Décidément, l'encre de mon dernier billet sur l'Égypte n'était pas encore sèche que de nouveaux crimes contre des femmes en Égypte venaient accréditer mes dires.
Il y a bel et bien un sacré paquet de porcs de toutes sortes en Égypte. Des policiers corrompus et vicelards d'abord, contre une journaliste américaine, puis une horde de gorets vicieux et agressifs contre une journaliste française ensuite, sur la place de la soi-disante révolution démocratique égyptienne se sont livrés à de violentes agressions sexuelles.
Les Égyptiens sont des obsédés maniaques qui en France finiraient certainement sous des verrous. Dans d'autres pays, ce serait la chaise électrique ou la décapitation. En Égypte, ce sont les victimes qui ont intérêt à ne pas parler.
Au fait, c'est la journée internationale de la lutte contre violences faites aux femmes, aujourd'hui. Ça commence fort en Égypte.
Je me souviens très bien du voyage que j'ai fait en Égypte, il y a 15 ans. On sentait le mépris et la haine sur tous les circuits touristiques où nous passions. Bien sûr, nous apportions des devises, alors comme sources de profits, nous pouvions être à ce titre respectés. Mais cela s'arrêtait là.
Les Égyptiens (je parle des hommes) méprisent les femmes, et la femme occidentale en particulier en laquelle il voit une proie facile.
Je souhaiterais une réaction diplomatique et médiatique forte de la France exigeant que les auteurs de l'agression contre notre compatriote soient recherchés, identifiés et punis avec ce que permet la rigueur de la loi égyptienne.
J'ai lu le témoignage de Lara Logan. Il y une chose qui me frappe : partout on fait semblait de croire que ces exactions sont l'oeuvre de partisans du régime. Je n'en crois rien. Je crois bien qu'il s'agit d'Égyptiens ordinaires, ce qui montre bien à quel point ce peuple est devenu vil et corrompu.