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Education - Page 6

  • Impossible de ne pas soutenir Wikipedia

    Je viens de faire mon don annuel à wikipedia. A vrai dire, cette encyclopédie en ligne est une bénédiction quotidienne. En termes de connaissance, c'est très certainement l'un des plus grands projets de toute l'histoire de l'humanité. Au niveau de la Grande Bibliothèque d'Alexandrie ou encore de l'Encyclopédie imaginée par d'Alembert. Une somme de science et de savoirs généreusement mise à disposition par des auteurs anonymes généralement experts dans leur domaine.

    Je pense sincèrement que c'est ce qu'Internet a produit de plus accompli, de plus grandiose depuis son émergence.

    Et j'avoue sincèrement être surpris car jamais je n'aurais imaginé qu'un tel projet aboutisse. Je me demande d'ailleurs tous les jours comment il tient. Fluctuat nec mergitur. Impressionnant.

  • Peillon et ses 43 000 postes font rire...

    Peillon demeure décidément impayable : qui espère-t-il convaincre avec ses promesses d'allongement du temps de travail pour recruter de nouveaux enseignants ?

    En dépit de la crise, qui va être assez bête pour consacrer 5 années d'études avec pour but de pratiquer un métier déconsidéré ? Plus grand monde, évidemment.

    Il y aurait un moyen simple de regonfler les effectifs, mais Peillon n'aura pas l'audace de s'y résoudre : la pompeuse masterisation est depuis sa mise en place la poudre aux yeux qui a fichu le feu à l'Éducation Nationale.

    Bac+3, c'était largement suffisant pour des enseignants de primaire et de collège. Avec l'année de stage et le concours, cela faisait un bac+5 au final, au demeurant.

    Les pédagogos européanistes béats de tout poil, que l'on trouve aussi bien à gauche qu'à droite, ont voulu bêler en choeur une fois de plus, mais cette fois, ces cons ont cassé la machine avec leur masterisartion à la noix.

    Bref, Vincent Peillon, si vous voulez vraiment recruter des enseignants, revenez à bac+3. Cela coule de source, mais vous ne le ferez pas, parce qu'au fond, vous êtes un pédagogo vous aussi.

  • Un espoir pour les autistes ?

    Je ne puis que féliciter les parlementaires à l'origine d'une proposition de résolution sans précédent sur le traitement de l'autisme en France. Il s'agit d'en finir avec les prises en charge psychanalytiques et de développer à la place les thérapies comportementales.

    Je me souviens d'avoir un jour discuté avec une pédopsychiatre parisienne à la compétence reconnue à propos des troubles de la communication chez les jeunes enfants et elle m'avait simplement dit la chose suivante :

    Un enfant sujet à des troubles de la communication est un enfant qui n'apprend pas spontanément les codes sociaux qui la permettent. S'il ne les intègre pas par imprégnation il faut les lui apprendre. 

    Et elle m'avait dit cela sur un ton très tranquille, comme une chose allant de soi.

    Ainsi, tout ce qui touche à l'habileté sociale, la pragmatique en orthophonie (prise en compte des consignes, des messages d'émetteurs) paraît particulièrement indiqué pour de tels enfants.

    Les thérapies comportementales vont à l'évidence dans le même sens. Si l'enfant ne peut acquérir lui-même les principes de la communication, on les lui apprendra.

    Au fond, c'est une réflexion globale à mener et pas seulement sur l'autisme : sur la sphère autistique et sur tous les troubles envahissants du développement en règle générale.

    J'imagine évidemment la satisfaction de mon amie Isabelle qui se bat de longue haleine pour promouvoir ces thérapies de bon sens.

  • Le système Descoings mis à jour

    Je vois avec satisfaction que le système Descoings que je n'ai eu de cesse de dénoncer est enfin mis à jour à l'IEP. J'avais démontré ici même que les frais de scolarité devenaient exorbitants pour les gens du commun tandis que Descoings et toute sa clique se donnaient bonne conscience ou plutôt jetaient de la poudre aux yeux en allant recruter des indigènes des cités.

