne sont pas des vedettes d'Hollywood ou des politicards en vue, hein, alors, ils peuvent bien attendre... Ils ne sont pas le vrai sujet en question, en fait. Qu'ils prennent un numéro et s'assoient dans leur petit coin... Pour le moment on se défoule, on lynche gratis.
Notons finalement que si les enfants violentés n'ont plus que Madame Le Pen pour les défendre, c'est vraiment mal embouti pour eux… D'ailleurs, de fait, elle ne les défend pas. Elle se sert d'une variation sur le thème de leur sort et de leur drame pour faire de la petite politique sale.
Paul Laurendeau
HONTEUX !
Il met dans la balance le poids de ses fonctions officielles à la Villa Médicis, c'est-à-dire, ne l'oublions pas, de fonctionnaire en mission. Et cela au mépris du devoir de réserve.
Pour Polanski, la même chose avec ses fonctions de ministre !!!!!
Il semble avoir le coeur sur la main, mais jamais pour les victimes.
Et en plus nous la joue vierge effarouchée.
Mais bon sang, comme l'écrivent certains avocats, s'ils se sent atteint dans son honneur, qu'il fasse un procès en diffamation:
http://www.john-bastardi-daumont.com/article-frederic-mitterrand---pourquoi-se-defendre-a-la-television--et-ne-pas-attaquer-en-justice---37225477.html
FREDERIC MITTERRAND N'EST PAS HORS-LA-LOI !
Comme tous les "bons citoyens" honnêtes, j'ai réagi bêtement à chaud et sans avoir tous les éléments en main au sujet de la prétendue pédophilie de notre ministre de la culture, me fiant uniquement aux assertions de Marine le Pen.
Après examen plus attentif de l'affaire et après avoir écouté les arguments des défenseurs du présumé coupable, je me suis aperçu que j'étais tombé dans le piège des apparences.
Le seul reproche que l'on peut faire à monsieur Mitterrand c'est d'avoir pratiqué le tourisme sexuel, non la pédophilie. Et encore, c'est un reproche personnel et non judiciaire.
Cessons l'hypocrisie ! Certes il est immoral de s'adonner au tourisme sexuel, pour autant ce n'est pas illégal.
Tant qu'il n'y a pas de mineurs impliqués.
Je rappelle que la loi française n'interdit nullement de pratiquer le tourisme sexuel pourvu que les prostitués ne soient pas des mineurs.
Le ministre est un citoyen comme les autres, il a le droit d'exercer sa liberté. Jusqu'à preuve du contraire, il n'a rien commis d'illégal.
Il a certes commis des choses hautement condamnables mais "seulement" sur le plan moral, non sur le plan légal.
Puisque la morale de la république et de ses défenseurs se borne aux termes de la loi, pourquoi les citoyens font-ils tant d'histoire pour si peu de choses ?
En république on peut faire tout ce qu'on veut tant que cela n'enfreint pas la loi : avorter, faire commerce de la pornographie, tuer son semblable sous uniforme, fabriquer et vendre des bombes à des belligérants, etc...
De deux choses l'une : ou bien on change les lois en les mettant en accord avec la morale, ou bien on joue le jeu de la sainte république et on la ferme !
J'insiste : du strict point de vue des lois républicaines, on n'a rien à reprocher au ministre de la culture.
Tant qu'il ne viole pas les lois, sa vie privée le regarde.
On se scandalise hypocritement des moeurs du ministre mais à côté on trouve normal d'avorter, de vendre des armes, de faire du business avec la pornographique...
Sous prétexte que c'est légal.
Avant de faire les écoeurés face aux moeurs de Frédéric Mitterrand, les honnêtes citoyens rangés -avec leur si belle morale républicaine- feraient bien de balayer devant la porte de leur conscience !
Raphaël Zacharie de IZARRA
=======
Réponse faite à un détracteur me reprochant ma prise de position :
La république nous demande d'adopter avant toute chose sa "morale". Ensuite le citoyen fait ce qu'il veux tant que cela ne sort pas du cadre des lois républicaines. C'est le principe même de la république. La morale des individus n'a rien à voir avec les lois temporelles de notre société.
