Il y a un gros battage médiatique sur la Jungle de Calais, aujourd'hui. 276 arrestations, des passeurs attrapés, ok, très bien, tout cela ne pouvait perdurer. Je n'aime pas l'argumentation de la gauche qui réplique que cela ne revient qu'à déplacer le problème et qu'il y en aura d'autres. Cet endroit était d'ailleurs dangereux, et une journaliste canadienne y avait été victime d'un viol. Inutile, donc, de marcher dans les traces de la gauche en faisant les bonnes âmes. Cette jungle-là n'est plus, très bien.
Mais il y en a une autre, qui à vrai dire, me préoccupait autrement plus que celle de Calais. Je parle de celle de Gonesse, aux alentours du lycée René Cassin. Des gamins s'y font agresser à tour de bras, certains à coups de barre de fer, sans aucune réaction des pouvoirs publics. La racaille y pavoise et se vante devant les caméras. Quand va-t-on leur envoyer des unités de police armées de matraques et de flash-ball, avec ordre de taper la racaille à vue et de la coffrer une bonne fois pour toutes ? Il n'y a qu'une solution qui fonctionne, avec ces bandes, c'est la répression sans états d'âme aucun, suivie de sanctions exemplaires et immédiates.
Alors, Nicolas Sarkozy, on l'attend toujours, le coup de kärcher, dans ces zones qui craignent où des familles apeurées doivent se terrer et osent à peine témoigner. Je le dis et je le redis, je suis un adepte de la matraque (à volonté) et du gnouf pour ceux qui le méritent, particulièrement les bandes de salopards qui se croient forts. La peur doit changer de camp, une bonne fois pour toutes.
Mais passé les mots et les grandes déclarations, ce n'est manifestement pas une priorité de l'actuel gouvernement...