J'ai trouvé en substance cette petite fable dans des contes chinois que je trouve excellente :
l'Enfer, c'est une table à laquelle sont attablés des hommes ; cette table est garnie de mets aussi savoureux que somptueux. l'inconvénient, c'est que les convives doivent utiliser des baguettes pour manger, et que ces baguettes mesurent deux mètres de long. Aussi, chacun d'entre eux meurt de faim.
Le Paradis, c'est exactement la même situation, mais la différence, c'est que chaque convive utilise sa baguette pour donner à manger à celui qui se trouve en face, de l'autre côté de la table...
Pas mal, non ? On fait de cette histoire la devise du MoDem ? Est-ce que cela convient pour définir la social-économie ?
Commentaires
Pas mal en effet. Je ne crois ni à l'enfer ni au paradis, mais ce sentiment d'être tous dans un même bateau et de s'entraider pour survivre, est en fait une très belle image.
La social-économie bien pensée, pourrait être ainsi en effet.
Notions de partage et d'entraide, condition nécessaire à toute survie, j'aime!
Tiens, j'ai eu le même problème de Danièle (commentaire pas passé) su ce fil ...
Tiens, sur ce fil mes commentaires ne passent pas si je ne fais pas d'abord "apérçu"
excellent