Contrairement aux régimes islamiques, dans notre démocratie nous avons le droit d'être immoral, abject, immonde, criminel tant que nos actes sont en conformité avec les règles républicaines.
Par exemple vous avez parfaitement le droit de vous enrichir en faisant du commerce avec la pornographie, en fabriquant des armes et en les vendant à des belligérants. Dans ce dernier cas vous serez même choyé par l'Etat. Vous avez également le droit d'avorter. La loi le permet. Il ne vous est pas interdit d'appartenir à des sectes sataniques tant que vous restez dans les rails de la loi. La société ne peut pas non plus vous reprocher de cultiver du tabac. Or toutes ces activités et adhésions parfaitement licites n'en sont pas moins fondamentalement criminelles.
C'est cette hypocrisie que je dénonce à travers mon article.
Dans un premier temps, égaré par les fumées du discours général sans nuance j'ai éprouvé un profond dégoût envers monsieur Mitterrand que je pensais -à tort- être un libidineux pédophile. Or après examen de l'affaire il se trouve qu'il ne s'est pas rendu coupable de ce crime.
Par ailleurs j'admire le courage et la combattivité dont il fait preuve dans sa défense.
Et je ne trouve pas déplacé qu'il se montre courageux et combattif dans la mesure où il n'est pas pédophile. Un innocent a le devoir de se défendre.
Maintenant, s'il s'avère que le ministre s'est réellement rendu coupable de pédophilie, alors croyez bien que je serai le premier à le condamner et ne lui trouverai aucune circonstance atténuante. Et cette fois toute argumentation de sa part pour justifier ses actes serait indécente.
Mais au fait, ne nous éloignons-nous pas de l'essentiel dans cette affaire ?
Qu'est-ce qu'on demande avant tout à un ministre de la république ? De produire un certificat de virginité ou bien d'être tout simplement compétent dans son ministère ?
C'est dans une monarchie que l'on exige des hauts placés des preuves de moralité, pas dans un système qui se veut efficace, égalitaire, laïc.
Tant que le ministère de la culture fonctionne bien, c'est le principal et c'est tout ce qu'on demande à un ministre responsable de son ministère. Le ministre n'est qu'un serviteur de l'Etat, un employé de la république comme un autre. Pourquoi devrait-on exiger de lui un comportement plus exemplaire que les autres ?
Parce qu'il est ministre ? Un ministre est un citoyen ordinaire, en vertu du principe républicain de l'égalité de tous face à la loi.
Nous ne sommes pas dans une monarchie : théoriquement l'accession au poste de ministre de Frédéric Mitterrand n'est pas un privilège, pas un cadeau, pas une récompense.
Juste un fait.
Nous sommes en impartiale république, je le rappelle.
Raphaël Zacharie de IZARRA
+++++++
PRECISION :
S’il s’avère que le ministre est réellement coupable, je serai le premier à le condamner.
Mon avis sur cette affaire n’est pas définitif. Il évolue et se nuance avec les nouveaux arguments qui arrivent au fur et à mesure du débat. Et je me donne d’ailleurs le droit de me tromper. C’est ce qui fait l’intérêt de tout débat. Je ne suis pas entré dans ce débat pour avoir raison mais pour faire triompher la vérité, quelle qu’elle soit.
Mes positions sont susceptibles de changer selon les nouveaux éléments.
Je suis ni pro-Mitterrand ni anti-Mitterrand.
Je suis juste « pro-réflexion », à la seule recherche de la vérité.
Je n’ai aucun intérêt social ou personnel à défendre des criminels. Au contraire, j’ai tout intérêt à promouvoir la vertu.
S’il faut condamner Mitterrand pour ses actes, je le ferai sans aucun problème et avec virulence.
Mais je veux des preuves.
Raphaël Zacharie de IZARRA
raphael.de-izarra@wanadoo.fr
2, Escalier de la Grande Poterne
72000 Le Mans
02 43 80 42 98
« On n’apprend rien par la parole, mais tout par l’exemple. »
François Mitterrand (Mémoires d’Outre-Tombe ?!)
