Avons-nous d'autres choix, désormais, que d'aller écraser militairement DAECH, faire la chasse aux fondamentalistes islamistes dans nos banlieues et changer nos lois pour les chasser de notre pays ou les enfermer à vie dans des prisons sécurisées ?
Les services spéciaux savaient que des attentats menaçaient notre pays, Paris en particulier. Je ne serais pas étonné d'apprendre que les kamikazes qui se sont fait exploser étaient fichés et qu'on les connaissait.
Même s'ils sont nombreux, nous devons désormais traiter avec bien moins de tolérance le radicalisme islamique. S'il faut changer nos lois pour cela, changeons-les.
Ne jetons pas pour autant la pierre à nos concitoyens musulmans : regardez ce qui se passe au Proche-Orient, au Liban, en Syrie, ce sont les premiers à payer un lourd tribut à l'extrémisme.
Nous vivons aujourd'hui en France ce que la Syrie, le Liban, la Jordanie, l'Irak, et aussi Israël, vivent tous les jours.
Le fondamentalisme islamique n'est pas l'ennemi d'une nation ou d'une religion mais du monde entier.
Commentaires
Aller écraser militairement DAECH :
il semble que ce soit plus facile à dire qu'à faire. Et accessoirement, avec quelles troupes ? Celles qui sont deja au Mali, ou celles de Centrafrique ?