    On sait maintenant que toute cette esbrouffe, tout ce rêve d'high-school à la française n'avait pour objet que d'assurer les rémunérations les plus folles à un quarteron d'intervenants nantis et copains comme cochons avec Descoings.

    Je n'ai jamais pu encadrer Descoings. Je me suis tu à sa mort par respect pour sa famille, mais il ne faut pas non plus pousser mémère dans les orties. 

    Je crois avoir suffisamment dénoncé ici son arrogance crasse de bourgeois mondialiste pressé de dézinguer tout ce qui pouvait rappeler l'exception culturelle française pour avoir aujourd'hui la moindre retenue pour dénoncer son oeuvre.

    Descoings a incarné tout ce que je déteste au sein d'une certaine bourgeoisie qui se veut internationale. J'espère que Science-po saura retrouver un autre visager que celui qu'il lui avait donné.

  • La farce faite aux dindons

    Difficile de se retenir de soupire d'aise tout en ricanant : souvenez-vous, profs, je vous ai avertis de longue date des intentions de la gauche à commencer par Peillon à votre propos.

    Peillon a toujours fait comprendre entre les lignes (parfois il l'a dit clairement) que a) les enseignants ne travaillaient pas pour de l'argent b) il allait augmenter leur temps de travail.

    Chose promise, chose dûe. Les enseignants sont les dindons de la farce. Concrètement, la demi-journée d'école en plus (que je juge particulièrement calamiteuse pour les enfants), ça va être 100% pour leur pomme puisque Peillon veut faire faire une demi-heure de devoirs après la fin des cours.

    Concrètement les enfants continueront de quitter l'école à 16h30 et les enseignants verront leur charge de travail alourdie sans aucune compensation. Tout cela pour une efficacité nulle et pour des frais significatifs en plus pour toutes les communes rurales. Je ne parle évidemment pas du tissu associatif qui va morfler sévèrement avec la perte du mercredi matin pour les activités extra-scolaires.

    Bref, Peillon fait le Grand Chelem avec sa réforme des rythmes scolaires. Pensez-donc : le très pédagogiquement correct Café Pédagogique s'est même emparé du sujet...

  • Hollande et l'Éducation : du flan.

    J'ai retenu du discours de Hollande le vide sidéral ou presque. Les seules mesures qu'il voudrait emblématiques sont les pires à mes yeux, même si je note qu'il s'est enfin résolu à ne pas toucher aux vacances scolaires. Contraindre des enfants à revenir chaque mercredi est un chronobioloconnerie qui aura des conséquences lourdes. Les enfants sont fatigués, ils ont besoin de se reposer un jour au milieu de la semaine. On aurait pu admettre qu'ils travaillent un samedi sur deux et que les enseignants puissent recevoir les parents le samedi suivant, cela aurait été censé, mais bien évidemment, ce n'est pas une mesure que Hollande a prise.

    Hollande a annoncé la fin des redoublements. Je tends à penser moi aussi qu'ils ne servent pas à grand chose. Le problème, c'est qu'on fait quoi, maintenant, à la place ? Envoyer dans les classes supérieures des enfants qui ne sont pas à niveau est une solution encore pire. Or, je n'ai pas entendu Hollande exposer ne serait-ce que le début d'un dispositif pour remettre à niveau ces enfants en difficulté.

    En fait, dans la sphère politique, la seule personnalité à avoir sérieusement abordé le problème ces dernières années et à avoir proposé une issue tenable, c'est Bayrou avec son système de classes parallèles et avec l'idée générale de pouvoir personnaliser les parcours. On dit que Hollande fait du Bayrou : pas en éducation, en tout cas.

