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  • Zapatero, Dakar, Bayrou veut des excuses pour la France

    Tant sur Zapatero que sur le discours de Dakar, Bayrou a trouvé une fois de plus le mot juste...Ségolène Royal a raté  l'occasion de ne pas s'exprimer...

    «La propension d'un certain nombre de responsables politiques à se livrer quotidiennement à la repentance n'est pas la mienne», a déclaré M. Bayrou lors d'une conférence de presse de présentation de la liste MoDem pour les élections européennes en Ile-de-France.

    Estimant que «quand on présente des excuses, notamment au nom de la France, c'est qu'on est coupable», M. Bayrou a souligné que «la France n'est coupable de rien du tout dans les dérives de Nicolas Sarkozy»

    Il évoquait un discours de M. Sarkozy à Dakar et des propos qui lui ont été attribués sur le président du gouvernement espagnol José Luis Zapatero.

    «Ce n'est pas la France qui est en jeu. Ce sont les propos privés du président de la République et les propos publics dans un discours dont le moins que l'on puisse dire est qu'il est controversé. Mais il me paraît totalement inapproprié de faire des excuses au nom de la France: c'est à la France qu'il faudrait faire des excuses», a dit M. Bayrou.

  • Les cabales anti Sarkozy sont fatigantes

    Comme beaucoup de paisibles Français, j'ai entendu parler de l'affaire Zapatero : Nicolas Sarkozy, selon le journal Libération, aurait déclaré que Zapatero n'était pas un homme intelligent. Prudent dans ce genre d'affaires, j'ai attendu patiemment de disposer de suffisamment de témoignages pour reconstituer le fil de l'histoire. En réalité, ce qu'il s'est produit, c'est que Sarkozy a évoqué Zapatero pour justifier  ses propres réformes ou moquer les socialistes. Emmanuelli qui était présent, aurait critiqué entre ses dents le 1er ministre espagnol au moment où Sarkozy observait que Zapatero, tout comme lui, désirait réduire la publicité à la télévision (publique, tout du moins). Et, en parallèle, Sarkozy s'est vanté d'avoir battu des gens bien plus intelligents (sous-entendu : les Socialistes français) mais...qui avait perdu au second tour de l'élection présidentielle ou qui n'y avait purement et simplement pas été.

    Bref, Libération a sorti de son contexte des petites phrases pour leur faire dire ce qu'elles ne signifiaient pas. Quant au reste, sur les dirigeants du G20, eh bien il y en a dans tous les pays. C'est simplement qu'il y a eu quelques indiscrets, c'est tout, et qu'il n'y a pas de quoi en faire un fromage.

    En fait, la seule chose de notable, mais elle est tout à fait habituelle chez Sarkozy, c'est que comme d'habitude, il ramène tout à lui, ce qui ne devrait pas nous surprendre, nous autres Français, mais a pu laisser perplexes les journalistes étrangers.

    Enfin, ce qui m'agace, c'est qu'une nouvelle fois on s'emballe sur des c......ries. D'ailleurs, même si elles avaient un fond de vérité, elles n'auraient de toutes façons absolument aucun intérêt. Deux articles du Nouvel Observateur, ici et , se permettent de se faire une idée claire de toute l'affaire.

    J'ai au moins cette satisfaction, avec quelqu'un comme Bayrou, au MoDem, c'est que lorsqu'il critique Nicolas Sarkozy, il le fait sur des choses sérieuses, pas sur des broutilles sans conséquences (ou si peu...).