Des chacals, il n'y a pas d'autres mots. Tout le monde se souvient avec quel bruit médiatique ils ont fait savoir qu'ils portaient plainte contre Jean-Luc Forget pour des propos prétendûment racistes. J'ai d'ailleurs écrit il y a peu un billet pour mettre en pièces cette accusation.
Comme par hasard, le MRAP, à deux jours du premier tour, retire sa plainte sous des prétextes fallacieux. La réalité, c'est que ce mouvement a constaté qu'il s'était planté en beauté, et ne veut pas l'admettre. Peut-être y-a-t-il même une manipulation politique, ce qui serait pire que tout.
Honte sur le MRAP pour avoir attaqué l'individu droit et clair qu'est Jean-Luc Forget. Pour mémoire, je rappelle qu'il est tête de liste aux municipales 2008 à Toulouse.
Pour info, je donne copie de son communiqué de presse à la suite de cette sale histoire :
Grâce à la presse, j’ai pu avoir communication ce vendredi 29 février de la plainte qui a été déposée à mon encontre par le MRAP, le 21 février dernier. Cette plainte vise des propos rapportés par un journaliste de MARIANNE dans son édition du 2 au 8 février 2008 : “tout le monde veut avoir son arabe ou ses arabes sur sa liste, moi compris“.
Je regrette simplement que mon entretien d’une heure avec le journaliste n’ait pas été enregistré car j’ai une seule certitude : dans l’entretien je condamnais des comportements que j’ai ressenti. Le journaliste lui-même le mentionne dans la même phrase en indiquant que je soulignais “amèrement” une telle situation, ce qui signifie combien elle me désole.
J’affirme que l’on a décidé de me faire dire ce que je ne peux pas avoir dit.
Ainsi, on vient à me reprocher ce que je condamne. Triste amalgame, tristes pratiques, pour de tristes objectifs.
Instrumentaliser à quelques jours des élections municipales, une plainte que l’on sait infondée est un comportement absolument indigne.
Tous les moyens seraient donc bons pour salir un homme et pour nuire à la démarche d’une équipe nouvelle qui doit décidément déranger.
En cette fin de campagne municipale, je n’aurai qu’un objectif : poursuivre avec cette équipe la proposition d’une nouvelle offre politique pour ma ville. Celle-ci en a bien besoin.
Passés les scrutins, il sera temps de laver mon honneur et je n’oublierai pas ceux qui, sans aucune retenue, ont décidé de me salir. Il sera alors temps d’engager les procédures. Nous ne serons plus dans la détestable instrumentalisation.