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Insolite - Page 7

  • Où doivent-ils/elles passer aux toilettes ?

    Je viens de prendre connaissance d'une vidéo assez violente, puisqu'il s'agit d'un transsexuel qui se fait agresser dans un MacDonald à Baltimore aux USA.

    Pour autant, j'ai bien observé la vidéo et réfléchi à la quesion. J'ai lu dans de nombreux commentaires qu'il s'agissait d'une agression homophobe, voire même peut-être raciste puisque la victime est blanche et les deux adolescentes qui la frappent à de nombreuses reprises, noires.

    J'ai le sentiment que ce n'est pas le problème. Soyons précis : en la circonstance, il s'agit d'un homme qui a choisi de devenir une femme. Les deux jeunes filles qui s'en prennent à cette dernière/ce dernier sont des adolescentes. Elles semblent avoir conscience qu'il s'agit d'un homme à la base. Or, je constate que l'agression se produit devant les toilettes.

    Du coup, je me suis demandé si elles n'agressent pas leur victime surtout parce qu'elles estiment que c'est un homme qui essaie de rentrer dans des toilettes pour filles.

    Sans doute s'ajoutent-ils à cela des sentiments fort peu chrétiens envers quelqu'un de différent, mais, tout de même, mon impression est que c'est bien la cause première de l'attaque.

    Pour des esprits manifestement frustes, ce peut être difficile à admettre. Mac Donald a évidemment communiqué, mais quand on voit la passivité de son personnel, on peut se poser des questions sur la qualité de son recrutement, d'autant que les McDo sont censés tous disposer d'un vigile, en principe.

    Reste celui qui a filmé : celui-là, il est clairement animé par des mobiles homophobes, et d'ailleurs, il incite les deux furies à partir avant l'arrivée de la police. Il est un peu c... car en mettant en ligne la vidéo, il a donné tous les éléments permettant de l'identitfier ainsi que les deux délinquantes.

  • Deux âmes...

    Étrange sensation (sentiment ?) que celle d'être doté de deux âmes distinctes. L'une emplie de désirs, de peur et de haine est en proie aux affres de ses propres tourments, l'autre, nourrie de sentiments et de raison essaie constamment de s'opposer aux rêves affreux de la première.

    Et constamment l'âme raisonnable est en butte aux assauts répétés de l'âme désirante et sans frein, l'affrontement incessant nourissant une culpabilité toujours plus dévorante.

    Étrange.

  • Pauvre Hulot...

    Ce pauvre Nicolas Hulot, je me faisais la réflexion qu'il allait se faire avoir, et en beauté.

    Les Verts/Europe-écologie lui demandent de se présenter aux primaires vertes. Ils l'éliminent parce qu'ils ne peuvent pas le saquer. Et ensuite, la bouche en coeur, ils vont lui demander son soutien, comme de naturel pour tous ceux qui ont participé aux primaires vertes, et il va se retrouver à soutenir un programme d'extrême-gauche et à devoir conchier son employeur pour faire plaisir à ses nouveaux "amis". Je serais lui, je me retitrerais de cette tartufferie pendant qu'il en est encore le temps, parce que là, c'est face tu gagnes et pile je perds...

  • Kadhafi, à force de se faire des ennemis...

    Je me disais, tout de même : en dehors de Chavez, toujours prêt à prendre la défense des pires dictatures de la planète, Kadhafi s'est mis tout le monde à dos.

    Il a cherché à déstabiliser les nations arabes, ses voisins africains, il a encouragé le terrorisme et tenté de concurrencer al-qaeda. Résultat des courses, personne n'a envie de l'aider.

    Il a son clan (mais pour combien de temps ?), son argent, et ses mercenaires, et c'est tout...

    L'intervention de la coalition a permis d'éclaircir le ciel et de rendre inopérants les blindés. Désormais, la voie est libre pour les insurgés, même si, à l'évidence, il faudra encore beaucoup se battre...

