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cimetière

  • Delanoë, Marie,le cimetière et les fleurs

    Décidément à l'Hôtel de Ville, ils doivent s'emm... à l'heure actuelle. Ils pourraient pourtant réfléchir sur les errances fiscales et budgétaires de leur patron. Dernière trouvaille pour passer le temps, chercher noise à une pauvre dame qui avait pris l'habitude de fleurir des tombes dans le 17ème arrondissement.

    Au nom d'un obscur règlement à la c... qui interdit d'orner allées et tombes la mairie de Paris n'a rien trouvé de mieux que d'arracher toutes ces pauvres plantes amoureusement plantées là et entretenues depuis presque trois décennies. Il est vrai que sous son leadership, on n'aime guère les "mauvaises" herbes...

    Trop drôle la justification de Patricia Orsini, directrice adjointe des espaces verts :

    nous avons simplement remis les choses dans leur bon droit.  Avec toutes ces fleurs dans les allées, il y a des risques de chute, et les jardiniers ne peuvent plus entretenir les tombes correctement. Quand aux arbustes, nous les avons simplement taillés pour éviter que Marie se blesse.

    Il faut le lire pour le croire. Au fait, Orsini, elle s'occupait de l'action sociale et de l'enfance, jusqu'ici, qu'elle ce qu'elle fait aux espaces verts, maintenant ? Bref, on a là un bon exemple de la bureaucratie en action.

    Il existe une pétition pour soutenir Marie, disponible en ligne. On peut aussi la signer à la boutique Anis, 19 rue Houdon dans le 17ème.

    Il faudra que j'écrive le livre noir de Delanoë et de ses comparses, un de ces jours.