Des six nouveaux critères retenus par Nicolas Sarkozy, le seul qui semble digne véritablement d'intérêt, à l'évidence, c'est celui-ci :
Enfin, il conviendra que les préfets tiennent compte de la "contribution effective du ou des parents à l'entretien et à l'éducation de l'enfant depuis sa naissance", de même que de l'existence d'une "réelle volonté d'intégration de ces familles".
Cette dernière, énumère la circulaire, passe par "la scolarisation des enfants, leur maîtrise du français, le suivi éducatif, le sérieux des études et l'absence de trouble à l'ordre public".
Si l'on s'en était tenu à ce principe fondateur dès le début, on se serait épargné bien des problèmes.
Il faudrait maintenant l'annoncer haut et fort pour inciter les immigrés à accorder une très grande importance à ce point central.
Commentaires
Ton post est limpide, j'y souscris sans réserve. je doute cependant de la capacité du GVT à appliquer ce principe de bon sens...
Ton post est limpide, j'y souscris sans réserve. je doute cependant de la capacité du GVT à appliquer ce principe de bon sens...
Hélas, et pourtant, c'est par là qu'il faudrait commencer : peu importe l'origine, et même le nombre, finalement, à partir du moment où la volonté d'intégration est là.
C'est l'homme qui devrait être au centre de la politique, et quand je dis l'homme, c'est l'individu, et non l'idéologie. Malheureusement, aujourd'hui, il n'y a quasiment plus qu'à l'UDF que l'on raisonne en ces termes...