  • Tours triangle et péages franciliens : la chasse aux gueux est ouverte chez les Socialistes !

    On se déchaîne chez les Boboï ? Quès Acquo les Boboï ? On a retrouvé tout récemment des manuscrits inédits. Des codex, enfin plutôt des volumen. On s'est rendu compte que la Guerre des Gaules, celle-là même que Jules César écrivit il y a un peu plus de 2000 ans n'était pas tout à fait complète, en fait.

    On sait qu'à Lutèce, au temps des Gaulois, il y avait plusieurs tribus : les Parisii, les Sequanes, ça, c'était connu, mais, grâce à de toutes nouvelles recherches, on a découvert, en mettant la main sur un chapitre manquant de l'oeuvre célèbre du grand Jules, une autre tribu gauloise francilienne : les Boboï et leur chef suprême Delanopourix.

    Delanopourix qui avait voyagé du côté de Babylone (Babel, quoi) rêvait de construire des tours d'une ampleur similaire dans la bonne ville de Lutèce. A cela s'ajoutait qu'il voyait d'un mauvais oeil les tribus alto-séquanes et dionyso-séquanes, qui jouxtaient Lutèce et lui faisaient de l'ombre. Pour s'assurer la tranquillité, Delanopourix s'était associé aux Verdix et à leur chef Baupinus Detritus. Ce remuant allié pouvait être casse-pied, mais sur le fond, il servait les plans secrets de ce chef local, en lui apportant une caution nécessaire pour faire bonne figure le jour du Municipe à Lutèce, quand il s'agissait de nommer un chef pour les années qui suivaient. 

    Outre les Alto-Séquanais et les Dionyso-Séquanais, il pouvait se mêler à ces proches voisins des Sénons et des Carnutes, venus respectivement du sud-est et du sud-ouest des environs de Lutèce.

    Delanopourix supportait difficilement les effluves puantes des chariots à purin de ces peuplades lointaines. Il était difficile de leur déclarer la guerre, mais, avec ses alliés Socialii, il avait trouvé la parade : l'octroi ! Mais attention, un octroi astucieux : plutôt que de risquer  de réclamer tribut à ses propres administrés, il était autrement plus fûté de réclamer taxes, dîmes et gabelles aux gueux Sénons et Carnutes (entre autres). Chaque fois que ces derniers empruntaient les viae bâties à la sueur de leur front par les Romains qui observaient ces querelles lilitputiennes d'un oeil amusé, Epafunetax, l'édile favori de Delanopourix leur prélevait quelques menues sesterces. De sesterces en deniers, de deniers en as, et d'as en sesterces, cela finissait par faire de belles sommes ; toutefois, la source vint un jour à tarir, Sénons et Carnutes renonçant à se rendre à Lutèce.

    Delanopourix tenait à sa botte l'assemblée des édiles de Lutèce. Oh, certains faisaient bien semblant de lui mener une guerre sans merci, mais, sur les grands principes (faire payer les gueux, engager Epafunetax à s'employer autant qu'il le pouvait, construire des tours de Babel) ils se retrouvaient.

    Toutefois, un édile, de pauvre condition mais fier, Johanus Franciscus Martius de la petite tribu des Democratix, résistait encore et toujours aux boboix et à leurs alliés.

    Il avait observé que la généralisation de l'octroi pesait singulièrement sur les bourses pourtant très aplaties des Senons et des Carnutes, et que la construction de très grandes tours, comme à Babylone, contraindrait à garantir plusieurs centaines de coudées à la ronde de sécurité autour de chacune d'entre elles. Or, elles étaient censées fournir dans le sens vertical ce que Lutèce n'offrait plus dans le sens horizontal faute de place. Il y avait donc là un paradoxe fâcheux qui ne semblait pas frapper plus que cela Delanopourix et ses Boboï. A cela s'ajoutaient des coûts d'entretien et d'exploitation que Delanopourix comptaient bien faire régler d'une part à ses Boboï, mais d'autre part et surtout, aux gueux taillables et corvéables à merci. 