Ce n'est qu'un pauvre type, une carpette, le Zorro des dépravés...
Il y a deux justices aujourd’hui en France.
Ceux qui sont puissants sont au-dessus des lois. Tout leur est permis. Ils peuvent devenir ministres, puis rester ministres malgré tous les scandales. Ils peuvent échapper à la justice puisqu’ils font partie de la cour. Ils peuvent échapper à la justice puisqu’ils sont des proches amis de la reine.
Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Népotisme, ploutocratie, puissants au-dessus des lois, faillite financière, faillite économique, faillite sociale, faillite idéologique, et, surtout, faillite morale.
C’est une ambiance de fin de règne.
Pour changer de sujet...
LA LUNE VUE PAR DE GRANDS AUTEURS
Afin de détendre l'atmosphère je vous propose ces neuf textes sur le thème de la Lune écrits par de grands auteurs à un moment donné de leur vie. Tout le plaisir est pour moi de promouvoir une si jolie cause. Merci pour votre attention.
Raphaël Zacharie de Izarra
+++++++
1 - La pleine lune
Elle se lève sur l'horizon avec un visage pâle, des joues enflées, une tête molle. Elle monte et survole forêts, routes, villages en rapetissant, devient plus vive à mesure qu'elle s'élève. Parvenue au zénith, l'oeil pétillant, le front clair, elle crache comme une vipère sur les oiseaux de nuit qui la contemplent en rêvassant. Éblouissante, muette comme une taupe, féline dans son empyrée, elle plane au-dessus des têtes, ricaneuse.
Elle miaule dans le ciel, les spectres l'entendent. Les hérissons sont ses confidents, les hiboux ses messagers, les tombes ses miroirs. Marmoréenne, duveteuse et sépulcrale, elle étincelle d'un seul feu. C'est une flamme mourante que ravivent à chaque instant les moribonds de la Terre. Asile des trépassés, refuge des âmes envolées, l'astre est un vaisseau hanté. Des fantômes sont à la barre : elle vogue, naviguant à vue, myope, stupide.
Belle comme une morte, séduisante avec ses cheveux de sorcière, charmante avec son sourire hypocrite, amoureuse comme une pieuvre, la mélancolie est son royaume. Déesse inquiétante, fauve céleste, oiseau sidéral, caillou plein d'éclat, la Lune depuis la nuit des temps chante sa complainte à l'Éternité.
Alfred de Musset
2 - La face cachée de la Lune
Verte, sournoise, tranchante, voici la Lune qui croasse. Ses ailes d'éther sont de mauvais augure. J'aime les sourires fourbes de cette hanteuse.
Point crucial de la nuit, oeil errant de la voûte, confidente des clochers, elle accompagne mes veilles, fidèle, moqueuse, attachante. Je trouve sa face subtile, sa caresse ironique, son silence mortel. Elle passe, fécondante, prodiguant mauvais rêves et bonnes fortunes. Ses quiets rayons irradient le malheur. Elle rassure les chouettes, effraie les dormeurs.
Elle répand son miel dans l'espace, déverse son fiel sur les poètes, rend muettes les villes, fait parler les campagnes... Elle attise les rumeurs, ravive âtres et légendes, délie les mauvaises langues, fait fermer les portes et sceller les coffres.
Il m'arrive de lui parler. Mes mots pour elle sont tendres. Mais ses éclats sont durs. On la croit pâle, molle, sereine, elle est vive, sèche, tourmentée. C'est une amie sévère qui rit avec férocité, sanglote à faire rendre l'âme.
J'aime cette séductrice aux joues brillantes, au front lisse, au regard fixe. Ne vous fiez pas à ses allures candides, car la Lune en vérité est une méchante fée, une sorcière qui diffuse un parfum venimeux, suave et mystérieux sur la Terre.
Victor Hugo
3 - Au clair de l'une, à l'ombre de l'autre
Mademoiselle,
A la vue de la Lune montant dans la nue, vos traits s'imposent à moi. Toujours, je vous ai associée au disque lunaire, vous ma claustrale, vous ma mélancolique amante. Pâle apparition aux charmes muets et au visage vague, vous êtes l'appel du large : celui des profondeurs sidérales et des étoiles lointaines.
