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betty coton

  • Bien plus de débiles congénitaux qu'on ne l'imagine...

    Marianne2 m'a fait l'honneur de reprendre l'un de mes derniers billets sur l'affaire Betty Coton. J'y conchiais le crétinoïde paré du titre de prof qui lit des scènes de viol et de mutilations sexuelles à des enfants de 9-10 ans pour les sensibiliser à ce que fut l'esclavage.

    J'ai remarqué depuis un moment qu'il y a comme un problème de cerveau chez pas mal de commentateurs d'articles et de billets, sur la Toile. Les crétinoïdes, comme les mouches volent généralement en escadrille et s'abattent comme des mouches à m... sur une bouse de première qualité sur les fils de discussion.

    Là, j'ai touché le jackpot avec mon dernier billet. Florilège.

    "A cet âge, j'ai vu des choses plus violente tout simplement en regardant les informations. Il n'y a que vous que cela choque alors grandissez !"

    "Votre indignation est d'une niaiserie sidérante. Pourquoi masquer le réle ausx enfants gavés de virtuel violent. Et cet appel à Montesquieu pour parler du "mal fait aux Africains !"

    "Leur raconter l'esclavage en leur disant simplement que le méchant blanc a fait travailler le gentil noir équivaudrait à leur expliquer que la guerre 40, comme toutes les guerres, a malheureusement occasionné beaucoup de morts et de blessés."

    Voyons : au fond, la vraie question, c'est de déterminer s'ils sont débiles par nature ou bien si leur crétinerie est un caractère acquis au fil du temps.

    On leur parle de sensibilité de très jeunes enfants à ces débiloïdes attardés mais fanfaronnant tout de même, et leur argument c'est d'expliquer que tout va bien, Madame la Marquise, c'est normal de raconter des scènes de mutilations sexuelles à des enfants. Tout à fait normal. Le monde est violent. 

    kiçonkons. C'en est désespérant. Zarma, nique sa race,  nardem' mouk, j'espère qu'il n'y en a pas un qui est prof ou qui s'occupe d'enfants dans le tas.

  • A vouloir faire du zèle...

    L'affaire Betty Coton va faire couler de l'encre. Un crétin a voulu faire du zèle en lisant un ouvrage sur l'esclavage à des enfants de 9-10 ans (CM1). Sauf que l'ouvrage choisi comporte des scènes très violentes à caractère sexuel (viol, mutilations, tortures).

    L'instituteur s'est défendu en mettant en avant le caractère pédagogique de l'ouvrage. Il se fout de la g... de qui ? Moi, je trouve très suspect de lire des scènes de ce type devant des enfants. On peut parler d'esclavage sans parler de relations sexuelles, me semble-t-il, a fortiori en face de jeunes enfants.

    Pas le genre de type auquel j'envisagerais de confier à nouveau mes enfants ensuite.

    Cela dit, l'Éducation Nationale ferait mieux de balayer devant sa porte : l'ouvrage a été réédité sous le nom de Noir coton. Or, en faisant une petite recherche, que vois-je ? Une recommandation du comité de lecture du CRDP de Paris (Centre de Recherches Documentaires et Pédagogiques) pour un public d'élèves de 5ème et 4ème, c'est à dire 12-13 ans en moyenne. Et c'est récent, mai 2011, seulement. Compte-tenu des extraits dont j'ai pris connaissance, je verrais d'un sale oeil que le professeur d'un de mes enfants lui fasse étudier ce genre d'ouvrages en classe au collège.

    L'auteur, Corinne Albaut, évoque un âge de 13-14 ans. Trop jeune à mon sens. Je ne vois pas l'intérêt d'une description minutieuse d'une scène de viol à des enfants de cet âge, quand bien même l'ouvrage recèlerait une mine de renseignements précieux sur la traite des esclaves.

    Il y a dans l'Éducation Nationale, un goût immodéré pour le béni-oui-ouisme surtout quand il ne s'agit que d'enfoncer des portes largement ouvertes : la repentance sous toutes ses formes est à la mode, personne ne la conteste. C'est donc pédagogique de parler de l'esclavage parce que personne n'y voit d'objections. On forme ainsi des citoyens.

    Et puis avec le goût pour l'image-choc, l'évènement, on ne sait plus marquer autrement qu'en heurtant. Si telle était bien l'intention de cet instituteur, parce qu'une nouvelle fois, son choix me paraît des plus bizarres.

    N'est-ce pas pourtant pensable d'expliquer avec des mots doux et simples l'esclavage, en évoquant les cendres de Victor Hugo, de Victor Schoelcher ou encore de Montesquieu qui s'élevèrent tous contre le mal fait aux Africains ?