    Je retire au fon du discours de Hollande une sensation de grand flou. Il va embaucher, mais pour quoi faire ? Bref, le plan socialiste se résume aux cours de morale à l'école (une bêtise inutile et chronophage) et à la remise en cause partielle de la notation.

    Rien de neuf et certainement pas de quoi faire sortir notre système éducatif de l'ornière...Maigre consolation, à l'UMP, les propositions sont encore pires. De deux maux, toujours choisir le moindre...

  • Ardoise Bic : de nouveaux horizons ?

    J'ai appris que Bic lançait une tablette pour les écoliers. La nouvelle en soi me fait plaisir, car il s'agit d'une tablette 100% made in France. Réalisée à Dijon, les amis !

    En soi, la tablette, à l'école, ce n'est pas une mauvaise idée ; non, ce qui est calamiteux, ce sont les usages que les experts ès pédagogie en proposent.

    Quel devrait être l'intérêt principal d'une tablette ? Très simple. De limiter le poids des manuels et d'une partie de l'équipement, de faciliter le transfert de documents de l'élève au maître et du maître à l'élève, productions des dits élèves comprises.

    Pour le reste, elle devrait pouvoir se comporter comme un cahier afin que l'on puisse y répliquer les gestes ordinaires qui séquencent le quotidien de l'écolier : continuer à tracer des traits avec des règles, des équerres, réaliser des cercles avec des compas, et cetera.

    Bref, ne rien changer de ce qui unit l'intelligence et la main. Surtout, ne pas regorger de menus compliqués propres à égarer l'esprit de jeunes enfants et de logiciels aussi complexes qu'inutiles.

    J'ai lu que la tablette était reliée à un serveur. Malheureux ! Surtout pas. Si le serveur se ramasse, plus aucune tablette n'est opérante !

    Cela dit, j'ai jeté un oeil sur les vidéos de présentation et la solution éducative de Bic a l'air très astucieuse. L'enseignant peut importer en un tour de main tout le contenu des tablettes des enfants sur un clef USB. Pratique et pas lourd pour corriger chez lui. 

    Il peut aussi observer de son ordinateur portable chaque tablette. A condition que l'ergonomie du logiciel d'observation soit simple et pratique, cela peut vite devenir un gros avantage en classe.

    Enfin, on voit que Bic a fait de l'écriture à la main la pierre angulaire de sa solution logicielle. Bon poitn pour eux.

    J'en entends qui comparent le coût de l'ardoise numérique de Bic et celui de tablettes moins coûteuses. Comparaison inepte. Une tablette n'est pas conçue pour écrire. L'ardoise de Bic, avec son stylet numérique, si.

    In fine, plus que les outils, ce sont les usages qui comptent. L'initiative de Bic est une bonne idée. Attendons de voir ce que cela va donner dans la pratique.

  • Hollande et Ayrault ? A rebours des sondages...

    Je crois que je fais jamais les choses comme tout le monde. Le dernier sondage IFOP fait état d'une chute sans précédent des cotes du couple exécutif. Hollande a perdu 20 points dans l'opinion en 3 mois et Ayrault 15.

    Pour ma part, je suis passé de la catégorie "mécontent" à "plutôt satisfait". Je m'attendais à du socialisme et de l'idéologie de gauche pure de dure et, au final, je crois l'avoir déjà dit, c'est un gouvernement social-démocrate qui s'est installé en mai dernier.

    Compte-tenu du contexte difficile, toutefois, je pense que la gauche devrait se garder d'agiter le chiffon rouge : le vote des étrangers, par exemple. 

    Pour ma part, le seul vote des étrangers qui est acceptable, c'est celui qui est réciproque, et pour autant que l'on en reste à des élections municipales. Je rejette fermement toute autre solution, même si au fond, la mesure, une fois appliquée, ne concernerait que quelques milliers de personnes seulement.

    Le PS n'a pas intérêt à insister sur ce point et on peut espérer que le projet sera assez vite abandonné.