Vous êtes ma consolation poétique, une sorte de lueur au firmament qui entretient en moi le rêve. Demeurez pour toujours cette spectrale, frêle créature croisée entre poussière et azur, entre ciel et gargouilles. Votre orbite est onirique, vous l'astre au teint blême. Chaque fois que je regarde la Lune, c'est votre visage que je vois Mademoiselle, aussi doux qu'une chandelle, mystérieux comme un oiseau de nuit, hâve tel un fantôme.
Lorsque passe au-dessus mon toit la sphère étrange, qu'elle chuchote à travers ma fenêtre, qu'elle se fait compagne de mes insomnies, c'est vous que j'entends frapper au carreau, vous qui hantez ma chambre, vous qui me tenez en éveil.
La Veilleuse qui luit au zénith me rappelle la triste chartraine que vous êtes. Vous ne cessez de tourner autour de moi Mademoiselle. Et tout comme la blanche Dame au dos rond, vos grâces sont tombales. Je chante à l'infini votre beauté funèbre.
Vous avez les attraits cosmiques des sélènes créatures et des filants objets qui peuplent la voûte, hôtes célestes que je poursuis comme un Graal à ma portée.
Vous ressemblez au mystère d'en haut. Vous êtes un temple, et de ce temple s'élève une prière. Et cette prière, c'est la mienne. Et je m'adresse à vous. Et le sens de ma prière est l'amour.
Chartres est mon éden et ma douleur, ma gloire et ma misère. Et votre rivale de chair qui partage mon alcôve, ma plus chère faiblesse. Vous, vous êtes mon purgatoire, ma croix, mon linceul. Et puis ma rédemption, ma lumière, mon salut. L'une est ma conquête temporelle, l'autre ma victoire céleste. L'une à ma gauche, l'autre à ma droite. L'une est un peu ange, l'autre un peu diable. Tiraillé entre ces deux feux, je me consume.
Ma plume est une flamme et vous Mademoiselle, vous êtes un songe. Des deux follets sont nées ces lettres d'artifices.
Je vous destine ces mots. Je m'en retourne à ma Lune, à ma compagne légitime et à mes chères étoiles, ne cessant de songer à vous.
Alphonse de Lamartine
4 - Entre Terre et Lune
J'erre entre ciel et poussière dans la solitude et le silence, le regard perdu dans les étoiles, le coeur plein de mélancolie. J'allonge le pas sous une nuit éternelle, sur un rivage infini : mon pied est léger, mon coeur est lourd, et mes larmes s'évaporent comme de l'éther dans l'espace. Mon chagrin a le prix des choses inconsistantes : je pleure pour rien du tout.
Je suis affligé, inconsolable, perdu. Je n'ai plus de joie, et mon infinie tristesse est cependant ma raison de vivre. La blonde veilleuse est mon asile : je suis PIERROT LUNAIRE.
Charles Péguy
5 - La Lune
Pour vous rejoindre, depuis si longtemps que j'en avais conçu l'immortel projet, je me hâterai sans regret, ivre de vous, insoucieux du futur, confiant dans votre pâle éclat, attentif à votre regard paisible, envoûté par votre sourire triste et énigmatique.
Vous êtes une lyre éternelle accrochée à la nuit, et avant que je ne sois né vous chantiez depuis toujours avec sérénité au-dessus des nues agitées. Je n'étais pas encore en ce monde, et vous le berciez de vos soupirs lents et infinis. Dès que je vous ai vue, à l'éveil de ma jeune âme, j'ai eu l'intuition d'être né par et pour vous.
Oui, depuis ce temps mythique de mon enfance où, imprégné de votre mystère, j'allais m'évader dans votre chevelure phosphorescente, je rêve de vous. Avec votre insondable mélancolie, vous semblez régner sur mon destin. C'est vers vous que je désire monter. C'est du haut de votre sommet que je veux contempler les êtres et les choses contenus dans l'Univers.
