Lors de l'examen du projet de loi gouvernemental renforçant les mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux, le sénateur UDF-MoDem Yves Détraigne a salué un texte qui reprenait les dispositions de la proposition de loi qu'il avait déposée en septembre dernier avec sa collègue Françoise Férat.
Il a indiqué lors de la discussion qu'il existait des chiens dangereux mais également des maîtres dangereux par leur comportement et a insisté sur la nécessité de former ceux-ci au contrôle de leur animal de compagnie.
Bien que certains points restent en suspens comme l’interdiction totale de la détention de chiens de catégorie 1 ou le problème des croisements de chiens, le sénateur centriste a souligné qu'avec ce texte, la France se doterait, au regard de ses partenaires européens, de la législation la plus complète sur la question épineuse des chiens dangereux.
Commentaires
les rottweilers sont des chiens don la plus part son gentil
je suis contre les loi car les chiens de categorie 1 2 3 ne son pas mechant je veux que se peit mot arrive au oreile des gent qui le sont contre comme la predidanciele
@ Elodie et Océane
Rares sont les animaux qui sont en soi dangereux s'ils sont bien dressés. Il n'en reste pas moins que certaines espèces sont naturellement plus agressives que d'autres : or, ce sont justement vers ces espèces que se dirigent les individus les plus agressifs et les moins aptes à dresser des animaux.
Donc, Elodie, quand vous dites que les chiens des catégories 1,2 et 3 ne sont pas méchants, vous ne cernez pas le problème : eux, peut-être, mais leurs maîtres, en revanche, sont souvent agressifs et irresponsables.
Par ailleurs, ces espèces ont été créées pour être agressives : elles n'existaient pas à l'origine, et leur maintien n'a aucune raison d'être.
En tout cas, il n'est pas question de laisser sans contrôle de telles espèces. J'appuie tout à fait l'avis exprimé par le Sénateur Détraigne, et je trouve qu'il a d'ailleurs bien recadré le débat en faisant porter le problème non sur les espèces animales, mais bien sur les maîtres.
La SPA a adopté d'ailleurs le même point de vue, en rappelant que c'était des carences des maîtres que souffraient avant tout les animaux et qu'il ne fallait aps l'oublier.