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extrémisme

  • Pauvres Musulmans, victimes de la racaille

    Quand j'y pense, je ne puis m'empêcher de plaindre les Musulmans de France. Sur le fond, le mode de vie préconisé par l'Islam est assez tranquille. La principale difficulté à laquelle est confronté l'Islam, en France, c'est sa récupération par la racaille qui essaie de se refaire une virginité à bon compte, et, ce-faisant, salit constamment cette religion au grand dam de ses pratiquants.

    Cela dit, il faut être honnête : nombre de délinquants embrassent l'Islam parce que rien d'autre ne semble pouvoir les doter d'un honneur et d'une reconnaissance sociale à laquelle ils aspirent fondamentalement.

    On sait que dans les prisons, se déclarer musulman et se montrer extérieurement très pieux protègent. En arriver là montre la faillite absolue de l'intégration à la française.

    Le Front National,  Sarkozy en son temps, abordent le problème à l'envers. Les Français de souche n'ont pas de problèmes d'identité. C'est une partie de ceux qui ont rejoint notre pays qui sont en souffrance depuis fort longtemps dans ce domaine.

    L'Islam ne devrait pas être autre chose qu'une histoire de foi, comme l'est globalement le christianisme en France. Or, il est fortement instrumentalisé et se substitue bon gré mal gré aux autres mécanismes d'assimilation.

    Je vais être direct : je ne pense guère plus de bien de l'UOIF que du FN. Mais l'un et l'autre ont choisi le légalisme et le jeu républicain pour faire valoir leurs idéaux politiques et religieux. Ce sont donc des interlocuteurs valables, quoi qu'on en pense.

    L'extrémisme religieux est finalement autant l'échec de l'Islam de France que de la République. Ni l'un ni l'autre ne parviennent à s'introduire au coeur des cités et des prisons ou encore sur Internet, là où se développent les pratiques les plus radicales. Y compris quand ils travaillent de concert, comme l'a imaginé un temps Nicolas Sarkozy.

    Il y a donc une longue réflexion à mener des deux côtés sur les remèdes qu'il convient d'apporter, même si certains me paraissent évidents à titre personnel. J'y reviendrai dans un billet futur.