Au jour de ma mort vous diffuserez vos caressants reflets sur mon visage éteint. Vous êtes onirique, et j'aurai l'éternité devant moi pour fouler votre sol de poussière et d'immuable écume.
Charles Baudelaire
6 - Rencontre au sommet
Ce soir je vais à la Lune.
Je marcherai à sa rencontre, l'âme flâneuse, le pas paisible. Elle sera ronde, mon coeur sera plein. L'astre étrange est mon asile, mon vertige, mon abîme. Funambule vénéneuse de la voûte, chandelle errante de la nue, j'aime sa molle course au-dessus des toits.
Tantôt pâle sourire, tantôt face de diable, son mystère s'épaissit au fil de la nuit. C'est une grande Dame qui porte robe longue. C'est aussi une traîtresse qui ricane derrière les égarés. Mieux vaut s'en faire une amie. Ce soir je cheminerai sous son voilage d'éther.
Je la contemplerai longtemps, somnambulant entre bois et sentiers, la semelle terreuse, la tête effleurant le firmament. Je lui parlerai, et le silence sera d'or.
Cette nuit sera argentée.
Vagabonde sidérale, elle disparaîtra dans la brume du matin. Et moi, frissonnant de froid, je me hâterai vers l'âtre. A l'aube je m'endormirai, les cheveux blanchis de la poussière des chemins, la tête pleine des diamants de la nuit.
Alfred de Vigny
7 - Une vision des choses
En rasant la pointe du clocher, la Lune m'apparut comme un Graal à atteindre. Ce soir-là les choses d'apparence les plus anodines dévoilaient un sens caché : je percevais l'essentiel.
En imagination je remplaçai la pierre par le feu et l'acier : l'église devint fusée. Le vaisseau désignait l'astre, prêt à s'affranchir de la pesanteur. Je vis le mastodonte s'élever dans un bain de lumière, majestueux.
Je le voyais qui parcourait les profondeurs sidérales : ma pensée vagabonde le suivait dans sa course poétique vers l'infini.
Les choses ayant pris une soudaine hauteur sous mon regard neuf, je voyais le monde avec vérité. Devant moi la pierre inerte avait déployé ses ailes. La matière sous l'éther s'était allégée.
Et je demeurai au pied de l'église à fixer la voûte étoilée, idiot.
René Barjavel
8 - Un rêve éveillé
Lors d'une promenade nocturne à cheval, une bien étrange aventure m'est arrivée.
Je filais à molle allure sous la lune, bercé par le son monotone et doux des sabots de ma monture dont l'écho résonnait avec poésie dans la campagne.
Mélancolique, je me mis à songer à l'improbable aimée qui tardait à venir. Mais bientôt assoupi par le pas alangui de l'animal, je posai la tête contre sa nuque. Le doux Morphée m'emporta bien vite, tandis que je demeurai à demi couché sur le cheval qui cheminait toujours. Et le songe prit le relais de la rêverie amoureuse... Mais la vision onirique prit corps, tournant à la féerie, et je crus voir ma belle pour de bon :
Elle marchait à mes côtés, se métamorphosant imperceptiblement en une jument superbe : ses cheveux d'or se changèrent en crinière et sa robe claire épousa ses chairs. Je la montai, aussi fier qu'ému. Aussitôt elle m'emporta dans une chevauchée impétueuse pour prendre son envol vers l'astre de nuit.
Crinière au vent et bouche écumante, elle se lança dans les airs, frénétique. Mes éperons étincelaient au clair de lune, son crin ondulait fièrement, le vent frais giflait ma face échevelée. Une joie inédite m'inonda.
Je m'étourdissais dans ce saut vertigineux, les doigts agrippés à sa crinière en bataille. Le zénith atteint, dans un long hennissement qui la fit se cabrer avec grâce sur le fond des étoiles, elle communiqua à la lune son bonheur de sillonner le firmament à mon côté, elle cavale ailée, moi baladin sidéral.
Enfin, dans un tourbillon furtif nous disparaissions vers les étoiles.
