Ils ont notamment déclaré dans un communiqué "leur autonomie et leur volonté d'oeuvrer au redressement de la France par la réforme de l'Etat, l'équilibre des finances publiques, la compétitivité de son économie, l'efficacité de son système éducatif, l'avènement de l'Europe politique".
Quatre sénateurs UDF seulement n'ont pas voté la motion du groupe parce qu'ils n'ont pas participé au vote. Les sénateurs UDf relèvent que les "6.800.000 suffrages obtenus par François Bayrou" au premier tour de la présidentielle témoignent d'une attente et de la vitalité de la famille politique centriste".
Ils déplorent "que les mécanismes électoraux en vigueur aient mis en évidence les limites d'une démarche indépendante et n'aient pas permis de poursuivre cette affirmation, provoquant ainsi son éclatement aux élections législatives".
Jean Arthuis a rappelé en insistant leur appartenance à l'UDF et a demandé que tous ceux qui se retrouvent "dans les valeurs de l'UDF" les rejoignent.
Au Sénat, les sénateurs centristes ne se sont donc pas divisés et demeurent "UDF-UC" (Union centriste).