    Pas fou, Delanopourix, suivant en cela un exemple bien romain, s'était toutefois assuré le soutien d'une partie de la plèbe lutécienne. En effet, il versait l'annone, comme à Rome, à certains d'entre eux. Cette manne inespérée pour certains permettait une division salutaire de la plèbe ; inspiré par la pratique romaine, Delanopourix garantissait panem et circenses au bon peuple de Lutèce tout au long de l'année. Ainsi, ayant endormé les consciences et acheté les estomacs, il pouvait, par le fait du prince, mener et malmener bâtisses voies et taxes de Lutèce à sa volonté.

  • Le syndrome Galliano

    Il y a au moins un avantage dans le gigantesque open-space que génère l'addition de l'Internet et de la téléphonie mobile : les vicissitudes du star-system ne peuvent plus bénéficier de l'immunité à laquelle les individus qui le forment sont habitués.

    Galliano et ses injures (antisémites ou non) me font penser au comportement de Delarue il y a quelques mois de cela dans un avion avec une jeune femme.

    Ces gars-là se croient tout-puissants. Ils pensent que rien ne peut les atteindre et se permettent du mépris et des insultes envers les gens ordinaires que nous sommes, nous qui les faisons vivre.

    Écoutez ce pauvre type expliquer qu'il "aime Hitler", c'est édifiant. The Sun est un bon gros tabloïd populiste anglais, mais il a quelques qualités : il n'a pas nos pudeurs avec les élites, et il a balancé la vidéo qui enfonce Galliano. Il n'est pas prêt de reprendre les commandes de la maison Dior, celui-là.

    Galliano va sans doute disparaître du monde de la mode. Il restera juste bon à figurer sur un stand de fête pour skinheads ou de néo-nazis américains.

    Il aura ajouté le mensonge à l'ignominie. Dès le départ, connaissant un peu les habitudes de ce monde pourri, j'ai senti qu'il mentait. Le bar a bien essayé de le couvrir pour ne pas faire tache, mais c'est râpé, a téléphonie mobile est passée par là. 

    On se dit vraiment qu'il n'y a plus que cela pour les arrêter, ces pourris.

  • Drôlement rusée 1664...

    Très drôle de voir comment une pub pour alcool se dissimule derrière un innocent concours. Bon, il ne s'agit que d'une innocente bière.

    Regaardez bien la page de cette innocente promotion intitulée les Terrases bleues qui figure sur les bas-côtés de Facebook, et notamment la vidéo

    Deux questions : allez, un petit effort, comptez le nombre d'invités, et ensuite, observez le logo de "l'art de vivre à la française".

    Regardez bien les jolies photos, particulièrement celle-là. Ouah, les belles bières ! Oh, ça alors, c'est de la 1664, vous savez la bière qui vient de lancer une campagne "le goût à la française". On reconnaît la forme caractéristique du verre...Belles couleurs bleues, non, sur les images. Pas subliminale pour un sou, en fait la campagne...

  • Ça alors, Balzac est fashionable !

    S'il y a bien une recommandation littéraire que je puis  donner, par les temps qui courent, c'est  la lecture de la grande comédie humaine de Balzac. On se dit vraiment que la France n'a pas changé (ou si peu) en 200 ans. La comédie humaine, c'est vraiment la France des réseaux dans toute son ampleur. 

    En la circonstance, j'achève quasiment la lecture du Cabinet des Antiques. Passionnant et impitoyable pour cette aristocratie raffinée mais déliquescente qui achève son déclin, alors même que la bourgeoisie, en plaine expansion, aspire à prendre sa place.

    Mais pour le compte, c'est un mot surprenant qui a attiré mon attention : Balzac qualifie Michu, le juge suppléant de Blondet de fashionable ! Incroyable ! Moi qui pensais que c'était un mot exclusivement anglais utilisé dans les magazines tendance pour faire genre on est fashionable... Imaginez ma surprise : j'ai cru l'espace de quelques instants que c'était une faute de frappe, une coquille ou un truc dans le genre. Pas du tout. De toutes façons, le copyright de mon livre de poche (un folio) date de 1999, une époque à laquelle on n'utilisait pas encore le vocable dans le milieu de la mode et des people, à ma connaissance.