Reprenant bientôt mes esprits, je m'aperçus que je m'étais égaré durant mon bref sommeil sur le dos du cheval qui, impassible, avait continué sa marche. Et, retournant sur mes pas, je fixais la lune qui éclairait mon chemin, songeur, l'air dubitatif...
Emu.
Edgar Allan Poe
9 - Celui qui est en moi
Le son des pas du cheval dans la plaine me fait songer à chaque étoile que compte le ciel de ma longue nuit. Lorsque je foule la poussière des chemins, c'est toujours vers le firmament que se tournent mes regards.
Tous les astres du monde sont logés dans mon coeur comme autant de larmes ou d'émeraudes, selon que je suis triste ou plein de joie. Je porte en moi les chagrins les plus secrets, les plus futiles de l'univers. Mais je sème aussi les lumières les plus pures dans les coeurs. En quête d'un amour que je suis seul à concevoir, je parcours le monde depuis des siècles en infatigable rêveur, trouvant la force de durer à travers les âmes pures. Ma jeunesse est intacte, préservée par des siècles de vertu.
Mon souci n'est pas l'or, ni le temps, ni la mort qui effraie tant les hommes, mais l'amour, la beauté, la poésie. Aussi, je ne puis mourir : l'infini est mon compagnon de route. Loin de vos lois, je règne en souverain sur vos nuits, vos songes, l'imaginaire.
Parfois on me tend la main sous la Lune : je prends la forme d'un paysage, d'un feu follet, d'une chandelle. Là, j'apparais dans mon ineffable vérité.
Je poursuis ma route la tête dans les constellations à la rencontre des âmes pures.
Je suis un fou d'amour, un spectre, une flamme traversant le temps, accroché à des incarnés. Je voyage d'âme en âme. L'être dont je possède le souffle aujourd'hui est l'auteur de ces lignes que vous êtes en train de lire.
J'ai pris possession de lui et je prends la parole à travers sa plume.
Mon nom est Pierrot.
Paul Verlaine
Daniel Cohn-Bendit a écrit des conneries pédophiles en 1975. Roman Polanski a commis un crime pédophile en 1977. Frédéric Mitterand, bon passons… Je ne suis impressionné par aucun des trois... Haro sur les trois…
Mais je suis encore bien moins impressionné par les gogos qui s'acharnent stérilement sur ces boucs émissaires parcheminés au lieu de démanteler les réseaux pédophiles effectifs, pégreux et hyper-actifs de notre temps. L'argent de la lutte contre la pédophilie est ici, sciemment, foutue en l'air sur des causes spectacles parfaitement creuses, des attrape-nigauds émotionnels, et rien ne se fait vraiment. J'exige qu'on fasse le vrai boulot, au lieu d'égorger des boucs émissaires inutiles et inopérants à gros tarifs. Combien d'enfants violentés en ce moment même, pendant qu'on se défoule émotionnellement et se dédouane intellectuellement sur ces crimes irréversibles et insolubles. Maudite justice-gadget malhonnête. Démagogie de vindicte. On dirait qu'il n'y a que la victime de Polanski qui comprend le bon sens dans tout ce foutoir...
Il ne faudrait pas ainsi tout sensationnaliser. Si une bonne recherche sur la pédophilie contemporaine disposait du battage de cirque médiatique actuel qu'on cultive autour de Polanski, Mitterand et consort il y aurait bien des variations dans notre compréhension de toutes ces choses. Mais les enfants violentés de ce jour ne sont pas des vedettes d'Hollywood ou des politicards en vue, hein, alors, ils peuvent bien attendre... Ils ne sont pas le vrai sujet en question, en fait. Qu'ils prennent un numéro et s'assoient dans leur petit coin... Pour le moment on se défoule, on lynche gratis.
Notons finalement que si les enfants violentés n'ont plus que Madame Le Pen pour les défendre, c'est vraiment mal embouti pour eux… D'ailleurs, de fait, elle ne les défend pas. Elle se sert d'une variation sur le thème de leur sort et de leur drame pour faire de la petite politique sale.
Paul Laurendeau
Silence assourdissant de Monsieur Bayrou cette fois-ci.
