Tiens, la formule est de Bayrou, mais le concept est tout à fait sarkozyste. Voilà ce que Bayrou conclut de l'affaire Tapie-Adidas...
Ce sont les mêmes privilèges, notamment fiscaux, qui s'appliquent à Bernard Tapie et à la famille Bettencourt. Les classes moyennes sont ciblées, et les plus privilégiés sont mis à l'abri de la contribution fiscale. C'est contraire à tous les principes, à toutes les décences. Mais les solidarités de milieux sociaux, de réseaux, d'ententes, jouent à plein, sans que les citoyens en sachent rien. Jamais en France, en République, la triste réalité du "selon que vous serez puissants ou misérables" n'a eu autant de place !
Cette affaire est au minimum celle de relations dangereuses entre le monde de l'argent et le pouvoir politique. Comment ne s'en rendent-ils pas compte ? Comment ne voient-ils pas le caractère explosif de ces connivences ? Plus profondément, on y découvre la réalité de la protection accordée aux plus privilégiés. La contribuable la plus riche du pays paie, en proportion de ses revenus déclarés, officiels, moins d'impôts, proportionnellement, que quiconque d'autre dans le pays. Ce n'est plus l'impôt progressif, c'est l'impôt dégressif !
Commentaires
Il y a un dépité, qui occupe un siège sur le trottoir juste en face de l’assemblée, qui nous a fait part de son projet de loi…
Il s’agit de créer un nouveau délit : Le délit de Manipulation.
Parce que tous les passagers en ont assez de se faire mener en bateau pour des destinations qu’ils n’auraient même pas souhaité à leurs pires ennemis.
D’abord on leur dit que c’est gratuit. Pas besoin de ticket, c’est ce qu’on appelle la publicité. C’est ça le flop de la Manip.
Puis quand ils sont embarqués, on leur dit que le voyage va être amer pour leur épargner le mal de mer.
Et c’est le rôle ingrat des médias qui ne peuvent s’empêcher, à bâbord comme à tribord, de faire le jeu du capitaine qu’ils blâment ou qu’ils louent.
C’est ça le top de la manip qui leur fait dire à tous, tout et le contraire de tout.
«Arrêtez !!! » s’écrie l’une des victimes, Bayrou de Beyrouth.
« … c’en est assez… les sans couilles… J’ai saisi l’embrouille… je ne suis pas une andouille… Vous nous avez menti : en vérité, vous ne savez pas où vous allez ! »
En effet, il n’y a pas de port en Politique, aucun terme à ce genre de transport… mais un perpétuel report…
On nous a donc bien manipulé parce qu’ils savaient « qu’il était un petit navire… qui n’avait ja ja jamais navigué … »
Ce sont les derniers mots du dépité… avant de se tirer une balle dans le pied !
http://www.tueursnet.com/index.php?journal=Balle%20de%20Bayrou