    Comme Balzac écrit que Michu était indispensable à toutes les parties de campagne, gambadait avec les jeunes personnes, courtisait les mères, dansait au bal et jouait comme un financier et qu'enfin, il s'acquittait à merveille de son rôle de magistrat fashionable, il n'y pas de doute sur le sens à donner à l'adjectif. Un individu fashionable est bien un individu élégant, qui se pique de suivre la mode. Fashionable Balzac ? Trop fort !, Chut faut pas le dire à Didier Goux, il va le virer de sa blogroll.

  • Hegel, l'incident diplomatique avec l'Inde et la Chine...

    Plus jeune, j'avais commencé la lecture des Leçons sur la philosophie de l'histoire de Hegel. J'ai laissé l'introduction en plan pendant près de 20 ans, et puis subitement, il y a quelques semaines de cela, j'ai repris le livre, qui m'avait suivi dans toutes les pérégrinations, et, 20 ans après, j'ai poursuivi ma lecture...Hegel, c'est autre chose que Hessel, il faut le dire, tout de même :-)

    L'objet de l'introduction est, pour Hegel, de présenter sa méthode, et, notamment de bien discerner les différentes manières d'aborder l'histoire.  Elle comporte également une définition extrêmement importante non pas sur la liberté elle-même, mais sur les conditions de son apparition dans l'esprit, et ses relations avec la religion. Moment très important pour le livre, puisque c'est sur ce développement et ses conclusions que Hegel s'appuie ensuite pour tirer analyses et conclusions sur le monde oriental, tout particulièrement la Chine et l'Inde. 

    Et il n'est pas tendre Hegel. Il ferait passer Zemmour pour un doux rigolo, aujourd'hui. Il serait encore de ce monde que soit il serait viré de son université, soit l'ambassadeur allemand serait rappelé de New-Dehli et de Pékin...

    Pas de relativisme culturel chez Hegel : haro sur le despotisme des empereurs de Chine, et autant sur le système des castes en Inde (toujours en vigueur, au demeurant).

    Le problème, c'est que Hegel fait procéder les moeurs du type de gouvernement de ces peuples et en tire une définition générale du caractère chinois et autant de l'indien : fourberie, abjection, absence d'humanité ;  incohérence des brahmanes qui ne marchent pas sur les fourmis mais laissent mourir d'inanition leur semblable s'il est de caste inférieure, fourberie du Chinois qui n'obéit à la loi que par conformisme social et non par objectivation de la morale. Chinois ou Indien, l'un et l'autre sont dépassés par leurs déterminations.

    Hegel démolit méthodiquement les perceptions positives et orientalisantes de ses contemporains, tentant de prouver que la sagesse présumée de l'Inde n'est qu'un leurre.

    Et la conclusion est impitoyable :

    Pour terminer comparons encore une fois dans une vue générale l'Inde et la Chine ; nous avons trouvé en Chine une intelligence tout à fait dépourvue d'imagination, une vie prosaïque dans une réalité déterminée avec fixité ; dans le monde hindou, il n'y a pour ainsi dire pas d'objet ayant de la réalité, des limites déterminées, qui ne soit pas aussitôt retourné par l'imagination en l'objet contraire à ce qu'il est pour une conscience raisonnable.

    A ses yeux, les Chinois n'honorent, en fait d'abstraction, que leur souverain, ce qui exclut toute notion de bien et de mal en soi, et les Indiens ne considèrent que la forme de leurs activités, comme autant de rituels vidés de toute substance morale. Dépassement de la forme sur le fond, dit plus prosaïquement. Seules comptent pour eux les obligations, et non la cause première des dites obligations. De ce fait, elles ne peuvent que se dérégler et dégénérer puisqu'il n'y plus d'objet moral pour leur donner une ligne directrice.