    Au fond, ce sont les reniements du candidat Hollande qui finissent par me rendre son action sympathique. 

    Le plus drôle, c'est évidemment l'éducation : Peillon a affirmé embaucher 40 000 enseignants à la rentrée prochaine. Trop drôle : en fait, il y en a 22 000 qui partent à la retraite, ce qui ne fait plus que 18 000. Le problème, c'est que les concours de recrutement se sont effondrés : personne ne veut consacrer 5 années d'études pour exercer un métier en voie de dévalorisation rapide, aux conditions dégradées et au salaire peu en rapport avec les efforts consentis.

    Si ce ministre avait pour un sou de bon sens il devrait commencer par revenir immédiatement sur la masterisation. Quel mot idiot, d'ailleurs, tout droit venu de la doxa européïste qui chercher à aligner tous les systèmes éducatifs. Bref, il faut revenir d'urgence à bac+3 pour espérer décongestionner le recrutement. Je ne suis pas sûr que cela suffise : dans l'ancien système, il fallait une licence, préparer une année le concours puis faire une année de stage pour devenir titulaire, soit...bac+5 au final ! S'il faut six années pour devenir médecin généraliste (on en manque d'ailleurs de plus en plus et le résultat des courses c'est que l'on va finir par se retrouver avec des praticiens roumains aux diplômes incertains en guise de toubibs...) quel est l'intérêt d'étudier 5 années pour devenir prof ? Comparons les salaires, c'est tout vu. Je me demande ce que cet incapable de Châtel aurait d'ailleurs fait si Sarkozy était resté au pouvoir face à une situation qui aurait été davantage dégradée encore...

    Côté justice on va voir comment les juges vont interpréter les déclarations laxistes de Taubira, mais je crains le pire. Le Syndicat de la Magistrature va pouvoir continuer à condamner lourdement les petits excès de vitesse et libérer les mineurs violeurs récidivistes au nom des grandes politiques généreuses de "réinsertion". Vivement qu'on puisse coller un procès aux juges pour leur décision : cela deviendrait drôle bien que juste.

    Côté économie, j'ai une proposition : renommons l'actuel Ministre de l'Économie et des finances Ministre des impôts. Je n'entends jamais Moscovici parler d'autre chose que d'impôts nouveaux... En fait, le seul cap qui est fixé, mais je l'agrée, c'est la réduction du déficit budgétaire. Pour le reste, contrairement à ce qu'affirme Mosco, le gouvernement cherche son chemin.

    Les autres ministres sont quasiment transparents sauf lorsqu'ils font des bourdes, spécialité de Duflot. Je propose d'ailleurs de supprimer le Ministère du Logement qui ne sert à rien et n'a jamais servi à rien. Ce sera toujours cela d'économisé. Malheureusement, aujourd'hui, nous n'avons plus le choix qu'entre l'étalement urbain et la concentration urbaine. Sans révolution dans l'organisation du travail, je ne vois pas comment les gens peuvent faire autre chose que d'affluer vers les grandes villes.

    S'il existait des transports ultra-rapides qui reliaient toutes les grandes et moyennes villes en France, avec des transports en commun non moins rapides au sein de chacune, maillant parfaitement leur territoire, on pourrait peut-être envisager un sérieux relâchement de la pression immobilière car les travailleurs pourraient passer très facilement d'une ville à une autre. On est loin du compte et c'est une politique de très longue haleine (au moins une décennie voire deux).

    Voilà, la représentation que je me faisais du gouvernement socialiste s'est améliorée par rapport au mois de juin dernier, mais cela ne m'empêche pas de conserver un oil critique...

  • Décrochage scolaire ? Tu ferais mieux de lire Bayrou, camarade Peillon !

    Allez, c'est reparti pour un nouveau concert d'incantations et de mantras à l'Éducation Nationale. Peillon appelle la communauté éducative à se mobiliser contre le décrochage scolaire. Archétype de la formule complètement creuse qui ne mange pas de pain. 

