Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Boîte vocale pleine : effet désastreux.

Les aléas de la vie font que je suis assez souvent amené à réaliser des recrutements pour des missions de courte durée ou encore pour des temps partiels en CDI. Quand on recherche un profil intéressant il y a deux manières d'opérer : passer une annonce, ou, au contraire, chercher le profil ad hoc parmi les sites d'annonces d'emploi. La seconde solution n'est pas forcément mauvaise car elle permet de gagner un temps considérable. En effet, en passant une annonce, on s'expose à devoir gérer des centaines d'appels ou de mails. Un exercice fastidieux. Autre procédé tout bête mais efficace si on dispose des réseaux ad hoc, la recommandation.

Corollairement, dès lors que l'on présente son profil, il faut pouvoir être joignable facilement. S'il y a bien quelque chose d'exaspérant pour un recruteur/employeur, c'est de tomber sur une boîte vocale pleine. Et c'est d'autant plus agaçant que 24 heures après, elle l'est toujours. Cela donne tout de suite une image négative : on pense à quelqu'un qui manque de rigueur, qui n'est pas joignable, et cetera...

La plupart du temps, quand je tombe sur une boîte vocale pleine, je ne prends pas la peine de rappeler, sauf si la loi de l'offre et de la demande s'applique, et que, le profil que je cherche est suffisamment rare pour ne pas devoir affronter la concurrence sur le marché de l'emploi. Mais même ainsi, on peut finir par se lasser et renoncer à un recrutement.

Quand il y a pléthore de candidats, en revanche, je peux vous garantir que la moindre erreur de ce type est irrémédiable.

Commentaires

  • Autre procédé tout bête mais efficace si on dispose des réseaux ad hoc, la recommandation.

  • @assignment
    En effet, mais ce n'est pas toujours possible et encore faut-il être sûr de celui ou celle qui recommande...

  • I agree with @Assignment

Les commentaires sont fermés.