    Mon objet n'est pas de démontrer qu'Hegel a tort ou a raison ; je n'ai pris Hegel que comme un prétexte. Je me dis simplement que les temps ont bien changé.

    L'Inde aussi, d'ailleurs : Hegel eût-il imaginé que ce pays fût un jour devenu la plus grande démocratie du monde ? Quant à la Chine...Montesquieu aussi s'imaginait que les régimes politiques modelaient les moeurs des citoyens. Et pourtant, les peuples peuvent se soulever, comme le montre la Tunisie, pas forcément pour une alternative despotique.

    Aujourd'hui, tout est langue diplomatique : il est convenu que l'on ne peut prendre à partie un peuple pour l'accuser de son sort. Comme si chaque peuple, parce qu'il est peuple, devait être sacralisé. Est-ce que les Pakistanais sont victimes ou coupables de leur société islamisée et traumatisante ? Est-ce que les banlieues françaises sont sous la coupe de minorités agissantes, ou bien participent-elles par leurs ambiguités (notamment vis à vis des forces de l'ordre) à leur déliquescence générale ?

    Je me méfie, in fine d'Hegel, car sa liberté accomplie s'objective dans l'État qui prend la place de la religion : magnifique passerelle vers les totalitarismes les pires, on comprend comment nazisme et communisme ont pu piocher de la substance là-dedans.

    Mais, je refuse, comme la doxa ambiante, de dédouaner les peuples de leur responsabilité. L'Italie est comptable de Berlusconi. Le Pakistan de ses islamistes, les Iraniens de leurs mollahs, les Chiliens de Pinochet et de ses salles de torture dans les années 70,  et les Tunisiens, enfin,  de Ben Ali qu'ils ont soutenu si longtemps avant de le conspuer.

    Je crois à la responsabilité collective des peuples autant qu'à la responsabilité individuelle des individus. On peut punir un peuple. Le Japon a été puni, l'Allemagne a été punie, à l'issue de la Seconde Guerre Mondiale. Ce que je récuse, en revanche, c'est qu'un peuple ne puisse changer. De même que je crois en la perfectibilité de l'homme, de même je conçois qu'un peuple puisse s'améliorer et se racheter. Rédemption. J'aurais du appeler mon blogue le Rédempteur, tiens. Ça me plaît bien, moi le Rédempteur.

  • Squatter et sous-louer...

    Voilà un fait divers qui illustre à merveille la malhonnêteté foncière de toutes ces associations qui se réclament du droit des faibles et en profitent pour faire leur beurre mine de rien.

    24 rue de la Banque, c'est une adresse fameuse : il y avait là une association, hautement soutenue par les Verts parisiens, qui à grands renforts de cris, de glapissements et de déclarations de principe, s'était mise en tête d'occuper les lieux. Pensez-vous : il fallait en remontrer au capitalisme triomphant et à ces salauds de banquiers !

    Pas folle la guêpe, pardon, le MACAQ, c'est nom de "l'association" : elle sous-louait l'endroit aux "mal-logés", "SDF", "Sans-papiers" et autres sans quelque chose qui fait toujours bien dans les salons de la gôche parisienne. Ah, au fait, dans les mal-logés en question, il y avait une société de production audio-visuelle. Cool pour régler les salariés de l'association, ces sympathiques bénévoles luttant contre les exploiteurs du peuple. Amusante la réaction de Boutrault, le maire vert du 2ème arrondissement :

    On a fait preuve de tolérance à l'égard de Macaq pour qu'elle gère l'immeuble de façon responsable. On s'est trompés.

    Il est comique, le khmer vert local : responsable qu'il dit...Ah, oui, une occupation illégale, c'est responsable, évidemment. Les édiles locaux sont censés être des garants du droit. Mais bon, chez les Khmers verts, on n'a de cesse que de rêver d'un grand soir vert qui se fait encore attendre.

    Sic transit Viridis infamia Mundi...