@ Rivière
et alors ? Bayrou a eu raison sur la Mauvaise vie. Il s'agit d'un livre-aveu, de confessions, en aucun cas d'une apologie.
Il a eu donc des propos tout à fait sensés. Et accessoirement, il ne va pas non plus réagir à tous les faits divers qui émaillent la vie politique française, au moment où des choses autrement plus importantes se déroulent à l'assemblée nationale.
Ce n'est pas parce qu'un troupeau d'ânes braient qu'il faut braire en même temps.
Et puis d'ailleurs, il a réagi, finalement :
http://www.la-croix.com/afp.static/pages/091010124811.x3rsf9h8.htm
peut-être qu'il faudrait essayer de prévoir ce qu'il va se passer dans 2 jours ou 3 dans la vie de mitterrand, pour devenir pertinent... parce que là on a du mal a le suivre il enchaîne fort, jusqu'ou ira t-il....
http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/10/10/nouvelle-polemique-autour-de-frederic-mitterrand_1251994_3224.html
bon, je viens de lire les déclarations au Monde, s'il s'agit de faire des stages à la villa Médicis ... ça pousse à faire des conneries, non ??? j'aimerai bien aller y faire un stage !
Bien vu Françoise ! et pour avoir volontairement cité François Mitterrand, l'homme d'action par excellence,cela bien sûr, toutes raisons gardées ; mais aussi, et bien a contrario de son neveu, celui là précisément qui, ouvrant les yeux une cuillère d'argent dans la bouche, profite, c'est bien humain et au delà de son nom ou de ses origines, de vraisemblables déviances sexuelles et peut-être surtout un peu psychologiques, mais avant tout d'un oncle chef d'État, pour se faire un prénom littéraire.
Certes ce dernier, décoré de la Francisque et cagoulard, le fut avant de devenir résistant et de cette gauche caviardée, le chef incontestée, montrant ainsi le chemin de la Sarkozie.
Aujourd'hui, faire allégeance et à l'unisson de ses pairs, tels les Tapie, Séguéla, Attali et autres Gallo. Si le premier était en effet l'illustrisime érudit que nous connaissons, qui, ayant suscité tant de déferlements haineux et d'attaques politiques, le second n'en est qu'une bien piètre copie pour la postérité.
La France est décidément un cas d'École en l'espèce, nous en avons souvent fait allusion, n'est-ce pas Françoise...L'histoire nous en est témoin, primogéniture et passe-droits de toutes sortes, aristocratie aujourd'hui comme hier ploutocrate et bien née la démonstration est-elle bien nécessaire, je vous le demande !
Pardonnez cette digression mais ce Frédéric n'est à près tout que simple Ministre, et de la culture...alors, et en ces temps hexagonaux, somme toute bien pacifiques, il faut bien se donner quelque distraction. N'est-il pas ?
« On n’apprend rien par la parole, mais tout par l’exemple. »
François Mitterrand (Mémoires d’Outre-Tombe ?!)
Effectivement, Amexour, je pensais que ma citation -coincée entre de grandes tirades- n'avait pas été lue mais je suis contente que tu l'aies vue.
De toute manière, montrer l'exemple est valable pour chacun d'entre nous. Moi, y compris et il se peut que parfois je l'oublie...
---
Salut à tous.
Le débat est intéressant, et le sujet brulant.
Tout ce bordel sur les histoires de cul de F.M. n'est qu'un réglement de compte entre politicards hypocrites, aigris et jaloux.
Ne tombez pas dans le piège posé par la fille du néo-nazi Le Peigne. Vous risquez de la rendre sympathique en prenant le relai de sa fausse leçon de morale...
J'apprecie le commentaire juste de Paul Laurendeau du samedi, 10 octobre 2009.
Dans 2 semaines, tout le monde se focalisera sur un autre scandale, et les gosses continueront de se faire violer par les vrais pédophiles, anonymes...
---
Fredo s'exprime sur les moins de 14 ans ...
http://www.dailymotion.com/video/xassuy_f-mitterrand-face-a-ardisson_news