    On a le droit à la traditionnelle antienne sur le primaire. Concrètement, il fait quoi Docteur Peillon ? Parce que Mister Vincent  voudrait bien améliorer le lien entre le monde professionnel et l'élève décrocheur, mais le problème, c'est que Docteur Peillon, lui s'empresse de fermer les classes de préparation à l'apprentissage dans les collèges. 

    Cela dit, pour lutter contre l'échec scolaire Bayrou avait fait une proposition fûtée : créer des classes passerelles pour remettre à niveau les élèves en difficulté. Et si on commençait par cela ?

    De manière générale si on veut vraiment lutter contre l'échec scolaire il faut détecter dès le CP et peut-être même avant les enfants en difficulté et les prendre en charge quitte à individualiser leur instruction pour qu'ils parviennent à intégrer le groupe-classe sans trop de "douleur". Évidemment, cela peut coûter cher mais si l'on évite le redoublement et le décrochage ensuite, cela vaut peut-être le coup. Peut-être faut-il envisager un instituteur à disposition sur longue durée d'élèves en difficulté et, puisque Hollande songeait à d'autres postes que ceux d'enseignant, des psychologues et des orthophonistes en milieu scolaire. 

    On pourrait également imaginer des pratiques novatrices en prévoyant pour des orthophonistes et psychologues spécialisés dans l'enfance la possibilité d'exercer en semi-libéral dans les écoles (avec, pourquoi pas, un bureau et du matériel) pour les débutants, par exemple.

    Dans tous les cas de figure il serait temps de proposer un projet, et, chiffré de préférence que l'on sache ce que l'on peut faire ou non. Bref, de l'action, Mister Vincent, parce que la parlotte...

    Il paraît que Bayrou trouve du mérite à Mister Vincent ; ah ? Moi, je ne dois pas avoir de chance, je n'entends que Docteur Peillon.

  • La morale, elle commence dans les cours d'école...

    Après Châtel, Peillon : le retour de la morale à l'époque. En fait, plus on en discourt dans l'école, moins elle s'y applique. Sur le fond, j'agrée évidemment ce que dit Peillon sur la morale, mais sur la forme, c'est du pipeau, comme d'habitude, une spécialité socialiste.

    Plutôt que d'absoudre sa mauvaise conscience de gauche en assommant les enfants et les jeunes de discours aussi lénifiants et ennuyeux qu'inefficients mieux vaut, et de loin, engager le nombre d'assistants d'éducation suffisant pour assurer la protection des enfants victimes ou maltraités et prendre des dispositions pour qu'ils soient pris au sérieux par l'institution.

    Cela suppose aussi de punir avec énergie les écoliers ou collégiens auteurs de maltraitances sur leurs congénères. 

    En fait de morale, rien ne vaut la morale appliquée. Quand l'école montre qu'elle ne laisse pas tomber ceux qu'elle est censée accueillir, elle fait oeuvre morale. Bien plus qu'en faisant des leçons de morale.

    Quant aux enseignants, ils ont évidemment le plus grand intérêt à se montrer exemplaires si eux-mêmes veulent être crédibles. Cela suppose d'accueillir les enfants différents (handicapés, par exemple) sans rechigner ni gémir et de dénoncer en classe, devant les élèves, les comportements qu'ils ne tolèrent pas quand les élèves sont entre eux. Dans ce dernier cas, il va de soi que les administrations des établissements scolaires et plus en amont, inspections et rectorats soutiennent pleinement les enseignants dans cette détermination.

    Plus généralement, je n'aime pas trop quand l'État se mêle de décréter ce qu'il considère comme bien ou mal. L'idéologie n'est pas loin. Pour ma part, je lui demande juste d'assurer des conditions d'étude décentes dans ses écoles et de veiller à ce que les enfants n'y soient pas malheureux. C'est déjà très bien s'il s'en tient à ces modestes objectifs...